Bon je relis les deux phrases en supprimant l'inutile et cela donne : "le puits a été sécurisé. Une dernière étape de colmatage reste toutefois nécessaire."
Donc le puits a été sécurisé mais l'opération de sécurisation n'est pas complète ... donc en fait il n'est pas sécurisé. Le mot "toutefois" dans la deuxième phrase insinue que cette "dernière étape" est obligatoire sinon le puits ne serait pas complètement sécurisé. Ce qui signifie après relecture que le journaliste nous une chose et son contraire en seulement 2 phrase !
Y'a pas à dire les journalistes sont des spécialistes de la langue française. Il sont tous bons pour rentrer à l'Académie Française !!
La puce RFID est détrônée par la BioDynamic Signature
Une dépêche de l'AFP vient d'annoncer la mise au point d'une nouvelle technologie appelée BioDynamic Signature ( BDS). Son inventeur est la société israélienne Idesia, laquelle a choisi de rendre public son invention lors du grand salon informatique Computex, à Taipei. L'article de l'agence de presse présenté la BDS comme une avancée médicale qui devrait permettre à chacun « d'évaluer stress et humeur ». Il suffira pour cela de « saisir deux capteurs à la forme similaire à une souris pour mesurer précisément son activité cardiaque ». Des relevés qui devront être « combinés aux données personnelles du patient », comme l'âge par exemple, et qui permettront de calculer son niveau de stress. C'est pourtant à un tout autre usage qu'est en réalité destinée la technologie « BioDynamic Signature ». IDesia travaille à ce projet d'identification biométrique depuis 2006. Il s'agit de pouvoir relever l'emprunte magnétique d'un individu au moyen des signaux électro-physiologique qu'il émet. « Personne n'avait encore jamais réussi à créer un système biométrique qui permette d'authentifier passivement un individu, par un simple toucher sur du métal ou un matériau conducteur », déclare le Dr Daniel Lange, inventeur du BDS, dans la plaquette technique d'IDesia. Le procédé est simple mais redoutable : on prélève d'un individu une sorte de code génétique magnétique, et il est ensuite possible de l'identifier à chaque fois qu'il est en contact avec un capteur BDS. Le directeur d'IDesia, Baruch Levanon, précise que si l'identification nécessite un contact (comme poser sa main sur une poignée de porte, un téléphone etc.) l'authentification peut en revanche se faire depuis plusieurs mètres, et « même depuis une carte à puce de type bancaire ». « La caractéristique la plus important pour une utilisation quotidienne de la biométrie est la commodité, ajoute M.Baruch. On peut donc sans peine équiper chaque ordinateur d''un capteur BDS, de sorte à identifier les consommateurs lors de leurs achats en ligne sur Internet ». On est loin de l'évaluation du stress présentée par l'AFP. En vue de sa commercialisation, prévue au quatrième trimestre 2010, une première série de tests de la technologie BDS a été effectuée par le National Physical Laboratory, à Londres. Les premiers kits d'IDesia viennent d'être distribué au salon de Computex. La brochure qui l'accompagne annonce fièrement : « Vous le verrez, l'application de notre technologie est sans fin ». Source : Brève de LIESI – Juillet/août 2010.
***A vérifier*** La puce RFID est détrônée par la BioDynamic Signature Une dépêche de l'AFP vient d'annoncer la mise au point d'une nouvelle technologie appelée BioDynamic Signature ( BDS). Son inventeur est la société israélienne Idesia, laquelle a choisi de rendre public son invention lors du grand salon informatique Computex, à Taipei. L'article de l'agence de presse présenté la BDS comme une avancée médicale qui devrait permettre à chacun « d'évaluer stress et humeur ». Il suffira pour cela de « saisir deux capteurs à la forme similaire à une souris pour mesurer précisément son activité cardiaque ». Des relevés qui devront être « combinés aux données personnelles du patient », comme l'âge par exemple, et qui permettront de calculer son niveau de stress. C'est pourtant à un tout autre usage qu'est en réalité destinée la technologie « BioDynamic Signature ». IDesia travaille à ce projet d'identification biométrique depuis 2006. Il s'agit de pouvoir relever l'emprunte magnétique d'un individu au moyen des signaux électro-physiologique qu'il émet.
« Personne n'avait encore jamais réussi à créer un système biométrique qui permette d'authentifier passivement un individu, par un simple toucher sur du métal ou un matériau conducteur », déclare le Dr Daniel Lange, inventeur du BDS, dans la plaquette technique d'IDesia. Le procédé est simple mais redoutable : on prélève d'un individu une sorte de code génétique magnétique, et il est ensuite possible de l'identifier à chaque fois qu'il est en contact avec un capteur BDS. Le directeur d'IDesia, Baruch Levanon, précise que si l'identification nécessite un contact (comme poser sa main sur une poignée de porte, un téléphone etc.) l'authentification peut en revanche se faire depuis plusieurs mètres, et « même depuis une carte à puce de type bancaire ». « La caractéristique la plus important pour une utilisation quotidienne de la biométrie est la commodité, ajoute M.Baruch. On peut donc sans peine équiper chaque ordinateur d''un capteur BDS, de sorte à identifier les consommateurs lors de leurs achats en ligne sur Internet ». On est loin de l'évaluation du stress présentée par l'AFP. En vue de sa commercialisation, prévue au quatrième trimestre 2010, une première série de tests de la technologie BDS a été effectuée par le National Physical Laboratory, à Londres. Les premiers kits d'IDesia viennent d'être distribué au salon de Computex. La brochure qui l'accompagne annonce fièrement : « Vous le verrez, l'application de notre technologie est sans fin ». Source : Brève de LIESI – Juillet/août 2010.
Une femme de 27 ans est atteinte d'un rare cancer des os ( sarcomme d'Ewig). La chimiothérapie lui détruira les ovaires. Les chirurgiens décident de prélever des lamelles d'ovaires avant le traitement. Celles-ci seront mises en cryoconservation. Cette personne guérit au bout de deux ans. Elle demande ensuite à ce que lui soit réimplantées une partie de ces lamelles. Et le jour où elle se présente pour avoir une stimulation ovarienne pour améliorer ses chances de grossesse, le médecin découvre qu'elle est en tout début de grossesse. Depuis elle a eu un second enfant. Et toujours des lamelles d'ovaires en stock. Cet exploit rend espoir à toutes les femmes devenues stériles par traitement chimiothérapique. Il s'agit d'un extraordinaire traitement de la stérilité.
Matt Simmons, expert pétrolier, banquier d'affaires, fut aussi conseiller du président George .W.Bush. Récemment, il s'est fait remarquer en martelant que la situation du Golfe du Mexique était « apocalyptique », « Nous allons devoir évacuer les Etats du Golfe », clamait-il encore avant sa disparition tragique.
« Cette histoire est bien pire que ce que j'estimais ». En juin 2010, dans une interview publiée par le magazine Fortune, Matt Simmons affirmait qu'il restait à BP « environ un mois pour se placer sous la protection du chapitre 11 » (des faillites) en raison de la marée noire, due à la fuite d'un de ses puits dans le Golfe du Mexique. Une semaine plus tard, la banque d'investissement Simmons & Co, qu'il avait créée en 1974, annonçait qu'elle rompait avec son fondateur, qui en était encore président honoraire ! En 2007, Simmons avait fondé l'Océan Energy Institute, un groupe de recherche énergétique, avec des fonds de capital-investissement axés sur les développements des énergies renouvelables offshore. Malgré les conseils au calme et à la tempérance, le 21 juillet 2010, Matt Simmons répliqua lors d'une interview donnée à Bloomberg : la prétendue fermeture du puits par BP, dit-il, est une énorme arnaque : le puits montré sur les écrans n'est pas le vrai puits, lequel serait situé à quelques kilomètres de là et qui, lui, continuerait à laisser échapper ses 120 000 barils journaliers. Pour Matt Simmons, le tube et le ciment tout autour ont été détruit par le foret lors d'une brutale remontée de gaz0 Une fois le tube détruit, le gaz et le pétrole sous pression se seraient frayé un chemin dans la roche pour déboucher quelques kilomètres plus loin et former un énorme lac de pétrole et de gaz, ce que les pétroliers appellent un UGBO. Les débris du ciment seraient dispersés au fonds de l'océan. Donc, expliquait-il, même si on bouche le blowout preventer (BOP), cela donnerait juste l'illusion que le problème est réglé, mais pas du tout, car ce n'est pas par là que la majorité du pétrole s'écoulerait. En fait, le pétrole s'écoulerait en masse quelques kilomètres plus loin. En outre, même si BP creuse un autre puits, cela n'arrangerait rien car il n'y a plus de tube à rejoindre pour détourner le pétrole. Tout cela se réalisant dans un Golfe dont le sol est extrêmement poreux, ce qui est connu depuis les années 70.
Matt Simmons, expert pétrolier, banquier d'affaires, fut aussi conseiller du président George .W.Bush. Récemment, il s'est fait remarquer en martelant que la situation du Golfe du Mexique était « apocalyptique », « Nous allons devoir évacuer les Etats du Golfe », clamait-il encore avant sa disparition tragique. « Cette histoire est bien pire que ce que j'estimais ». En juin 2010, dans une interview publiée par le magazine Fortune, Matt Simmons affirmait qu'il restait à BP « environ un mois pour se placer sous la protection du chapitre 11 » (des faillites) en raison de la marée noire, due à la fuite d'un de ses puits dans le Golfe du Mexique. Une semaine plus tard, la banque d'investissement Simmons & Co, qu'il avait créée en 1974, annonçait qu'elle rompait avec son fondateur, qui en était encore président honoraire ! En 2007, Simmons avait fondé l'Océan Energy Institute, un groupe de recherche énergétique, avec des fonds de capital-investissement axés sur les développements des énergies renouvelables offshore. Malgré les conseils au calme et à la tempérance, le 21 juillet 2010, Matt Simmons répliqua lors d'une interview donnée à Bloomberg : la prétendue fermeture du puits par BP, dit-il, est une énorme arnaque : le puits montré sur les écrans n'est pas le vrai puits, lequel serait situé à quelques kilomètres de là et qui, lui, continuerait à laisser échapper ses 120 000 barils journaliers. Pour Matt Simmons, le tube et le ciment tout autour ont été détruit par le foret lors d'une brutale remontée de gaz0 Une fois le tube détruit, le gaz et le pétrole sous pression se seraient frayé un chemin dans la roche pour déboucher quelques kilomètres plus loin et former un énorme lac de pétrole et de gaz, ce que les pétroliers appellent un UGBO. Les débris du ciment seraient dispersés au fonds de l'océan. Donc, expliquait-il, même si on bouche le blowout preventer (BOP), cela donnerait juste l'illusion que le problème est réglé, mais pas du tout, car ce n'est pas par là que la majorité du pétrole s'écoulerait. En fait, le pétrole s'écoulerait en masse quelques kilomètres plus loin. En outre, même si BP creuse un autre puits, cela n'arrangerait rien car il n'y a plus de tube à rejoindre pour détourner le pétrole. Tout cela se réalisant dans un Golfe dont le sol est extrêmement poreux, ce qui est connu depuis les années 70.
Matt Simmons, expert pétrolier, banquier d'affaires, fut aussi conseiller du président George .W.Bush. Récemment, il s'est fait remarquer en martelant que la situation du Golfe du Mexique était « apocalyptique », « Nous allons devoir évacuer les Etats du Golfe », clamait-il encore avant sa disparition tragique.
« Cette histoire est bien pire que ce que j'estimais ». En juin 2010, dans une interview publiée par le magazine Fortune, Matt Simmons affirmait qu'il restait à BP « environ un mois pour se placer sous la protection du chapitre 11 » (des faillites) en raison de la marée noire, due à la fuite d'un de ses puits dans le Golfe du Mexique. Une semaine plus tard, la banque d'investissement Simmons & Co, qu'il avait créée en 1974, annonçait qu'elle rompait avec son fondateur, qui en était encore président honoraire ! En 2007, Simmons avait fondé l'Océan Energy Institute, un groupe de recherche énergétique, avec des fonds de capital-investissement axés sur les développements des énergies renouvelables offshore. Malgré les conseils au calme et à la tempérance, le 21 juillet 2010, Matt Simmons répliqua lors d'une interview donnée à Bloomberg : la prétendue fermeture du puits par BP, dit-il, est une énorme arnaque : le puits montré sur les écrans n'est pas le vrai puits, lequel serait situé à quelques kilomètres de là et qui, lui, continuerait à laisser échapper ses 120 000 barils journaliers.
Pour Matt Simmons, le tube et le ciment tout autour ont été détruit par le foret lors d'une brutale remontée de gaz0 Une fois le tube détruit, le gaz et le pétrole sous pression se seraient frayé un chemin dans la roche pour déboucher quelques kilomètres plus loin et former un énorme lac de pétrole et de gaz, ce que les pétroliers appellent un UGBO. Les débris du ciment seraient dispersés au fonds de l'océan. Donc, expliquait-il, même si on bouche le blowout preventer (BOP), cela donnerait juste l'illusion que le problème est réglé, mais pas du tout, car ce n'est pas par là que la majorité du pétrole s'écoulerait. En fait, le pétrole s'écoulerait en masse quelques kilomètres plus loin. En outre, même si BP creuse un autre puits, cela n'arrangerait rien car il n'y a plus de tube à rejoindre pour détourner le pétrole. Tout cela se réalisant dans un Golfe dont le sol est extrêmement poreux, ce qui est connu depuis les années 70. Matt Simmons pouvait-il entacher sa réputation d'expert et de financier du monde pétrolier en affirmant des balivernes ? Plus que cela, Matt Simmons était l'un des membre triés sur le voler du CRF, qui décide de la politique étrangère de la Maison-Blanche... ainsi que du Club de Rome dont l'un des slogans : « Halte à la croissance ! » est devenu célèbre.
Matt Simmons était d'autant plus gênant que, par sa notoriété dans le domaine énergétique, ses conseils étaient écoutés du sénateur Collins, du gouverneur John Baldacci, ainsi que d'autres dirigeants d'Etats. Ces derniers temps, Matt Simmons répétait sans cesse que BP s'était entendu avec Obama pour berner le monde entier. « Ce second puits existe vraiment et il est à l'origine d'un véritable lac de pétrole s'étalant en ce moment au fond du Golfe (1) ». « Comment voulez-vous boucher un volcan de pétrole qui fuit à 1600 mètres de profondeur sur une zone sismique instable ? Les poches de gaz présentes à cet endroit créent d'énormes pressions que des vannes classiques pourraient difficilement contenir ». Nous ignorons si les informations de Matt Simmons sont fondées, mais il est officiellement mort noyé le 8 août 2010, âgé de 67 ans, à son domicile de North Haven, dans le Maine. Curieux tout de même de voir la liste de ces banquiers, décédés dans leur piscine ou dans leur bain, après avoir refusé de jouer le rôle auquel ils étaient cantonnés jusqu'alors. Source : LIESI - 31 août 2010 (1) En cherchant auprès de quelques sources, on peut en effet découvrir que « sur le fondement de documents a priori officiels de permis de forage octroyés à BP, deux puits très proches ( MC252-A et MC252-B) existent réellement. D'après les indications de positions sur les images des robots submersibles qui surveillent le puits, c'est le puits A qui occupe BP. Mais pour Simmons le puits explosé est le puits B que l'on voit nulle part. D'après lui, le bout de tuyau de 6 pouces (puits A) qui laissait échapper le pétrole et qui a été bouché par BP n'a rien à voir avec l'étendu des dégâts constatés car bien trop petit pour laisser échapper 100 000 barils par jour, et trop petit également pour avoir explosé le BOP de 200 tonnes en tête de puiss, ainsi que la plate-forme Deepwater » ( Source: Mediapart)
***Souvenir de 2005...c'est con le mourir noyer...*** L'ancien président néerlandais de la Banque centrale européenne (BCE) Wim Duisenberg, 70 ans, a été découvert mort dimanche(2005), noyé dans la piscine de sa villa de Faucon (Vaucluse), village pittoresque du sud-est de la France, a-t-on appris dimanche de sources concordantes. Selon les secours, le premier président de la BCE, qui avait dirigé l'institution monétaire européenne entre mai 1998 et l'automne 2003, a été découvert inanimé dans la piscine de la villa aux alentours de 11H30. En dépit de l'intervention des pompiers, il n'a pu être ranimé, a-t-on ajouté de même source. Le maire de ce village de près de 400 habitants Danny Aubert a précisé que c'était l'épouse de l'ancien président de la BCE qui avait alerté les secours. Selon les résultats d'une autopsie pratiquée dimanche en fin d'après-midi et communiquée par le parquet de Carpentras (Vaucluse), Wim Duisenberg est décédé de "mort naturelle". Wim Duisenberg est "décédé de mort naturelle due à une noyade suite à un problème cardiaque" a déclaré sans plus de détails a déclaré le procureur de la République de Carpentras Jean-François Sampieri, dimanche soir.
désolé pour les répétitions, les fautes d'orthographes et les commentaires longs...mais c'est vraiment trop con ces morts par noyade dans leur piscine! Pour ceux que cela intéresse je vous conseil de recherche le manuel de la cia pour les tueurs professionnels édité dans les années 50 ou 60...et je crois me souvenir qu'il y a un site dédié aux morts suspectes de personnes ayant des postes "sensibles"...
*** Un admirateur béat de Cocteau qui croisant son idole dans la rue susurre " un ange passe" , "qu'on l'encule" répondit Cocteau...******... "Si seulement ils enseignaient l'amour, la compréhension et la compassion... Ils devraient enseigner que la vie ne finit jamais, jamais, au lieu de culpabiliser les gens. Ils devraient enseigner qu'à notre mort, il nous sera rendu compte de chacune de nos paroles et de chacun de nos gestes, car tout a une conséquence". Dr. Elisabeth Kübler-Ross
Mensonge, mensonge et désinfo pour une population sous hypnose........
RépondreSupprimerMarée noire: le puit de bp ne serait plus une "menace".. mais un "danger imminent"!...
RépondreSupprimert as raison ngiu, faut juste lire attentivement :0)
RépondreSupprimernous prennent juste pour des trompettes...
RépondreSupprimerwendy(en direct de Jéricho)
D'ailleurs il n'y a jamais eu de fuite de pétrole! Il n'y a aucune pollution! Tout ceci est un délire de journaliste conspirationniste!
RépondreSupprimerC'est même plus de foutage de gueule. Ils ont largement dépassé ce stade...
L'année prochaine, Oblabla va recevoir le prix nobel de l'écologie??? mdr
j'aime bien comment ils utilisent tout le temps le conditionnel, ca les preserve de l'erreur, ca donne un effet de vérité absolue...
RépondreSupprimerRaCh
Bon je relis les deux phrases en supprimant l'inutile et cela donne : "le puits a été sécurisé. Une dernière étape de colmatage reste toutefois nécessaire."
RépondreSupprimerDonc le puits a été sécurisé mais l'opération de sécurisation n'est pas complète ... donc en fait il n'est pas sécurisé. Le mot "toutefois" dans la deuxième phrase insinue que cette "dernière étape" est obligatoire sinon le puits ne serait pas complètement sécurisé. Ce qui signifie après relecture que le journaliste nous une chose et son contraire en seulement 2 phrase !
Y'a pas à dire les journalistes sont des spécialistes de la langue française. Il sont tous bons pour rentrer à l'Académie Française !!
:-))
***A Vérifier***
RépondreSupprimerLa puce RFID est détrônée par la BioDynamic Signature
Une dépêche de l'AFP vient d'annoncer la mise au point d'une nouvelle technologie appelée BioDynamic Signature ( BDS). Son inventeur est la société israélienne Idesia, laquelle a choisi de rendre public son invention lors du grand salon informatique Computex, à Taipei. L'article de l'agence de presse présenté la BDS comme une avancée médicale qui devrait permettre à chacun « d'évaluer stress et humeur ». Il suffira pour cela de « saisir deux capteurs à la forme similaire à une souris pour mesurer précisément son activité cardiaque ». Des relevés qui devront être « combinés aux données personnelles du patient », comme l'âge par exemple, et qui permettront de calculer son niveau de stress.
C'est pourtant à un tout autre usage qu'est en réalité destinée la technologie « BioDynamic Signature ».
IDesia travaille à ce projet d'identification biométrique depuis 2006. Il s'agit de pouvoir relever l'emprunte magnétique d'un individu au moyen des signaux électro-physiologique qu'il émet.
« Personne n'avait encore jamais réussi à créer un système biométrique qui permette d'authentifier passivement un individu, par un simple toucher sur du métal ou un matériau conducteur », déclare le Dr Daniel Lange, inventeur du BDS, dans la plaquette technique d'IDesia. Le procédé est simple mais redoutable : on prélève d'un individu une sorte de code génétique magnétique, et il est ensuite possible de l'identifier à chaque fois qu'il est en contact avec un capteur BDS. Le directeur d'IDesia, Baruch Levanon, précise que si l'identification nécessite un contact (comme poser sa main sur une poignée de porte, un téléphone etc.) l'authentification peut en revanche se faire depuis plusieurs mètres, et « même depuis une carte à puce de type bancaire ». « La caractéristique la plus important pour une utilisation quotidienne de la biométrie est la commodité, ajoute M.Baruch. On peut donc sans peine équiper chaque ordinateur d''un capteur BDS, de sorte à identifier les consommateurs lors de leurs achats en ligne sur Internet ». On est loin de l'évaluation du stress présentée par l'AFP.
En vue de sa commercialisation, prévue au quatrième trimestre 2010, une première série de tests de la technologie BDS a été effectuée par le National Physical Laboratory, à Londres. Les premiers kits d'IDesia viennent d'être distribué au salon de Computex. La brochure qui l'accompagne annonce fièrement : « Vous le verrez, l'application de notre technologie est sans fin ».
Source : Brève de LIESI – Juillet/août 2010.
***A vérifier***
RépondreSupprimerLa puce RFID est détrônée par la BioDynamic Signature
Une dépêche de l'AFP vient d'annoncer la mise au point d'une nouvelle technologie appelée BioDynamic Signature ( BDS). Son inventeur est la société israélienne Idesia, laquelle a choisi de rendre public son invention lors du grand salon informatique Computex, à Taipei. L'article de l'agence de presse présenté la BDS comme une avancée médicale qui devrait permettre à chacun « d'évaluer stress et humeur ». Il suffira pour cela de « saisir deux capteurs à la forme similaire à une souris pour mesurer précisément son activité cardiaque ». Des relevés qui devront être « combinés aux données personnelles du patient », comme l'âge par exemple, et qui permettront de calculer son niveau de stress.
C'est pourtant à un tout autre usage qu'est en réalité destinée la technologie « BioDynamic Signature ».
IDesia travaille à ce projet d'identification biométrique depuis 2006. Il s'agit de pouvoir relever l'emprunte magnétique d'un individu au moyen des signaux électro-physiologique qu'il émet.
« Personne n'avait encore jamais réussi à créer un système biométrique qui permette d'authentifier passivement un individu, par un simple toucher sur du métal ou un matériau conducteur », déclare le Dr Daniel Lange, inventeur du BDS, dans la plaquette technique d'IDesia. Le procédé est simple mais redoutable : on prélève d'un individu une sorte de code génétique magnétique, et il est ensuite possible de l'identifier à chaque fois qu'il est en contact avec un capteur BDS. Le directeur d'IDesia, Baruch Levanon, précise que si l'identification nécessite un contact (comme poser sa main sur une poignée de porte, un téléphone etc.) l'authentification peut en revanche se faire depuis plusieurs mètres, et « même depuis une carte à puce de type bancaire ». « La caractéristique la plus important pour une utilisation quotidienne de la biométrie est la commodité, ajoute M.Baruch. On peut donc sans peine équiper chaque ordinateur d''un capteur BDS, de sorte à identifier les consommateurs lors de leurs achats en ligne sur Internet ». On est loin de l'évaluation du stress présentée par l'AFP.
RépondreSupprimerEn vue de sa commercialisation, prévue au quatrième trimestre 2010, une première série de tests de la technologie BDS a été effectuée par le National Physical Laboratory, à Londres. Les premiers kits d'IDesia viennent d'être distribué au salon de Computex. La brochure qui l'accompagne annonce fièrement : « Vous le verrez, l'application de notre technologie est sans fin ».
Source : Brève de LIESI – Juillet/août 2010.
Danemark : une prouesse
RépondreSupprimerUne femme de 27 ans est atteinte d'un rare cancer des os ( sarcomme d'Ewig). La chimiothérapie lui détruira les ovaires. Les chirurgiens décident de prélever des lamelles d'ovaires avant le traitement. Celles-ci seront mises en cryoconservation. Cette personne guérit au bout de deux ans. Elle demande ensuite à ce que lui soit réimplantées une partie de ces lamelles. Et le jour où elle se présente pour avoir une stimulation ovarienne pour améliorer ses chances de grossesse, le médecin découvre qu'elle est en tout début de grossesse. Depuis elle a eu un second enfant. Et toujours des lamelles d'ovaires en stock. Cet exploit rend espoir à toutes les femmes devenues stériles par traitement chimiothérapique. Il s'agit d'un extraordinaire traitement de la stérilité.
- Source : Les Cahiers Saint Raphaël – mars 2010
ET merde ! on est deja trop !
RépondreSupprimerAvec du persil les lamelles d'ovaires, ça devrait le faire ........
***A vérifier***
RépondreSupprimerMatt Simmons, expert pétrolier, banquier d'affaires, fut aussi conseiller du président George .W.Bush. Récemment, il s'est fait remarquer en martelant que la situation du Golfe du Mexique était « apocalyptique », « Nous allons devoir évacuer les Etats du Golfe », clamait-il encore avant sa disparition tragique.
« Cette histoire est bien pire que ce que j'estimais ». En juin 2010, dans une interview publiée par le magazine Fortune, Matt Simmons affirmait qu'il restait à BP « environ un mois pour se placer sous la protection du chapitre 11 » (des faillites) en raison de la marée noire, due à la fuite d'un de ses puits dans le Golfe du Mexique. Une semaine plus tard, la banque d'investissement Simmons & Co, qu'il avait créée en 1974, annonçait qu'elle rompait avec son fondateur, qui en était encore président honoraire ! En 2007, Simmons avait fondé l'Océan Energy Institute, un groupe de recherche énergétique, avec des fonds de capital-investissement axés sur les développements des énergies renouvelables offshore. Malgré les conseils au calme et à la tempérance, le 21 juillet 2010, Matt Simmons répliqua lors d'une interview donnée à Bloomberg : la prétendue fermeture du puits par BP, dit-il, est une énorme arnaque : le puits montré sur les écrans n'est pas le vrai puits, lequel serait situé à quelques kilomètres de là et qui, lui, continuerait à laisser échapper ses 120 000 barils journaliers. Pour Matt Simmons, le tube et le ciment tout autour ont été détruit par le foret lors d'une brutale remontée de gaz0 Une fois le tube détruit, le gaz et le pétrole sous pression se seraient frayé un chemin dans la roche pour déboucher quelques kilomètres plus loin et former un énorme lac de pétrole et de gaz, ce que les pétroliers appellent un UGBO. Les débris du ciment seraient dispersés au fonds de l'océan. Donc, expliquait-il, même si on bouche le blowout preventer (BOP), cela donnerait juste l'illusion que le problème est réglé, mais pas du tout, car ce n'est pas par là que la majorité du pétrole s'écoulerait. En fait, le pétrole s'écoulerait en masse quelques kilomètres plus loin. En outre, même si BP creuse un autre puits, cela n'arrangerait rien car il n'y a plus de tube à rejoindre pour détourner le pétrole. Tout cela se réalisant dans un Golfe dont le sol est extrêmement poreux, ce qui est connu depuis les années 70.
Matt Simmons, expert pétrolier, banquier d'affaires, fut aussi conseiller du président George .W.Bush. Récemment, il s'est fait remarquer en martelant que la situation du Golfe du Mexique était « apocalyptique », « Nous allons devoir évacuer les Etats du Golfe », clamait-il encore avant sa disparition tragique.
RépondreSupprimer« Cette histoire est bien pire que ce que j'estimais ». En juin 2010, dans une interview publiée par le magazine Fortune, Matt Simmons affirmait qu'il restait à BP « environ un mois pour se placer sous la protection du chapitre 11 » (des faillites) en raison de la marée noire, due à la fuite d'un de ses puits dans le Golfe du Mexique. Une semaine plus tard, la banque d'investissement Simmons & Co, qu'il avait créée en 1974, annonçait qu'elle rompait avec son fondateur, qui en était encore président honoraire ! En 2007, Simmons avait fondé l'Océan Energy Institute, un groupe de recherche énergétique, avec des fonds de capital-investissement axés sur les développements des énergies renouvelables offshore. Malgré les conseils au calme et à la tempérance, le 21 juillet 2010, Matt Simmons répliqua lors d'une interview donnée à Bloomberg : la prétendue fermeture du puits par BP, dit-il, est une énorme arnaque : le puits montré sur les écrans n'est pas le vrai puits, lequel serait situé à quelques kilomètres de là et qui, lui, continuerait à laisser échapper ses 120 000 barils journaliers. Pour Matt Simmons, le tube et le ciment tout autour ont été détruit par le foret lors d'une brutale remontée de gaz0 Une fois le tube détruit, le gaz et le pétrole sous pression se seraient frayé un chemin dans la roche pour déboucher quelques kilomètres plus loin et former un énorme lac de pétrole et de gaz, ce que les pétroliers appellent un UGBO. Les débris du ciment seraient dispersés au fonds de l'océan. Donc, expliquait-il, même si on bouche le blowout preventer (BOP), cela donnerait juste l'illusion que le problème est réglé, mais pas du tout, car ce n'est pas par là que la majorité du pétrole s'écoulerait. En fait, le pétrole s'écoulerait en masse quelques kilomètres plus loin. En outre, même si BP creuse un autre puits, cela n'arrangerait rien car il n'y a plus de tube à rejoindre pour détourner le pétrole. Tout cela se réalisant dans un Golfe dont le sol est extrêmement poreux, ce qui est connu depuis les années 70.
Matt Simmons, expert pétrolier, banquier d'affaires, fut aussi conseiller du président George .W.Bush. Récemment, il s'est fait remarquer en martelant que la situation du Golfe du Mexique était « apocalyptique », « Nous allons devoir évacuer les Etats du Golfe », clamait-il encore avant sa disparition tragique.
RépondreSupprimer« Cette histoire est bien pire que ce que j'estimais ». En juin 2010, dans une interview publiée par le magazine Fortune, Matt Simmons affirmait qu'il restait à BP « environ un mois pour se placer sous la protection du chapitre 11 » (des faillites) en raison de la marée noire, due à la fuite d'un de ses puits dans le Golfe du Mexique. Une semaine plus tard, la banque d'investissement Simmons & Co, qu'il avait créée en 1974, annonçait qu'elle rompait avec son fondateur, qui en était encore président honoraire ! En 2007, Simmons avait fondé l'Océan Energy Institute, un groupe de recherche énergétique, avec des fonds de capital-investissement axés sur les développements des énergies renouvelables offshore. Malgré les conseils au calme et à la tempérance, le 21 juillet 2010, Matt Simmons répliqua lors d'une interview donnée à Bloomberg : la prétendue fermeture du puits par BP, dit-il, est une énorme arnaque : le puits montré sur les écrans n'est pas le vrai puits, lequel serait situé à quelques kilomètres de là et qui, lui, continuerait à laisser échapper ses 120 000 barils journaliers.
Pour Matt Simmons, le tube et le ciment tout autour ont été détruit par le foret lors d'une brutale remontée de gaz0 Une fois le tube détruit, le gaz et le pétrole sous pression se seraient frayé un chemin dans la roche pour déboucher quelques kilomètres plus loin et former un énorme lac de pétrole et de gaz, ce que les pétroliers appellent un UGBO. Les débris du ciment seraient dispersés au fonds de l'océan. Donc, expliquait-il, même si on bouche le blowout preventer (BOP), cela donnerait juste l'illusion que le problème est réglé, mais pas du tout, car ce n'est pas par là que la majorité du pétrole s'écoulerait. En fait, le pétrole s'écoulerait en masse quelques kilomètres plus loin. En outre, même si BP creuse un autre puits, cela n'arrangerait rien car il n'y a plus de tube à rejoindre pour détourner le pétrole. Tout cela se réalisant dans un Golfe dont le sol est extrêmement poreux, ce qui est connu depuis les années 70.
RépondreSupprimerMatt Simmons pouvait-il entacher sa réputation d'expert et de financier du monde pétrolier en affirmant des balivernes ? Plus que cela, Matt Simmons était l'un des membre triés sur le voler du CRF, qui décide de la politique étrangère de la Maison-Blanche... ainsi que du Club de Rome dont l'un des slogans : « Halte à la croissance ! » est devenu célèbre.
Matt Simmons était d'autant plus gênant que, par sa notoriété dans le domaine énergétique, ses conseils étaient écoutés du sénateur Collins, du gouverneur John Baldacci, ainsi que d'autres dirigeants d'Etats. Ces derniers temps, Matt Simmons répétait sans cesse que BP s'était entendu avec Obama pour berner le monde entier. « Ce second puits existe vraiment et il est à l'origine d'un véritable lac de pétrole s'étalant en ce moment au fond du Golfe (1) ». « Comment voulez-vous boucher un volcan de pétrole qui fuit à 1600 mètres de profondeur sur une zone sismique instable ? Les poches de gaz présentes à cet endroit créent d'énormes pressions que des vannes classiques pourraient difficilement contenir ».
RépondreSupprimerNous ignorons si les informations de Matt Simmons sont fondées, mais il est officiellement mort noyé le 8 août 2010, âgé de 67 ans, à son domicile de North Haven, dans le Maine. Curieux tout de même de voir la liste de ces banquiers, décédés dans leur piscine ou dans leur bain, après avoir refusé de jouer le rôle auquel ils étaient cantonnés jusqu'alors.
Source : LIESI - 31 août 2010
(1) En cherchant auprès de quelques sources, on peut en effet découvrir que « sur le fondement de documents a priori officiels de permis de forage octroyés à BP, deux puits très proches ( MC252-A et MC252-B) existent réellement. D'après les indications de positions sur les images des robots submersibles qui surveillent le puits, c'est le puits A qui occupe BP. Mais pour Simmons le puits explosé est le puits B que l'on voit nulle part. D'après lui, le bout de tuyau de 6 pouces (puits A) qui laissait échapper le pétrole et qui a été bouché par BP n'a rien à voir avec l'étendu des dégâts constatés car bien trop petit pour laisser échapper 100 000 barils par jour, et trop petit également pour avoir explosé le BOP de 200 tonnes en tête de puiss, ainsi que la plate-forme Deepwater » ( Source: Mediapart)
***Souvenir de 2005...c'est con le mourir noyer...***
RépondreSupprimerL'ancien président néerlandais de la Banque centrale européenne (BCE) Wim Duisenberg, 70 ans, a été découvert mort dimanche(2005), noyé dans la piscine de sa villa de Faucon (Vaucluse), village pittoresque du sud-est de la France, a-t-on appris dimanche de sources concordantes.
Selon les secours, le premier président de la BCE, qui avait dirigé l'institution monétaire européenne entre mai 1998 et l'automne 2003, a été découvert inanimé dans la piscine de la villa aux alentours de 11H30.
En dépit de l'intervention des pompiers, il n'a pu être ranimé, a-t-on ajouté de même source. Le maire de ce village de près de 400 habitants Danny Aubert a précisé que c'était l'épouse de l'ancien président de la BCE qui avait alerté les secours.
Selon les résultats d'une autopsie pratiquée dimanche en fin d'après-midi et communiquée par le parquet de Carpentras (Vaucluse), Wim Duisenberg est décédé de "mort naturelle".
Wim Duisenberg est "décédé de mort naturelle due à une noyade suite à un problème cardiaque" a déclaré sans plus de détails a déclaré le procureur de la République de Carpentras Jean-François Sampieri, dimanche soir.
désolé pour les répétitions, les fautes d'orthographes et les commentaires longs...mais c'est vraiment trop con ces morts par noyade dans leur piscine!
RépondreSupprimerPour ceux que cela intéresse je vous conseil de recherche le manuel de la cia pour les tueurs professionnels édité dans les années 50 ou 60...et je crois me souvenir qu'il y a un site dédié aux morts suspectes de personnes ayant des postes "sensibles"...
Pour ceux que cela intéresse voila le lien:
RépondreSupprimerhttp://actualitedelhistoire.over-blog.com/article-3-45764882.html