lundi 14 novembre 2011

La vérité du jour


REYKJAVIK - Le spectaculaire rétablissement économique de l'Islande, au bord de la banqueroute il y a trois ans, enseigne qu'un gouvernement doit laisser les banques faire faillite plutôt que de s'attaquer au contribuable, relèvent des analystes.

L'Express

A la différence des pays précédents, l'Islande n'est pas membre de l'Union européenne. Sa monnaie n'est pas l'euro. Dans ce tout petit pays qui a vu sa croissance s'arrêter net avec la crack bancaire de 2008, la gestion politique de la crise a été très différente. Celle-ci a provoqué la faillite totale du système bancaire et de fortes tensions avec certains pays (Angleterre, Pays-Bas) touchés par le naufrage des banques islandaises.

Le gouvernement de l'époque a été renversé et le recours au référendum a changé la donne politique. Interrogés, les Islandais ont refusé les plans de sauvetage et les mesures de remboursement de leur dette. La crise économique a débouché sur une crise politique et des élections ont été imposées.

Quand à l'économie, elle s'est très fortement contractée (près de 10% en 2009) mais a pu compter sur la dévaluation (-50% par rapport à l'euro) de sa monnaie pour repartir en 2010. Quant aux créanciers, ils ont du accepter les décisions islandaises.
FranceTV

L'Islande veut adopter le dollar canadien advisor.ca, 11.11.11
Pas con...
Qu'a l'islande que nous n'avons pas? Un taux d'alphabétisation de 100% ... par exemple.

Sortir de la misère avec l'euro, c'est comme apprendre à nager avec un poids de 500 kg à chaque pied...

2 commentaires:

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