Petite histoire d’une contagion totalitaire …
Dimanche 9 août 2009, SanteGlobale.info
La grippe « espagnole » de 1918 fut en fait d’origine états-unienne.
Née dans les camps militaires de la première guerre mondiale, elle résultait d’une campagne de vaccination par les laboratoires Rockefeller et de l’injection aux soldats (des deux camps) de vaccins contre la typhoïde produits depuis 1916 dans des usines chinoises par l’injection à des porcs de pus récolté sur des personnes infectées.
Les soldats tombaient malades après l’injection, d’une maladie initialement baptisée « infection para typhoïque ».caractérisée par des nausées, vomissements, diarrhées, et pneumonies mortelles.
La maladie s’est ensuite répandue dans le monde entier, tuant 20 à 50 millions de personnes, 40 millions selon l’OMS.
Ce n’est que plus tard que l’establishment médical a faussement baptisé « grippe espagnole » le virus recombinant mortel répandu par le vaccin de l’empire pharmaceutique Rockefeller.
(source : The horrors of vaccinations – Higgins, 1921)
Après l’analyse d’un tissus pulmonaire d’une victime de la pandémie de 1918, conservé dans du formol, le Dr Jeffrey Taubenberger a rendu public un rapport selon lequel le virus de la pandémie de 1918 était en fait un nouveau virus porcin recombiné avec des fragments de virus aviaire (H5N1) et humains (H3N2) dans la structure même de leur ARN.
(source : Science Magazine Report, 21 mars 1997)
Le Dr Taubenberger serait ensuite parvenu à reproduire en laboratoire le « tueur de 1918 » par recombinaison des structures ADN et ARN, en 2003.
La soi-disant « grippe porcine » ayant infecté et tué des être humains à Mexico au cours de ce printemps 2009 est un nouveau type de sous virus A/H1N1 qui n’avait jamais été détecté chez des porcs ni chez des humains, comme l’ont confirmé l’OMS et le CDC (centre de contrôle des maladies d’Atlanta). Il s’agit d’un triple recombinant comprenant des segments de gènes d’origine humaine, porcine et aviaire.
(source : http://www.ncsl.org/?tabid=17089 )
Cette définition publiée par le NCSL (bureaucratie de décideurs politiques non élus liée à l’administration Bush) est identique aux premières découvertes de Taubenberger de 1997, qui ont permis de ressusciter le « virus de 1918 » six années plus tard.
Il s’agit très certainement d’une coïncidence.
On relève également trace en 1976 d’une contamination de grippe porcine (référencée H1N1) apparue à Fort Dix (New Jersey) – donc également dans un camp militaire états-unien - avec le décès post vaccinatoire de 200 soldats. Elle résulte vraisemblablement d’une expérimentation par un laboratoire militaire.
Au 12 juin 2009, l’OMS vient d’annoncer une alerte de niveau 6 (le niveau le plus élevé) relative à une pandémie qui serait liée à un virus de la grippe A (H1N1).
Ce « nouveau » virus pourrait résulter d’un contact « accidentel » en laboratoire. C’est la théorie de l’accident.
Le jeudi 5 mars du printemps 2009 était annoncé qu’un vaccin expérimental avait été contaminé par le virus H5N1 de la grippe aviaire.
La presse canadienne indiquait que lors d’expérimentations, les virus de la grippe humaine saisonnière (H3N2) et de la grippe aviaire (H5N1) avaient été mis en contact - au risque de produire un virus hybride qui pourrait se transmettre à l’homme. Cette manipulation a été réalisée par les laboratoires canadiens BAXTER.
Des échantillons auraient été envoyés en Autriche (à l’entreprise contractante Avir Green Hills Biotechnology de Donau) et diffusés sous forme de vaccin expérimental, les fournisseurs « perdant le contrôle de la situation ».
Le produit contaminé aurait été notamment envoyé à des sous-traitants en Allemagne, Slovénie et République Tchèque.
Par pure chance, c’est le sous-traitant Tchèque qui aurait découvert l’anomalie après avoir injecté ce vaccin à des furets, morts après l’injection. Et découvert après analyse qu’il ne s’agissait pas de H3N2 mais de H5N1.
Le laboratoire Tchèque a alerté l’OMS qui déclare « suivre de près cette bévue » qui pourrait avoir des conséquences graves...
(source : Toronto Sun)
Ce « mélange de souches », appelé réassortiment, est l’une des deux manières de créer un virus pandémique.
Car en fait, la grippe aviaire (H5N1) peut tuer facilement mais est plutôt difficile à attraper, alors que le virus saisonnier H3N2, lui, se transmet facilement d’homme à homme.
Des sans-abri polonais seraient d’ailleurs récemment décédés suite à l’inoculation d’un vaccin expérimental contre la grippe. (Le Telegraph)
« En résumé – déclare le Dr Carley - ils essaient de causer la pandémie. Ils ont déjà stocké plus de 250 millions de doses de vaccin de grippe aviaire. La durée de vie de ces vaccins est limitée. Alors ils vont tenter de faire démarrer cette pandémie rapidement, pour enfin vacciner les gens, ce qui causera la pandémie. (…) Au bas de mon site drcarley.com, vous verrez un article intitulé « US control bird flu vaccines over bioweapon fears ». Il s’agit d’un article d’Associated Press (AP) qui indique que « le gouvernement américain s’apprête à utiliser ses doses de vaccins de grippe aviaire pour vacciner la population en vue d’une future attaque par armes bactériologiques utilisant la grippe aviaire ». Alors, lorsqu’on regarde ce qui s’en vient, c’est un génocide. C’est une réduction de la population et ça se passe maintenant. Vous voyez, ceci est vraiment intentionnel, parce que le virus H5N1 de la grippe aviaire n’a pas la capacité de contaminer des humains dans un scénario normal. Donc en le combinant avec un virus de la grippe humaine saisonnière (H3N2) ils essaient intentionnellement de créer l’hybridation entre les deux virus. Et c’est de cette façon qu’ils vont faire attraper le virus de la grippe aviaire au monde, parce qu’il est très virulent. Et les scénarios liés à la grippe aviaire sont horrifiques, parce que le virus te fait cracher du sang et tu suffoques dans ton propre sang. »
Lors de cet entretien est également évoquée la possibilité d’un épandage par voie aérienne (chemtrails) de ce virus, qui s’avérerait mortel dans 60% des cas.
L’OMS « veut 5 milliards de vaccins contre la grippe A /H1N1 ».
Et a objectivement déclenché une campagne de terreur, qui à première vue parait hors de proportion avec le nombre de morts officiellement évoqués, spécialement si l’on compare avec les nombreux décès annuellement imputables à la grippe saisonnière humaine (et survenant sur des personnes dont le système immunitaire est déjà affaibli).
La France resterait au « niveau 5 » pour l’instant, mais préparerait « un plan de bataille sans précédent pour cet automne », avec à la clef une campagne de vaccination OBLIGATOIRE pour tous les Français de plus de trois mois.
Le Code de la santé publique requiert à cet égard le « consentement avisé du patient », et le gouvernement va donc devoir préalablement modifier les textes pour y inclure cette obligation et des « lois d’exception ».
Il est hors de doute que nos très malléables députés et sénateurs s’y prêteront avec une complaisance peut-être proportionnelle aux privilèges dont ils bénéficient et à l’endormissement de la conscience dont certains esprits critiques avancent qu’il a pu contribuer à leur assurer un accès à la représentation nationale.
L’automne semble en effet une bonne option stratégique pour des mesures « globales », la population française étant trop dispersée sur le territoire durant les mois de juillet/août pour permettre des mesures coercitives de confinement, explicitement contenues dans les « niveaux » d’alerte.
Lesdits niveaux d’alerte établis en France, en correspondance avec les directives de l’OMS, ont été rédigées par le Secrétariat général de la défense nationale et prévoient des mesures très contraignantes, gérées par le ministère de l’Intérieur et non pas par la Croix Rouge.
Ils incluent notamment des séquestrations d’élevage, une réglementation de la chasse, des destructions de denrées, la mise en place de « barrières sanitaires » et de contrôle de la circulation, la fermeture des crèches et écoles, un enseignement (unique !) assuré par vidéo, une vaccination obligatoire des populations, l’interdiction des manifestations publiques, le pouvoir de réquisitionner les personnes, les biens et les services, le rappel des réservistes, des quarantaines (camps ?), le déplacement des activités économiques dans des zones moins touchées, voire la destruction des propriétés « contaminées », etc.
Les « soignants », « possibles vecteurs de la grippe », et qui sont actuellement nombreux à objecter à une obligation de vaccination, doivent être convaincus et vaccinés (selon l’Institut de veille sanitaire) sous peine de ne pouvoir venir travailler pour des motifs de « protection humanitaire » (et donc d’être privés de leurs ressources, c’est dit).
Ces mesures s’analysent en conditionnement des masses sous le couvert d’allégations spectaculaires chargées émotionnellement, confiscation de l’indépendance alimentaire, de l’énergie et des moyens de production, confinement et « concentration » des populations, mise en place d’un état autoritaire.
Le président Sarkozy (qui a étrangement plusieurs fois utilisé lors de ses discours les termes de « Nouvel Ordre Mondial » et dont l’histoire se souviendra probablement pour avoir été le dirigeant qui aura fait autoritairement œuvre de destruction de l’indépendance nationale contre l’avis du Peuple Français pourtant clairement exprimé par référendum – ce que certains professeurs de droit ne craignant pas pour leur carrière, comme Anne-Marie le Pourhiet ont pu qualifier de « coup d’état et de haute trahison » - cf. Internet) vient d’autoriser une dépense d’un milliard d’euros.
Ce milliard d’euros est affecté à l’achat de 100 millions de vaccins destinés à protéger les populations contre le virus Influenza A H1N1 de la grippe porcine. (source : quotidien le JDD du 30 mai 2009)
Il est accessoirement à noter qu’il est contesté que ledit virus Influenza H1N1 ait pu être isolé, photographié au microscope électronique, ou classé chimiquement, ni par l’OMS ni par le CDC états-unien, ni d’ailleurs par des virologistes français… Selon la FDA, le « test » autorisé à la hâte par cette administration et sorti prématurément pour contrôler le H1N1 « n’est pas éprouvé ». Il n’existerait « aucune preuve médico-légale » que les morts attribuées au H1N1 (d’ailleurs incinérés !) soient effectivement dues à ce genre de virus ».
(sources : http://bridge.over-blog.org/article-32249336.html
http://www.alterinfo.net/Le-plan-secret-de-vaccination- contre-la-grippe-porcine-de-Sarkozy_a33052.html)
Cette surprenante information ajoute à la confusion qui semble caractériser le débat public, pour peu que l’on ne se contente pas d’une hypnose collective favorisée par la création d’une panique autorisant beaucoup d’approximations. A cet égard, d’ailleurs, une « pandémie » (donnée purement géographique) ne caractérise nullement la gravité d’une maladie, mais simplement l’existence de deux foyers séparés et autonomes.
La préparation des esprits à des « lois d’exception » paraît ainsi reposer exclusivement sur des allégations, une confusion entretenue, du spectaculaire et de l’émotionnel c’est-à-dire sur des manipulations.
Comme d’ailleurs le dogme de l’efficacité vaccinale, puisqu’une enquête du CPAM de Nantes en 1993 sur la grippe saisonnière a montré que le taux d’état grippal était de 13% chez les non vaccinés, contre 14% chez les vaccinés (avec une dépense en soin de santé supérieure de 30% chez les vaccinés). Cette mesure reste toutefois « recommandée ».
Rendre obligatoire un médicament contre une maladie supposée non encore caractérisée, et en tout cas mutante, semble douteux, spécialement dans le cadre d’une militarisation de la santé publique et d’une (in)utile panique. Comme pour le SIDA/HIV, le C02 responsable du réchauffement climatique et la terre plate, certains parlent plus de « décision politique que de preuve scientifique ».
Cette « pandémie » pourrait être conjuguée à une crise d’effondrement monétaire majeure, destinée à nous acheminer vers une monnaie virtuelle unique.
Cette crise financière et sociale, que certains experts européens annoncent pour cet automne comme une « crise systémique », ne serait selon certaines sources pas fortuite et viserait à générer des troubles sociaux et des troubles à l’ordre public tels que les pouvoirs publics « ne pouvant y faire face », les populations seraient pour un temps livrées à elles-mêmes.
L’Ordre enfin rétabli, des mesures de sécurité liberticides seraient alors accueillies avec soulagement par les populations, ce qui semble le but recherché.
Le support de cette monnaie unique qui ne serait plus que virtuelle est un implant sous-cutané (ou puce électronique).
(cf. site de l’industriel Verichip :
http://www.verichipcorp.com/content/company/rfidtags)
Le schéma sous-jacent à ces deux crises qui peuvent se conjuguer pour n’en faire qu’une semble rester le même : on crée un problème induisant des peurs (médias à l’appui), pour induire une solution bénéficiant à terme de l’adhésion de populations qui, hors la création d’un état de panique, se seraient vigoureusement opposées à une confiscation des procédures démocratiques, du débat contradictoire, des libertés publiques, de l’indépendance alimentaire des nations, ainsi que de l’impératif de preuves scientifiques et de l’approbation d’une conscience éclairée et du libre consentement des « patients » préalablement à tout traitement médical.
L’hypothèse de base de « l’accident », relayée par l’OMS (organisme infiltré par des structures telles que le CFR qui n’ont rien d’humanitaire) pour créer une panique, semble indiquer justement que le vaccin de la grippe (cf. épisode Baxter) peut contenir des substances hautement morbides suite à une manipulation en laboratoire, dont nombre d’experts s’accordent à dire qu’elle ne peut être fortuite et est de nature criminelle.
La pandémie Mexicaine de ce printemps (également riche en coïncidences) semble en fait selon certains observateurs constituer un « essai » afin de déterminer comment réagit une population isolée et manipulée, en l’attente de la disponibilité massive des vaccins attendus pour la « grande offensive ».
(cf. entretien Essania - A. Givaudan)
Il est vrai que le ministère de la Santé communique qu’anticipant un probable retour du virus à l’automne, le gouvernement va débourser près d’un milliard d’euros pour acheter des vaccins. Objectif : immuniser tous les Français. Les autorités annonceront à l’automne si elles choisissent de rendre le vaccin obligatoire. « Nous seront prêts à opérer dans un laps de temps très court ». ( http://www.lejdd.fr/cmc/societe/200922/la-france-commande-100-millions-de-vaccins_213201.html )
Comme le Dr Rebecca Carley et nombre de scientifiques « indépendants » qui cherchent actuellement à alerter l’opinion mondiale, le Dr Léonard G. Horowitz (diplômé d’Harvard) écrit que « si la grippe aviaire devient réellement une pandémie redoutable, ce sera à la suite d’une volonté politique délibérée ». L’intéressé qui parle avec force de « génocide médicalement assisté » indique que les autorités sont en train de fabriquer un vaccin « dont l’effet sera précisément de répandre cette pandémie dans le monde entier, afin de réduire la population mondiale ». Tous ces avis sont du domaine public, sur Internet.
Cette thèse n’est d’ailleurs pas d’emblée absurde et retient notoirement, régulièrement et avec constance l’attention de certaines sphères. Robert Mc Namara, ancien président de la Banque Mondiale et secrétaire d’état des U.S.A. a notamment et explicitement déclaré que « la dépopulation devrait constituer la plus haute priorité de la politique étrangère des Etats-Unis vis-à-vis du tiers-monde. (…) Il faut prendre des mesures draconiennes de réduction démographique contre la volonté des populations. Réduire le taux de natalité s’est avéré impossible ou insuffisant. Il faut donc augmenter le taux de mortalité. Comment ? Par des moyens naturels : la famine et la maladie. » On se rappellera utilement à cet égard la pratique des couvertures empoisonnées aux germes de typhoïde et de grippe, ayant concouru à l’extermination des natifs amérindiens.
Et on pourrait bien faire de garder en mémoire l’épisode du Cheval de Troie.
« Timeo danaos et dona ferentes »…
A l’heure où la validité du théorème du « trou d’ozone et du CO2 gaz à effet de serre » est vivement remise en question par d’éminents scientifiques (d’ailleurs qualifiés par les médias « d’hérétiques »), de plus en plus nombreux à contester le « dogme officiel » à attribuer le réchauffement climatique à une activité solaire, le chercheur canadien Alfred Lambremont Webre évoque des « moments très difficiles auxquels l’espèce humaine aura bientôt à faire face (…) incluant notamment des pandémies et la probabilité d’une tempête solaire affectant tous les systèmes électriques de la planète ».
Lorsque le discours officiel devient ainsi visiblement sujet à caution, il est à noter que parmi les nouveautés en matière de vaccination, on trouve les vaccins à cristaux liquides.
L’ADN est lui-même constitué de cristaux liquides, et l’idée est d’injecter dans l’organisme de l’ADN nu, c’est-à-dire des séquences d’ADN répétitives (cet ADN peut-être synthétique) qui sont des supports d’informations cellulaires sur lesquels on vient greffer soit des séquences d’ADN viral, soit des gênes codants pour des protéines virales ou bactériennes. (cf. le rapport du Sénat http://89.202.136.71/RAP/o99-020/o99-0206.html)
L’intégration de ce patrimoine génétique à nos cellules est très rapide et on ne peut plus contrôler ensuite les synthèses protéiques qui se font, puisqu’elles sont intégrées à notre patrimoine.
Quel est donc le vaccin que le gouvernement français s’apprête à financer à prix d’or et à rendre obligatoire pour tous les français de plus de trois mois ?...
Certains indiquent que cet ADN étranger implanté par vaccin constitue une « antenne » programmable de l’extérieur à des fins non pas humanitaires de santé, mais bien de contrôle des populations à des fins politiques extrêmement douteuses.
Ces technologies de modification du comportement des populations (voire de ralentissement du système immunitaire ou de production de toxines mortelles) à l’aide de fréquences gigahertziennes (micro-ondes) existent et sont notamment relayées par l’injection de cristaux liquides et l’implantation d’une puce électronique sous-cutanée, pour court-circuiter la conscience individuelle (toujours « pour votre bien, pour votre sécurité », dormez en paix !)…
Cf. Conférence de presse de décembre 1996 à Montréal (Québec) de Serge Monast, journaliste de l’Agence Internationale de Presse Libre décédé le 5 décembre 1996 à l’issue de sa conférence, dans des conditions « d’arrêt cardiaque » jugées suspectes. Serge Monast « dont les informations semblent se confirmer les unes après les autres indiquait être informé par des politiciens repentis et des agents des services secrets écœurés ». Un essai d’infection d’enfants par des cristaux liquides aurait été réalisé au Québec en 2003 sous couvert de vaccinations (autoritaires en milieu scolaire) contre une épidémie de méningite annoncée par.. l’OMS à grand renfort de médias. Le protocole, décrit comme « inusité », comprenait l’emploi d’une seringue « à air comprimé » spécifique et commune à l’injection de cristaux liquides et de transpondeurs. L’enquête réalisée suite à quelques décès « n’aurait pas permis d’identifier le laboratoire ayant fabriqué les vaccins ».
Pour la réalité de l’implant, Cf. http://www.verichipcorp.com/
Existe également, bien qu’il soit peu évoqué lors du « journal de vingt heures », le système HAARP (High Frequency Active Auroral Research Program) de manipulation des climats et de déclenchement de séismes.
Les champs d’antennes gigahertziennes en sont parfaitement visibles près de Gakona en Alaska sur Google Earth.
Les vidéos diffusées sur Internet et toujours disponibles montrant un « effet d’aurore boréale » trente minutes avant le récent et dévastateur séisme chinois laissent à entendre l’utilisation de HAARP dans cette catastrophe « naturelle ».
http://www.newsoftomorrow.org/spip.php?article4189
« Sa capacité d’influencer l’ionosphère serait beaucoup plus importante qu’admise officiellement. Ces 180 antennes permettraient de (faire des recherches pour) pouvoir modifier le climat, interrompre toute forme de communication hertzienne, détruire ou détourner avions et missiles transcontinentaux et finalement, influencer les comportements humains, tout cela via des actions sur l’ionosphère.
http://fr.wikipedia.org/wiki/High_frequency_active_auroral_research_program
http://www.rocsfamilystory.net/blog/images/2008septembre/haarp.jpg
A noter : depuis le vendredi 15 octobre 2004 - L’agence de sécurité sanitaire américaine (Food and Drug Administration, FDA) autorise désormais l’usage de puces à identifiant radio RFID dans le corps humain. (cf. Digital Angel)
Le revenu annuel de VERICHIP CORPORATION (une filiale de Applied Digital) dépassait en 2006 pour ses systèmes de « protection infantile » baptisé HUGS (câlins !!!) un revenu de 4 millions de dollars se basant sur une utilisation de cet implant électronique sous-cutané par plus de 900 structures.
Selon un communiqué de presse de Verichip Corporation en date du mercredi 31 mai, cet implant « est modulaire dans sa conception, ce qui permet aux infrastructures d’y ajouter des fonctions si nécessaire ». C’est le moins que l’on puisse dire.
Au menu de ces fonctions : identification, support d’une monnaie qui ne sera plus que virtuelle –marginalisant à terme tous ceux qui refuseraient l’implant -, localisation du porteur, modification du comportement, déclenchement de charge virale…
Voir en ligne : http://www.santeglobale.info/tal/Va
Source
Voir aussi: Faits historiques sur les dangers (et echecs) des vaccins:
Les vaccins, c’est le charlatanisme de la médecine moderne. Les programmes de vaccination de masse échouent non seulement à protéger la population contre les maladies infectieuses, mais accélèrent en fait la vitesse de la maladie dans de nombreux cas. Article complet
...
Le plus moche dans tout ça c'est que je suis sûr que Ken et Barbie seraient ravis de se faire pucer et d'ouvrir et démarrer leur voiture sans lever le petit doigt par exemple...
RépondreSupprimerJe les vois d'ici pucer leurs gamins "pour leur sécurité" aussi...
Y'a une chose dont je suis sûr, si l'OMS avait le vaccin contre la connerie, il s'en venteraient pas...
Joli scénar de SF... bon plan pour les terroristes de tous poil ! Cela me rappelle le VIH innoculé par vaccin contre la polio et massivement en Afrique (car cette maladie faisait des ravages à l'époque), vaccin préparé à partir de foie de singes, qui eux, ne développent pas la maladie... Mais bon, à l'époque, bien avant 80, la virologie, on n'y connaissait rien.... une grosse bourde, si c'est vrai !!!! (journal ACTUEL, qui n'existe plus, hélas)
RépondreSupprimer