mardi 2 novembre 2010

Encore des rumeurs au sujet du Deutsch Mark

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Sur le meilleur site officiel de désinformation (après whatdoesitmean): Goldlikeproductions

Le 5 novembre... Il n'y a pas d'urgence pour l'Allemagne à sortir de l'euro, vous allez me dire.

1) C'est vrai - en apparence
2) On n'en sait rien, n'étant pas informé du tout et n'ayant pas une vue d'ensemble
3) Quand le peuple commencera à en voir l'utilité, il sera déjà trop tard, panique, fuite de capitaux etc.
4) Ce sera donc une surprise totale et peut survenir à nimporte quel moment

Un pote franmac m'assure que j'ai déjà perdu mon pari (réforme monétaire en 2010). Il dit qu'il n'y en aura pas avant 2012.

On verra bien

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4 commentaires:

  1. Angela Merkel consigns Ireland, Portugal and Spain to their fate
    Germany has had enough. Any eurozone state that spends its way into a debt crisis or cannot adapt to a monetary union set for Northern rhythms will face “orderly” bankruptcy.

    By Ambrose Evans-Pritchard
    Published: 5:37PM GMT 31 Oct 2010
    316 Comments

    Angela Merkel needs a treaty change to prevent the German constitutional court from blocking the bail-out fund as a breach of the EU law
    Bondholders will discover burden-sharing. Debt relief will be enforced, either by interest holidays or haircuts on the value of the bonds. Investors will pay the price for failing to grasp the mechanical and obvious point that currency unions do not eliminate risk: they switch it from exchange risk to default risk.
    What were investors thinking when they bought Greek 10-year bonds at 26 basis points over Bunds in 2007, below the spread between British Columbia and Quebec?
    La suite dans le Daily Telegraph.
    Il se passera bien des choses avant 2012

    Korrigan

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  2. le meeting de la Fed demain, déjà

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  3. @maha : moi aussi j'ai fait un pari sur la crise que j'ai perdu. Je suis plus prudent depuis....Maintenant je pense que notre analyse donne les évolutions, les grandes tendances mais de là à donner un échéancier ... trop dangereux!

    Surtout qu'"ils" peuvent toujours sortir qq lapins du chapeau (Ex : l'émission du 1er QE du 17 mars 2009 leur a déjà fait gagner plus d'un an, cela ne re-marchera pas deux fois aussi bien, mais ils sont capable de trouver autre chose. Ils jouent leur survie politique et économique, ils sont donc aux abois !)...
    Steph

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  4. Selon une étude récente, la crise financière procurerait aux banquiers un sentiment d’excitation similaire à l’excitation sexuelle.

    Selon un article publié dans Angelaki : The journal of the theoritical humanities, les cadres de banques responsables de la crise financière de 2008 auraient déclenché cette dernière à cause d’une sorte de masochisme inconscient. En effet, celle-ci les auraient poussés à désirer la destruction de leurs propres institutions.

    Selon l’académicien britannique Paul Crosthwaite, les banquiers soumis à une forte pression professionnelle souffriraient de pulsions auto-destructives. Elles se feraient ressentir par un besoin de détruire les institutions qu’ils gouvernent. Les banquiers seraient ainsi soumis à "la pulsion de mort". Inconsciemment, la perte d’argent ou la responsabilité d’une crise financière leur procurerait une satisfaction et un désespoir proche du masochisme.

    Les recherches du Dr Crosthwaite suggèrent donc que les banquiers ne prennent pas de risques financiers simplement dans le but d’avoir des résultats plus importants. Pour lui, cela proviendrait également d’un désir de souffrir et d’une stimulation due aux pertes. A l’avenir, l'auteur de l'étude préconise que les politiques limitent la capacité des cadres de banques à s’engager dans des pratiques excessives, afin d’éviter toute nouvelle récession. Source zigonet

    steph (la source est bien zigonet et non pas... zigounette)

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