La réponse d'un secrétaire d'état au ministère des finances allemand, à la question comment sortir de la crise de l'euro:
Il y a trois possibilités:
- Faire des économies drastiques pendant des années, ce qui est politiquement difficilement réalisable
- Inflationner
- Réforme monétaire
Vala. Les économies, vu les montagnes de dettes, même pas la peine d'y penser. Même l'inflation devrait bientot se heurter à des limites (crash obligataire), et donc il faut s'attendre plutôt à une belle réforme monétaire.
Traduit du Süddeutsche Zeitung:
Bombe à retardement
Ce que la chancellière Angela Merkel et la Bundesbank passent sous silence: Le "sauvetage" de l'euro ne sauve pas l'euro - mais il fait prendre à l'Allemagne des risques monstrueux, qui dépassent les pires attentes du public.
.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
ne rien payer !
RépondreSupprimeren attendant la nouvelle monnaie mondiale, bien sur !
0+0 = la tête à toto !
les zélites n'en ont rien à f***** de la "monnaie mondiale", ils savent ou sont les vraies valeurs.
RépondreSupprimerles monnaies, comme les frontieres, n'existent que pour gérer les moutons.
un beau holdup général, ca règle les problemes de dettes (qui n'existent pas non plus) d'un coup, et ca envoie les moutons dans les rues mieux que fessebouc.
le hold up général, bien entamé, pour le moins, envoie des moutons vers l'abattoir.
RépondreSupprimerdans la rue : ce n'est que pour mieux les compter (mon enfant).
la "monnaie" actuellement ce sont toutes les matières premières et minerais. et les comptes sefont en $, et on s'en contrebalance que ça ne vale rien, le $ permet seulement une comptabilité.
les ressources de la planète sont les valeurs.
qui en en ayant le plus aura la planète ?
Vous oubliez une solution: la guerre (évite un crash obligataire mais au final le débiteur "belliqueux" ne rembourse pas)
RépondreSupprimerA mon avis ca sera un peu tout cela:
Une réforme monétaire instituera une monnaie mondiale (SDR, crédit carbone,...). Ce qui rendra notre dette au niveau mondial (un peu comme aujourd'hui les EuroBonds qui mutualisent au niveau européen les dettes des états européens). Et donc, une fois encore les autres paieront (ou plus précisément le monde entier payera pour "nous"). Les dettes seront donc partagées et "diluées". Il y aura beaucoup d'inflation car beaucoup d'argent est créée et cela réduira la valeur à rembourser. De plus les dettes étant fortement diluées, la confiance dans la monnaie va baisser.
Les soit-disant économies seront prétextes à privatiser des secteurs publiques rentables afin de privatiser les profits. Et ce sera (c'est) prétexte à baisser les salaires, diminuer les remboursement sociaux, supprimer des emplois,..
c'et quand meme rassurant que le secrétaire d'état n'ait pas nommé cette alternative...
RépondreSupprimerj'y ai pensé, mais je préfère ne pas y penser.
"Avec Bancor, je bank encore"
RépondreSupprimer