mercredi 16 novembre 2011

Parenthèse (Arbeit macht frei)

Au sujet du débat qui a eu lieu dans les commentaires du billet sur le retour de l'esclavage:

J'ai constaté une chose, ici et ailleurs, c'est que les partisans du "pas de boulot -> pas de fric" sont de moins en moins en nombreux, et les autres de plus en plus virulents contre cette minorité, ce que je comprends parfaitement.

La question est de savoir dans quel modèle de société on aimerait vivre...

1) Pas de boulot pas de pognon, avec une exception pour les "faibles", qui sont soutenus par les autres sans contrepartie (modèle actuel) puisqu'on sait très bien que tout le monde ne trouve pas sa place dans ce modèle élitiste ou le "système éducatif" nous passe tous à la moulinette. Il y a même énormément de déchets, inhérent à ce système ou on fait pas ni ce qu'on aime ni ce qu'on peut vraiment, parce qu'"il faut bien bouffer".
Le résultat: Une majorité de gens qui rament comme il peuvent - oui se sacrifient - pour avoir le droit de vivre, et une petite minorité abrutie qui occupe les fonctions clé et se charge de tout détruire (en délocalisant par exemple) sans mauvaise conscience - les déchets étant compris dans le tarif.

2) Je te file juste de quoi bouffer et en échange tu fais ce que je te dis (RMIstes en Allemagne et bientot RSA en france). Les déchets du système défaillant deviennent trop cher, alors on les fait bosser pour des prunes. Les "inactifs" deviennent sinon dangereux (ils réfléchissent! Ils lisent, ils font de la musique, ils se réunissent, ils s'épanouissent, au secours!!).
Dans le cas de l'Allemagne: Le rendement de cette main d'oeuvre gratuite évidemment démotivée est tellement mauvais que les "entrepreneurs" préfèrent employer de la main- d'oeuvre étrangère payée au lance pierre. Si bien qu'on réfléchit maintenant à un salaire minimum, la situation étant devenue ABERRANTE. Travailler devient ininteressant, les "assistés" pourtant de plus en plus nombreux sont traités comme du bétail, le travail au noir fleurit.
Un salaire minimum n'arrangera rien, faisant passer tous ces sous-payés dans la catégorie "assisté" et forcant la délocalisation et le travail forcé, rendu plus attractif malgré le manque total de motivation (cf RDA, et bientôt france).

Essayer de faire marcher ce système, c'est comme s'acharner à vouloir faire rouler une roue carrée.

3) Si tu bosses pas tu crèves, et si ya pas de boulot c'est pareil (USA, on va y arriver, les Etats étant fauchés, au pire quand des millions de chomeurs en Europe préfèreront la cloche à l'esclavage).
C'est comme (2) avec encore plus de misère et de criminalité.

4) Tu es accepté comme individu à part entière dès ta naissance SANS CONDITION et tu es assuré de ne manquer de rien. Ta simple existence est un enrichissement pour le groupe. A toi de te développer sans pression et de donner en retour ou pas. Tu as le minimum vital, et pour le reste, à toi de jouer (revenu inconditionnel). Les besoins de base sont assurés intelligemment, on a le temps d'être créatif. Tu n'es pas de la main d'oeuvre le moins chère possible (dont personne n'a plus besoin), mais un être humain.

Et si il te faut 3 semaines pour fabriquer une paire de godasses, et alors, qu'est ce que ça peut foutre?? Hé les gars, déjà pensé à marcher pieds nus?

Et parce que quelqu'un demandait qui allait nettoyer les chiottes: Quand plus personne n'aura la vocation de le faire, et bien on arrêtera tout simplement de ch... à coté.
Il ne faut pas oublier que les boulots les plus dégueulasses ne sont pas nécessaires dans un modèle qui n'est plus basé sur la consommation à outrance, dans un modèle ou on ne compare plus les couts d'une machine à ceux d'un humain!! Un modèle ou on se pose systématiquement la question de savoir si il n'y a pas une autre solution, si on ne peut pas faire autrement.

Au lieu de tout organiser pour faire bosser le plus de mougeons possibles, on pourrait tout aussi bien faire le contraire!

Dans une société "primitive" deux heures de travail journalier suffisent pour nourrir une famille de 4 personnes. Avec les possibilités techniques qu'on a, on devrait tous être libérés et passer à autre chose. Il sert à quoi notre "progrès", à part fabriquer des maladies et des i-phones?
Combien d'heures travaillez vous pour la poubelle? La poubelle au sens large, c.a.d. aussi les guerres dont ce système pourri a besoin pour sa remise à zéro régulière, les administrations à la con, les montagnes d'ordures et les "richessses" accumulés par une élite et dont personne n'a besoin pour une vie épanouie.

L'être humain est il vraiment né esclave, se définissant par le travail, et même plus capable d'imaginer un autre modèle? La créativité et l'art seulement au service du rendement? Qui a dit ca?? Les élites à qui ça profite depuis des siècles? Celles qui croient être devenues riches en compensant la misère intellectuelle, spirituelle et émotionnelle par des merdes matérielles qui ne suffisent jamais, forcément??

Le pauvre mougeon conditionné descend dans la rue pour réclamer .... du travail! Au lieu de réclamer la fin du gachis et de l'esclavage, la fin de la destruction de son environnement, le droit de vivre.

Option 1, 2, 3 ou 4.. ou 5, on a le choix.

Parenthèse fermée

La peur du chomage est plus grande que la peur de la mort, lis-je à l'instant à propos d'un article du Welt sur la Bundeswehr intitulé "un emploi sûr".
Comme quoi "crise économique" et guerre vont vraiment parfaitement ensemble, comme la cuvette et le balai à chiottes.

32 commentaires:

  1. Ton titre m'a fait penser à un collègue que je respecte énormément pour son travail, robert Faurisson, je vous invite tous a regarder ce documentaire.

    http://www.unhommefaurisson.com/

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  2. "Dans une société "primitive" deux heures de travail journalier suffisent pour nourrir une famille de 4 personnes. Avec les possibilités techniques qu'on a, on devrait tous être libérés et passer à autre chose".

    Là est le nœud du problème. Toute la schizophrénie de notre existence vient du fait que c'est justement à cause des possibilités techniques que nous avons maintenant que nous ne pouvons être libérés et passer à autre chose. Pas de bureaucratie, pas de productivisme chez les mormons ou les indiens d'Amazonie, mais qui a envie aujourd'hui de s'éclairer à la bougie, de rouler en charrette, faire 6 ou 7 enfants par femme et mourir à 50 ans ? De plus, le mode de fonctionnement de ces sociétés est possible du fait qu'elles sont peu peuplées par rapport à la surface agricole qu'elles exploitent. Il n'y a qu'à voir la courbe démographique mondiale, devenue exponentielle depuis un siècle et demi (l'arrivée du pétrole) pour comprendre qu'il devenu impossible de vivre chacun dans une cabane avec un cheval et 500m2 de potager. Nous sommes bel et bien des esclaves de ce système, coincés par ce mode de vie que nous avons eu l'illusion de croire qu'il était un droit universel.

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  3. Merci Maha, tout à fait d'accord, perso je penche pour l'option 4 bien sûr :-) on peut toujours rêver

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  4. @cecilum: essaie d'imaginer quelque chose qui n'existe pas (encore) au lieu de faire une fixation sur les mauvais exemples dont personne ne veut.

    @ angeles: moi aussi :-)

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  5. Oui bien sur, moi aussi je pense que la solution 4 est la plus proche d'un système évolué. Mais pour y arriver, il faudra que l'intellect se développe autant que c'est développé la technicité au fil du temps. Et la, c'est pas gagné. Nous sommes dans un espace ou Cromagnon a laché sa massue pour prendre les commandes d'un B52 chargé d'ogives nucléaires.

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  6. tiens comment ki poste lui/elle, cecilum? on voit rien comme logo machin bidule et toussa??

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  7. @Zangao, il n'y a pas que l'intellect à développer.
    Il faut aussi changer la nature humaine.

    Hors la nature humaine est celle d'un enfant : bête, lourd, méchant avec les autres, brutal et fainéant.

    Donc si tu proposes un salaire minimum de vie sans la contre-partie de faire quelque chose pour la société ou la communauté, bin tu finis par des gars qui s'étripent entre eux à coups de massue, et qui vivent dans des grottes, en violant toutes les femmes qui passent.

    Bref sans une carotte pour corriger la nature humaine profonde, plus de civilisation, et on revient à l'état d'animaux, voir même pire car plus nuisible les uns pour les autres que les animaux, ne le sont.

    C'est un peu comme le communisme, ça fonctionne super bien sur le papier, c'est génial.
    Ca serait l'idéal si l'homme était une sorte de robot avec un bon fond et très intelligent.
    Pis on voit ce que ça a donné : camps de rééducation, élites corrompus jusqu'à la moelle, marché noir, misère, famines, massacre des populations.

    Moi je serais plus pour un retour à la société féodale. Avec une structure en petite communauté, et tout bien décentralisé, pour plus de libertés.

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  8. Euh... personne ne connait les idées du Venus Project ici ??

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  9. Bien sûr que la solution 4 est possible. Elle est même notre seule et unique porte de sortie vers la liberté. Sans ça, nous sommes condamnés à répéter les mêmes conneries, c'est à dire nous détruire nous mêmes (mentalement et physiquement) et notre environnement.
    Cecilum, sans vouloir t'offenser ta vision des choses est complètement étriquée. Comme l'a dit Maha, il faut imaginer ce qui n'existe pas mais qui pourrait très bien exister si nous le voulons vraiment. Notre technologie connue (et celle occultée) nous permettrait sans aucun doute de réaliser cette solution 4.
    Il suffirait juste de penser prioritairement à notre bien-être et non à notre compte en banque et à ce putain de pognon qui nous a perverti jusqu'au trognon.

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  10. Mimiche, l'éducation... Je pense qu'il est là le problème.
    Ce que tu dis est vrai, mais à mon humble avis uniquement dans le schéma d'une éducation actuelle. Education générée par la société elle-même bien sûr. Qui a très bien su s'infiltrer dans les consciences depuis des générations...
    Mais j'aime bien aussi ta solution, ce serait une bonne solution intermédiaire, pour commencer. Moins utopique peut-être.

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  11. Avec les régions qui doivent de plus en plus se démerder par elles-mêmes, n'y aurait-il pas moyen que des zones géographiquement restreintes passent à l'acte comme cela existe déjà ailleurs dans le mondes ?
    Je pense à l'Alaska ou à cette région de Namibie présentés dans ce documentaire (et billet de Maha) : Le revenu inconditionnel de base

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  12. @ anonyme : le Venus project je n'en ai vu que les idées justement... de toute façon vouloir globaliser une solution est une voie sans issue déjà expérimentée

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  13. Bonjour,

    Sympa d'ouvrir les commentaires aux "anonymes", depuis le temps...

    La solution 4 serait un bon début pour éradiquer pauvreté et précarité, et donner enfin un peu de sens au mot liberté, mais... in fine, en dehors d'une vie libre et sereine, la vrai liberté ne serait elle pas de permettre à chacun de vivre toutes les expériences souhaitées, possibles et imaginables en ce bas monde? ...en gros, d'avoir et de vivre ce que chacun souhaite.

    En ce sens, malgré que cela puisse être un bon début, il m'est difficile de croire que le revenu inconditionnel (l'argent) puisse être l'ultime solution.

    Pouvons nous imaginer un modèle de société idéale sans notion d'argent ou de contre partie?

    Y aurait il des limites ? les ressources peut être?

    Oliv

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  14. quand il y aura moins d'humains qui viendront pour faire l'expérience de l'exploitation (passive ou active) alors tout changera

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  15. Vous croyez reellement a cette utopie? Il existe deja ce statut de minimum vital en France mais les mecs qui veulent plus ont trouver le moyen de creer des besoins chez les mecs qui ne voulaient pas se fouler, resultat ils veulent plus mais sans rien foutre.

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  16. "Vous croyez reellement a cette utopie?"

    C'est sûr...

    "Il existe deja ce statut de minimum vital en France"

    Ah? Où ça? Quel statut minimum vital?
    Juste de quoi manger? Sans toit cet hivers, la bouffe ne te fera pas vivre...

    De quoi te nourrir et un toit?
    ok. C'est mon cas, mais parce que je suis proprio (héritage). Mais mes 400euros par mois d'allocation ne me permettent pas de chauffer et il fait 12°c chez moi. Pourtant, je ne me sens pas le plus mal lotis, loin de là.

    Alors il est où le statut de minimum vital pour ceux qui n'ont rien??

    "resultat ils veulent plus mais sans rien foutre"
    Et alors? si tout le monde avait plus sans rien foutre?

    Oliv

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  17. ah ok...on peut se déconnecter:)

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  18. mais y faut pas "rien foutre"...
    c'est ceux qui travaillent qui foutent rien...;o)

    ou en tout cas rien de bon, rien de solide ni durable, rien d'épanouissant ;-)

    faut s'impliquer, s'intéresser à des trucs, n'importe quoi, puisque tout est dans tout :)

    on n'a aucune raison de "rien foutre"...même les "primitifs" faisaient des tas de choses...(c'est juste qu'on a retrouvé que la moitié..du dixième ;-))

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  19. exact. ceux qui font meme juste un peu de musique par jour sont plus constructifs que ceux qui devastent la nature pour construire des centrales nucleaires

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  20. Tout à fait d'accord.

    Pourquoi sommes-nous une minorité à le comprendre alors que cela semble si logique ? Je me le demande.
    Les gens sont-ils tellement conditionnés qu'ils ne sont même plus aptes à comprendre ce qui sort de leur petite vue étriquée du monde et de la vie ?
    J'en ai bien peur...

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  21. Entièrement d'accord avec bop.

    Mais aujourd'hui nous courons après tout ce que nous désirons... du vital, à l'expérience, jusqu'au matériel superflus; désireux de toujours avoir plus. Et pour cela, faut "gagner sa vie".
    Mon choix, comme beaucoup d'autres j'en suis sûr, est de garder mon temps de vie, ne pas la perdre à la gagner; surtout à "rien foutre" dans un job sans intérêt.
    Donc, il me venait à penser que si chacun possédait ce qu'il souhaite, pourrions nous libérer notre temps, notre esprit et notre ego de cette soif de toujours plus? et ainsi, nous "impliquer, nous intéresser à des trucs, n'importe quoi..."

    Autrement dit, au contraire de faire pour avoir, pourrait on avoir pour faire?

    Oliv

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  22. Entièrement d'accord avec vous, mais bon je vais quand même vous implanter une puce RFID et vous balancez de la télé réalité en 3D.

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  23. On a déjà ce pouvoir, ce qu'il nous manque c'est le courage et la foi afin d'oser donner corps à toutes ces envies de liberté.
    D'ailleurs on en fait tous déjà preuve dans notre quotidien (nous ne serions par exemple pas là à commenter sinon...)

    Il serait grave de ne pas nous affranchir d'un esclavage que nous percevons et dont nous souffrons alors que nous en avons le pouvoir, brin par brin, pas à pas de la faire et d'en profiter

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  24. Pour revenir a la réalité, je ne vois pas ce qu'il y a de digne a accepter un taf de merde, 7h par semaine, pour recevoir un RSA.
    Sarko prouve par la qu'il n'a aucune idée de ce qu'est la dignité.
    Ces gens excellent dans l'humiliation, c'est surement ce qui les perdra.

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  25. Personne ne pense que l'homme va se détacher du matériel pour vivre enfin en esprit et découvrir qu'il y a besoin de très peu pour faire fonctionner son corps et partagera donc très facilement avec les autres. D'ailleurs ceux qui se gavent de viandes le midi, ne décollent pas l'après-midi et n'apportent pas grand-chose lors de leur passage sur terre. On vivra en harmonie avec la nature et nous ne nous couperons plus d'elle. La notion de propriété sera relative et la communauté sera le lieu de vie ! Voyons loin, voyons comme nous sommes à l'intérieur et non-pas avec des peurs !

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  26. Zangao a dit…

    Pour revenir a la réalité, je ne vois pas ce qu'il y a de digne a accepter un taf de merde, 7h par semaine, pour recevoir un RSA.
    Sarko prouve par la qu'il n'a aucune idée de ce qu'est la dignité.
    Ces gens excellent dans l'humiliation, c'est surement ce qui les perdra.


    Moi ce que je ne comprend pas,c'est qu'il faut des tonnes de lignes, pour expliquer aux gens la vérité(voir la morale),quand il suffit a sharko d'une seule phrase pour que tout le monde aie envie de s’étriper.

    De plus,ce grand monsieur d'1m40, avait il de la dignité quand il a tendu la main a mamie bettencourt ? lool. Il aurait du chercher un vrai travail ce mendiant...;-)

    Sinon merci,maha, enfin quelqu'un qui semble avoir compris la supercherie des élites par rapport a cette illusion du travail.Ça se fait rare,même chez les anti-nwo...

    Et pourtant il y a encore tellement a dire sur le sujet,ne serait ce que pour contrebalancer la propagande mondialiste actuelle et passé.

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  27. Je ne pense pas qu'il faille renoncer forcément à la société de consommation telle que nous la connaissons. En revanche je serai assez favorable à ce que nous travaillons moins pour polluer moins.
    Il y a 30 ans une machine à laver durait 20 ans et on pouvait la redonner à ses enfants. Aujourd'hui elle dure 10 ans... Le problème n'est pas que Foxcom emploi 500000 personnes pour produire des e-phone, Le problème c'est qu'ils pourraient sortir de suite la version 6 qui serait hightech pour une décennie. Ma modeste contribution.

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  28. ...

    Il y en a encore beaucoup qui se sont perdus sur ce blog ?

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  29. Le RSA nous sauvera, Dieu merci.

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  30. S'il est question de penser un autre système, Étienne Chouard apporte une contribution non-négligeable résumée dans sa conférence sur la démocratie athénienne.

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Le blog est fermé. Allez sur la nouvelle rubrique des moutons écrasés (la suite)

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