mardi 8 mars 2011

L'histoire se répète!

Aujourd'hui se tient à Berlin un "Benzingipfel" qu'on peut traduire par "sommet sur l'essence". Visiblement le gouverne-ment n'a pas l'intention de retirer cette saloperie d'E10 du marché.

Le dernier "Benzingipfel" a eu lieu en 1934 sous Adolf... L'information sur le Braunkohle-Benzin AG n'existe qu'en allemand visiblement (wiki) c'est dommage. On y retrouve encore notre chère IG Farben ainsi que 9 autres s'unissant pour la production de carburant synthétique.

En français je n'ai trouvé que ça: Une industrie nouvelle: Les carburants de remplacement. Ce texte date de 1941.

L'introduction:
"Bien que l'invention essentielle - celle de Bergius - remonte à 1913-1915, ce n'est guère avant 1935 que l'industrie des carburants de remplacement prend un développement intéressant: il y a là une industrie toute récente, née pendant la crise économique de marasme et de trouble, un véritable paradoxe. Mais ce paradoxe n'est qu'apparent; car d'impérieuses raisons économiques appelaient cette industrie nouvelle, au moment même ou le développement des techniques la rendait viable."

En ce qui concerne E10, de source inofficielle: Les assurances prévoient 80% de moteurs endommagés.
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4 commentaires:

  1. "En français je n'ai trouvé que ça"..

    c'est ça le big souci ...

    en français on trouve plus rien !!!

    la france = intellectuellement sous développée.

    la tendance est lourde !!!!

    lobotomisés, on souffrira moins !

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  2. Je suppose Maha que tu fait référence à la transformation pour les besoins de la guerre du charbon allemand en pétrole de synthèse dans le cadre d'une réaction dite de Fischer-Tropsch.
    Cette réaction nécessitait une composé particulier que seul l'industrie US possédait et leur a fournit : Rockfeller n'a rien trouvé à redire, ni Ford pour leur livrer les moteurs de char allemand, ni IBM pour les ordinateurs qui vont permettre la gestion des camps de concentration, etc...

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  3. c'est pas franchement étonnant Steph

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  4. @Wendy pas de problème, c'est réalisable même sans carte vitale et entièrement pris en charge...

    Suffit d'aller au commissariat, péter un plomb et des messieurs en blanc s'occuperont de toi ;) Un simple appel au procureur suffit, le bonheur c'est simple comme un coup d'aldol.

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