Cameron voit une chance dans la crise actuelle pour retirer des compétences à Bruxelles et se les réaproprier dans les pays de l'euro.
La "réforme fondamentale" consisterait à défendre mieux les interêts des pays membres. "Nous avons le droit de demander ce que l'UE devrait faire et ne pas faire, et de changer cela". La Grande Bretagne favorise des réformes pour des marchés ouverts et le libre échange.
"Quitter l'UE n'est pas dans notre interêt national" a dit Cameron.
Fin de traduction
Quitter la zone euro signifierait subir la dictature de Bruxelles sans pouvoir l'influencer (impossible d'y échapper totalement, même la Suisse en souffre, étant souvent obligée de s'aligner). La meilleure option consiste donc à y rester pour la démonter de l'intérieur.
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