Pour les amateurs de prophéties ... ;-)

...
Celle là n'est pas piquée des vers ... Prophétie pour la France donnée par Saint-Michel en 1894

Cette prophétie fut donnée par Saint-Michel à une jeune femme, Julie-Marie Jahenny, en 1894. Elle annonce Sarkozy comme mis en place par les illuminati nommés « les autres ».

Précision : en hongrois, le nom Sarkozy se prononce Char-Keu-Zy et signifie « dans la boue » ; en effet le village d’où vient cette famille, est établi sur un marécage.

Prononcé à la française Sar-Ko-Zy, cela donne en hongrois, la signification : « dans la merde ».
Il nous y enfonce en effet, comme on enfonce un poteau dans la boue.

La conclusion de la prophétie est bien celle de la restauration de la monarchie sacrée, mais que nul n’imagine les Bourbons ou les Orléans sur le trône restauré, car Saint-Michel a choisi un être vraiment exceptionnel, porteur du sang des rois de France, mais d’un très ancien rameau oublié, qui ne fut jamais perverti par le sang des Médicis qui sacrifiaient à Satan.

Cette prophétie annonce qu’il faut d’abord que tous ceux qui servent le mal (illuminati) et leurs servants et ceux qui agissent à l’encontre de la loi du Verbe, la loi identitaire voulue par Dieu au jour de la création) soient anéantis. La terre gâtée, signifie dévastée. « Tous ceux qui sont à présent » il faut comprendre : « tous ceux qui sont aux postes de commandement des nations, tous les puissants et tous ceux qui les servent. »

Cette prophétie fut donnée à Julie-Marie Jahenny, le 29 septembre 1894, donc le jour où l’Eglise catholique fête justement la Saint-Michel.

Prophétie donnée par notre protecteur Saint-Michel, à Marie-Julie Jahenny :

« Ne rien attendre du poteau de boue
L'heure de Dieu n'est pas loin, dit
Saint Michel, cette terreur profonde fera ressortir le triomphe de la nouvelle France. Mais ce triomphe ne peut venir avant que la Justice ne se soit appesantie sur cette terre gâtée.

N'attendez rien de celui qui règne comme roi et qui, aujourd'hui, est assis dans le même fauteuil que les autres, fauteuil qui ne porte aucune marque d'un pouvoir spécial et plus grand.

Sa pensée est accordée à la pensée des autres, sa parole à leur parole, sa volonté à leur volonté. Sa puissance et ses pouvoirs ne sont pas plus que ceux de celui qui est le dernier.
N'attendez rien de ce côté : il ne mérite pas plus de respect que tout le reste.

Dans la tempête, sa voix criera aussi fort que les autres, contre tout ce que Dieu a établi... Il n'y a pas de fermeté en lui : ils l'ont mené ; ils l'ont dirigé. Voilà le portrait de cet homme : c'est un poteau de boue. Plaignons-le, mais n'y pensons guère.

Pour ramener le Roi choisi et destiné par Dieu, il faut que tous ceux qui sont à présent soient balayés. (29 septembre 1878)

ben voilà, ya plus qu'à passer le balai

...