Faut voir le niveau des musiques, Et les modèles des sociétés. Faut voir les radios qu'on écoute, De quoi on parle dans les récrés. Faut voir les strings en apparence, Dans les collèges, la jeunesse. Plus c'est vulgaire et plus ça fait mouiller le corps de nos armées C'est du Gucci c'est du goût d'chiottes C'est le syndrôme de nos époques C'est du Channel c'est du Dolce Tu fais la belle et ça te plaît C'est du consommable toujours...
y'a une époque on écoutait les Clash y'a une époque volute dans les cafés y'a une époque on était Solidarnosc I live by the river
y'a une époque on était rouge au cœur ouais sans parti mais partisan de l’âme y'a une époque on était bleu des flammes I live by the river
uniformisées nos éducations toujours entre le blé et le pognon les mômes ne rêvent plus de marcher sur les lunes ils rêvent de savoir comment s’faire de la thune
y'a une époque où les filles avaient le poing levé aujourd’hui c’est plutôt culotte baissée quand je s’rai grande moi j’serai poupée gonflable pour des millions à se branler sur mon âme sur la toile
y'a une époque on rêvait d’autre chose autre chose que des dieux des communautés aujourd’hui c’est tous différents dans la même merde aujourd’hui c’est chacun sa gueule et j’t’emmerde
y'a une époque on avait feu des idées y'a une époque on osait liberté aujourd’hui on ose plus que sauver son cul en marchant sur celui d’à côté
y'a une époque Paris c’était Paris y'a une époque les filles étaient jolies y'a une époque quoi te dire on rêvait y'a un époque nos luttes dans les cafés
en cendres au fond d’un cendrier bébé y a quelque chose de louche toi tu rentres plus dans les bars t’es partie dans la fumée quand on se partageait la flamme toi et moi de bouche en bouche et nos bouches orphelines qui ont plus rien à sucer qu’à mouiller dans le vide bébé tu m’as laissé tout seul tu sait me manqueront toujours ces nuits où toi tu disais allume-moi allume-moi fais-moi venir entre tes lèvres et puis brûler à planer jusqu’à mourir dans ta bouche jusqu’à mourir à la lumière de nos amours comme un mégot sur du velours en cendres au fond d’un cendrier il faudra bien mourir et me finir entre tes lèvres quand dans le ciel on se soulève contre la gravité du monde mon amour quand tu tires quand tu fais brûler l’oxygène quand tu fais du bien dans la veine quand tu consommes et tu consumes quand on parle avec Dieu quand de nos feux c’est l’extinction de l’incendie à l’horizon quand j’ai plus le choix que m’éteindre rallume-moi
t’es ma nicotine t’es mon oxygène t’es mon allumeuse quand tu creuses ma tombe quand je te prends quand je t’allume toi tu veux que j’avale quand t’as le feu au bout de toi toi tu dit j’ai pas mal quand je te prends quand je t’allume toi tu veux que j’avale quand t’as le feu au bout de toi toi tu dit j’ai pas mal dans la violence de nos amours sûr en mégot sur du velours nous partirons dans la fumée mon amour les yeux fermés je te respire et tu m’inspires jusqu’à nos expirations où allons-nous le savons-nous non sûrement pas en France mon amour dans les lieux publics on a viré délinquance finies les soirées enfumées et les gitanes qui dansent
*** Un admirateur béat de Cocteau qui croisant son idole dans la rue susurre " un ange passe" , "qu'on l'encule" répondit Cocteau...******... "Si seulement ils enseignaient l'amour, la compréhension et la compassion... Ils devraient enseigner que la vie ne finit jamais, jamais, au lieu de culpabiliser les gens. Ils devraient enseigner qu'à notre mort, il nous sera rendu compte de chacune de nos paroles et de chacun de nos gestes, car tout a une conséquence". Dr. Elisabeth Kübler-Ross
mdr maaaaA
RépondreSupprimery'as çaaa aussi :
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=0SIsgQOPbE0
Ma Dame.
Votre anonyme le plus dévoué
et même pas troll refoulé
mais mini mini...
Faut voir le niveau des musiques, Et les modèles des sociétés. Faut voir les radios qu'on écoute, De quoi on parle dans les récrés. Faut voir les strings en apparence, Dans les collèges, la jeunesse. Plus c'est vulgaire et plus ça fait mouiller le corps de nos armées C'est du Gucci c'est du goût d'chiottes C'est le syndrôme de nos époques C'est du Channel c'est du Dolce Tu fais la belle et ça te plaît C'est du consommable toujours...
RépondreSupprimerdis-moi cest quand quon fait lamour ...♥
RépondreSupprimerou bien :
RépondreSupprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=4QomrbbgGAE
y'a une époque on écoutait les Clash
RépondreSupprimery'a une époque volute dans les cafés
y'a une époque on était Solidarnosc
I live by the river
y'a une époque on était rouge au cœur
ouais sans parti mais partisan de l’âme
y'a une époque on était bleu des flammes
I live by the river
uniformisées nos éducations
toujours entre le blé et le pognon
les mômes ne rêvent plus de marcher sur les lunes
ils rêvent de savoir comment s’faire de la thune
y'a une époque où les filles avaient le poing levé
aujourd’hui c’est plutôt culotte baissée
quand je s’rai grande moi j’serai poupée gonflable
pour des millions à se branler sur mon âme sur la toile
y'a une époque on rêvait d’autre chose
autre chose que des dieux des communautés
aujourd’hui c’est tous différents dans la même merde
aujourd’hui c’est chacun sa gueule et j’t’emmerde
y'a une époque on avait feu des idées
y'a une époque on osait liberté
aujourd’hui on ose plus que sauver son cul
en marchant sur celui d’à côté
y'a une époque Paris c’était Paris
y'a une époque les filles étaient jolies
y'a une époque quoi te dire on rêvait
y'a un époque nos luttes
dans les cafés
en cendres au fond d’un cendrier
bébé y a quelque chose de louche
toi tu rentres plus dans les bars
t’es partie dans la fumée
quand on se partageait la flamme
toi et moi
de bouche en bouche
et nos bouches orphelines
qui ont plus rien à sucer
qu’à mouiller dans le vide
bébé tu m’as laissé tout seul
tu sait me manqueront toujours
ces nuits où toi tu disais
allume-moi
allume-moi
fais-moi venir entre tes lèvres
et puis brûler à planer jusqu’à mourir dans ta bouche
jusqu’à mourir
à la lumière de nos amours
comme un mégot sur du velours
en cendres au fond d’un cendrier
il faudra bien mourir
et me finir
entre tes lèvres
quand dans le ciel on se soulève
contre la gravité du monde
mon amour quand tu tires
quand tu fais brûler l’oxygène
quand tu fais du bien dans la veine
quand tu consommes et tu consumes
quand on parle avec Dieu
quand de nos feux c’est l’extinction
de l’incendie à l’horizon
quand j’ai plus le choix que m’éteindre
rallume-moi
t’es ma nicotine
t’es mon oxygène
t’es mon allumeuse
quand tu creuses ma tombe
quand je te prends quand je t’allume toi tu veux que j’avale
quand t’as le feu au bout de toi toi tu dit j’ai pas mal
quand je te prends quand je t’allume toi tu veux que j’avale
quand t’as le feu au bout de toi toi tu dit j’ai pas mal
dans la violence de nos amours sûr en mégot sur du velours
nous partirons dans la fumée mon amour les yeux fermés
je te respire et tu m’inspires jusqu’à nos expirations
où allons-nous le savons-nous non sûrement pas en France
mon amour dans les lieux publics on a viré délinquance
finies les soirées enfumées
et les gitanes qui dansent
et les gitanes
qui dansent
on dirait que tu aimes bien saez, mon ptit tas nonyme
RépondreSupprimery'a une époque on était rouge au cœur
RépondreSupprimerouais sans parti mais partisan de l’âme
y'a une époque on était bleu des flammes
I live by the river
Votre petit anneau-nyme le plus Dé voué
Maha Dame
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