mercredi 1 décembre 2010

Les psychopathes

Dommage, c'est en anglais ...

I ought to say at this point that the idea that the Psychopath will always "win" by playing his or her dominant strategy holds true only under certain circumstances. As the reader might guess, a person who has no fear of consequences because they cannot imagine them, or even if they do have the intellect to do so, has no emotion associated with those consequences which would tend to enforce them as behavioral choices, is the ideal vehicle for the violation of the Free Will and rights of others.

The [psychopath] is unfamiliar with the primary facts or data of what might be called personal values and is altogether incapable of understanding such matters. It is impossible for him to take even a slight interest in the tragedy or joy or the striving of humanity as presented in serious literature or art. He is also indifferent to all these matters in life itself. Beauty and ugliness, except in a very superficial sense, goodness, evil, love, horror, and humour have no actual meaning, no power to move him. He is, furthermore, lacking in the ability to see that others are moved. It is as though he were colour-blind, despite his sharp intelligence, to this aspect of human existence. It cannot be explained to him because there is nothing in his orbit of awareness that can bridge the gap with comparison. He can repeat the words and say glibly that he understands, and there is no way for him to realize that he does not understand. [Cleckley, H.M. (1941). The mask of sanity: An attempt to reinterpret the so-called psychopathic personality. St. Louis: The C. V. Mosby Company]

It also means that such a person is free to choose to do things that are potentially self-destructive without giving a single indication to another "player" that his or her choice is based entirely on a delusion. Very often, they "win" because of the sheer boldness of their actions which is unrestricted by conscience which is a construct of emotions. But, interestingly, this also has the potential to leave the psychopath open to total destruction.

It's like a poker player who has absolutely nothing in his hand, but because he is so intent on winning, and is so unmoved by the possibility of losing because lying produces absolutely no internal, emotional reaction of fear of being discovered or the potential shame or disaster inherent in such an event, is able to bluff so convincingly that the other players - any of whom might have a winning hand, fold and walk away because they are convinced by the psychopath's confidence that he must have the winning hand of all time. Only he doesn't. And this means that the psychopath's strength is also his Achilles heel. Once he has been spotted, identified, understood, he no longer has the power to bluff. Once knowledge enters the game, the psychopath is exposed, and has no more ability to "con" the other players. The sad part is: he also has no ability to learn from this experience anything other than how to make his bluff better and more convincing next time. The psychopath never gets mad because he is caught in a lie; he is only concerned with "damage control" in terms of his ability to continue to con others.

Such was the case with Ira Einhorn when he boldly and arrogantly decided to keep Holly's body in the trunk in his closet. It wasn't an act of stupidity; it was the act of a psychopath. And the plain fact of the matter is, if Holly's family hadn't had enough money to pay a private investigator to keep digging, Ira would have gotten away with it forever.

And so it is in our world: economics very often provides major payoffs to psychopaths and penalizes those who are not. Suite et source

...

19 commentaires:

  1. @Maha, tu connais cette expérience ?

    Hiérarchie chez les rats

    Une expérience a été effectuée sur des rats.

    Pour étudier leur aptitude à nager, un chercheur

    du laboratoire de biologie comportementale de la

    faculté de Nancy, Didier Desor, en a réuni six

    dans une cage dont l’unique issue débouchait sur

    une piscine qu’il leur fallait traverser pour

    atteindre une mangeoire distribuant les

    aliments. On a rapidement constaté que les six

    rats n’allaient pas chercher leur nourriture en

    nageant de concert. Des rôles sont apparus

    qu’ils s’étaient ainsi répartis : deux nageurs

    exploités, deux non nageurs exploiteurs, un

    nageur autonome et un non nageur souffre-douleur.

    Les deux exploités allaient chercher la

    nourriture en nageant sous l’eau. Lorsqu’ils

    revenaient à la cage, les deux exploiteurs les

    frappaient et leur enfonçaient la tête sous

    l’eau jusqu’à ce qu’ils lâchent leur magot. Ce

    n’est qu’après avoir nourri les deux exploiteurs

    que les deux exploités soumis pouvaient se

    permettre de consommer leur propre croquette.

    Les exploiteurs ne nageaient jamais, ils se

    contentaient de rosser les nageurs pour être

    nourris.

    L’autonome était un nageur assez robuste pour

    ramener sa nourriture et passer les exploiteurs

    pour se nourrir de son propre labeur. Le souffre-

    douleur, enfin, était incapable de nager et

    incapable d’effrayer les exploités, alors il

    ramassait les miettes tombées lors des combats.

    La même structure - deux exploités, deux

    exploiteurs, un autonome et un souffre-douleur

    se retrouva dans les vingt cages où l’expérience

    fut reconduite.

    Pour mieux comprendre ce mécanisme de

    hiérarchie, Didier Desor plaça six exploiteurs

    ensemble. Ils se battirent toute la nuit. Au

    matin, ils avaient recréé les mêmes rôles. Deux

    exploiteurs, deux exploités, un souffre douleur,

    un autonome. Et on a obtenu encore le même

    résultat en réunissant six exploités dans une

    même cage, six autonomes, ou six souffre-douleur.


    Puis l’expérience a été reproduite avec une cage

    plus grande contenant deux cents individus. Ils

    se sont battus toute la nuit, le lendemain il y

    avait trois rats crucifiés dont les autres

    avaient arraché la peau. Moralité : plus la

    société est nombreuse plus la cruauté envers les

    souffre-douleur augmente. Parallèlement, les

    exploiteurs de la cage des deux cents

    entretenaient une hiérarchie de lieutenants afin

    de répercuter leur autorité sans même qu’ils

    aient besoin de se donner le mal de terroriser

    les exploités.

    Autre prolongation de cette recherche, les

    savants de Nancy ont ouvert par la suite les

    crânes et analysés les cerveaux. Or, les plus

    stressés n’étaient ni les souffre-douleur, ni

    les exploités, mais les exploiteurs. Ils

    devaient affreusement craindre de perdre leur

    statut privilégié et d’être obligés d’aller un

    jour au travail.












    Bernard Werber (Encyclopédie du savoir relatif et absolu)

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  2. oui,
    Et les fourmis; c'est une reine plus 1/3 d'ouvriers; 1/3 de soldats et 1/3 de glandeurs pic assiette !

    """lepascontent"""

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  3. L'expérience montre que la cruauté et la violence vont croissant en fonction du nombre d'individus et surtout de l'espace dont ils disposent.

    Pas étonnant qu'il ne fasse pas bon vivre dans une cité...

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  4. la ponérologie politique les amis... le lien est incollable, mais demandez à google et prenez le second choix, le pdf de "la pilule rouge.com"

    http://quantumfuture.net/fr/article-lkj-ponerologie01.htm

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  5. ce qui est vrai chez les rats ne l'est pas forcement chez les humains.
    je veut dire par la que c'est pas parce que l'homme est con que le rat l'est forcement...
    et vice versa...
    comprend qui pourra!...

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  6. voilà les psychopathes: http://rutube.ru/tracks/3831253.html?v=ed7392547a0b618cdae0fa36b1fd8c99

    Ad

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  7. Je dois dire à ce moment que l'idée que le psychopathe est toujours «gagner» en jouant sa stratégie dominante est vrai que dans certaines circonstances. Comme le lecteur peut le deviner, une personne qui n'a pas peur des conséquences, car ils ne peuvent pas les imaginer, ou même si elles ont l'intelligence de le faire, n'a pas l'émotion associée à ces conséquences qui tendrait à les faire respecter en tant que choix de comportement, est le véhicule idéal pour la violation de la libre volonté et les droits des autres.

    Le [psychopathe] n'est pas familier avec les faits ou les données primaires de ce qu'on pourrait appeler les valeurs personnelles et est tout à fait incapable de comprendre ces questions. Il est impossible pour lui de prendre même un peu d'intérêt dans la tragédie ou la joie ou l'aspiration de l'humanité tel que présenté dans la littérature sérieuse ou de l'art. Il est également indifférent à toutes ces questions dans la vie elle-même. Beauté et laideur, sauf dans un sens très superficiel, la bonté, le mal, l'amour, l'horreur et l'humour n'ont aucune signification réelle, pas le pouvoir de le faire bouger. Il est, en outre, n'ont pas la capacité de voir que d'autres sont déplacés. C'est comme s'il était daltonien, malgré son intelligence vive, à cet aspect de l'existence humaine. Il ne peut pas être expliqué à lui parce que il n'y a rien dans son orbite de sensibilisation qui permet de combler l'écart avec la comparaison. Il peut répéter les mots et dire avec désinvolture qu'il comprend, et il n'existe aucun moyen pour lui de se rendre compte qu'il ne comprend pas. [Cleckley, HM (1941). Le masque de santé mentale: Une tentative de réinterpréter l'on appelle la personnalité psychopathe alors. Saint-Louis: La Société CV Mosby]

    Cela signifie également que cette personne est libre de choisir de faire des choses qui sont potentiellement auto-destructeur, sans donner une seule indication à un autre «joueur» que son choix est entièrement basé sur une illusion. Très souvent, ils "gagner" en raison de l'audace même de leurs actions, qui n'est pas limité par la conscience qui est une construction d'émotions. Mais, fait intéressant, ce qui a également la possibilité de quitter le psychopathe ouverte à la destruction totale.

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  8. Je dois dire à ce moment que l'idée que le psychopathe est toujours «gagner» en jouant sa stratégie dominante est vrai que dans certaines circonstances. Comme le lecteur peut le deviner, une personne qui n'a pas peur des conséquences, car ils ne peuvent pas les imaginer, ou même si elles ont l'intelligence de le faire, n'a pas l'émotion associée à ces conséquences qui tendrait à les faire respecter en tant que choix de comportement, est le véhicule idéal pour la violation de la libre volonté et les droits des autres.

    Le [psychopathe] n'est pas familier avec les faits ou les données primaires de ce qu'on pourrait appeler les valeurs personnelles et est tout à fait incapable de comprendre ces questions. Il est impossible pour lui de prendre même un peu d'intérêt dans la tragédie ou la joie ou l'aspiration de l'humanité tel que présenté dans la littérature sérieuse ou de l'art. Il est également indifférent à toutes ces questions dans la vie elle-même. Beauté et laideur, sauf dans un sens très superficiel, la bonté, le mal, l'amour, l'horreur et l'humour n'ont aucune signification réelle, pas le pouvoir de le faire bouger. Il est, en outre, n'ont pas la capacité de voir que d'autres sont déplacés. C'est comme s'il était daltonien, malgré son intelligence vive, à cet aspect de l'existence humaine. Il ne peut pas être expliqué à lui parce que il n'y a rien dans son orbite de sensibilisation qui permet de combler l'écart avec la comparaison. Il peut répéter les mots et dire avec désinvolture qu'il comprend, et il n'existe aucun moyen pour lui de se rendre compte qu'il ne comprend pas. [Cleckley, HM (1941). Le masque de santé mentale: Une tentative de réinterpréter l'on appelle la personnalité psychopathe alors. Saint-Louis: La Société CV Mosby]

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  9. C'est comme un joueur de poker qui n'a absolument rien à la main, mais parce qu'il est si l'intention de gagner, et est donc insensible à la possibilité de perdre parce que le mensonge ne produit absolument aucune internes, la réaction émotionnelle de peur d'être découvert ou la honte potentiels ou en cas de catastrophe inhérente à un tel événement, est capable de bluffer de manière si convaincante que les autres joueurs - et chacun d'eux pourrait avoir une main gagnante, plier et à pied parce qu'ils sont convaincus par la confiance du psychopathe qu'il doit avoir la main gagnante de tous les temps. Seulement, il ne fonctionne pas. Et cela signifie que la force du psychopathe est aussi son talon d'Achille. Une fois qu'il a été repéré, identifié, compris, il n'a plus le pouvoir de bluff. Une fois la connaissance entre dans le jeu, le psychopathe est exposé, et n'a plus de capacité de "con" les autres joueurs. Le plus triste est: il n'a pas non plus la capacité à apprendre de cette expérience quelque chose autre que la façon de faire son bluff de meilleure qualité et plus de temps convaincante prochaine. Le psychopathe ne devient jamais fou, parce qu'il est pris dans un mensonge, il ne concerne que «limiter les dégâts" en termes de sa capacité à continuer de procéder à d'autres.

    Ce fut le cas avec Ira Einhorn quand il hardiment et avec arrogance décidé de garder le corps de Holly dans le coffre de son cabinet. Ce n'était pas un acte de stupidité, il a été l'acte d'un psychopathe. Et le simple fait de la question est, si la famille de Holly avait pas eu assez d'argent pour payer un détective privé pour continuer à creuser, Ira aurait pris la fuite avec elle pour toujours.

    Et c'est ainsi dans notre monde: l'économie représente très souvent gains majeurs pour les psychopathes et pénalise ceux qui ne sont pas. Suite et source

    ...

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  10. pas mal la diversion maha, tu nous plonges dans notre dictionnaire d'anglais et pendant ce temps là, personne ne remarque que l'or est en passe de franchir les 1400 $ !

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  11. Je rejoins le post de lovestormstrooper sur la ponérologie de Laura Knight-Jadczyk. Les psychopathes pourraient constituer 5% de la population et ce dans toutes les couches de la société. On les reconnait à leur absence totale d'empathie. Il pourrait exister deux races d'humains selon d'autres. Gloup.

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  12. J'ai lu tous les livres de Bernard Werber jusqu'à ce qu'il fasse la promo du nouvel ordre mondial.
    http://www.dailymotion.com/video/x7fgax_bernard-werber-pour-le-nouvel-ordre_news

    Nos amis les humains :

    "Il est assez clair que les Européens devraient avoir honte de ce qu'ils ont fait. Toute leur histoire, en vérité, est une succession d'ignominies. Le mieux qu'ils puissent faire, aujourd'hui, est de se mettre à genoux, de demander pardon, et d'accepter la domination du peuple d'Israël, qui est le peuple élu de Dieu, ne l'oublions jamais."

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  13. @ukan
    si ca trouve les rats n'ont fait que reproduire un schéma présent dans le laboratoire: 2 chefs psychpathes, 2 imbéciles carrieristes, un profiteur et un masoschiste

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  14. @Maha : ahahahahha

    Il faudrait qu'on fasse l'expérience dans ce

    blog pour savoir qui est le chef (sans aucun

    doute, toi; qui sont les faibles (les anonymes

    (?). Moi, je serait plutôt l'observateur de

    l'expérience.

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  15. si tu répètes la meme expérience dans le contexte du blog, les rats vont adapter la structure du blog:
    ils vont commencer à délirer, à rigoler et à écrire des conneries plus grosses qu'eux (queues), surtout les rats "anonymes"

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  16. THE MADNESS OF A LOST SOCIETY

    http://www.youtube.com/watch?v=fOshw4kIGR4&feature=player_embedded#!

    telemaq

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  17. les exploiteurs et leur lieutenants : Rothchild, Rockfeller et leur larbins du haut de la pyramide.

    les exploités : les connards qui se ruent dans les centres commerciales pour noél.

    les souffre-douleurs : une (des) minorité(s) ethnique choisie par les exploiteurs pour détourner l'attention des exploités (avant c'étaient les juifs, aujourd'hui les musulmans, les roms et les gens du voyages...)

    les autonomes : le survivaliste qui a investis dans les métaux, une baraque dans les montagnes loin des éventuelles retombées radioactives, avec un potager, un puis, tout ce qu'il faut de réserve pour vivre et faire du troc...

    Les rats ont tout compris à notre société :)

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  18. Dans Bernard Werber (Encyclopédie du savoir relatif et absolu) j'ai bien aimé une histoire vrai


    C'est un mec qui travaillait dans un bateau commercial qui transportait des marchandises censé resté aux frais.
    Il y avait alors une soute ou il fesait -50degrés, et un jour ce mec s'est retrouvé enfermé dans cette soute.

    Ce mec croyait que le "frigo" etait activée et que durant tout le voyage qu'il allait faire dans la soute, il le ferais dans du -50 degres

    Et ce mec est mort de froid alors que le frigo n'etait pas activé et que la temperature de la soute etait equivalente a une temperature ambiante

    Ayant de quoi ecrire sur la paroi de la soute, il a decrit toute ses souffrances (que ses doigt etait bleu...) jusqu'a dire qu'il sentait la mort arrivé

    Moralité ?

    Le froid n'existe pas, c'est dans nos tete que ca existe, c'est psychologique :)


    RaChiD

    (UKAN corrige moi (non pas comme ca) si je me suis tromper, la flemme de ressortir le bouquin...)

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  19. @Maha
    http://www.dailymotion.com/video/xfwg9k_every-breath-you-take_creation

    Ben Bernanke, la fed, les cds en chanson...

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Le blog est fermé. Allez sur la nouvelle rubrique des moutons écrasés (la suite)

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