On ne discute pas avec les brouettes

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Je regarde les nouvelles, mais franchement, à quoi bon rentrer dans les détails...

La bourse se casse la gueule, le DOW a fait -2% hier et continue sa descente aujourd'hui. L'or ne se laisse plus juguler en dessous de la barre des 1.000 USD. Les contrats de la Comex arrivant en décembre à échéance ne sont même pas couverts à 10%, ce qui laisse prévoir une belle explosion.

Les licenciements continuent. Je dirais même, ils s'accélèrent, surtout en Allemagne, les élections ayant eu lieu dimanche dernier, il n'y a plus de retenue.

Le transport maritime est en crise, la SNCF est en déficit, le transport routier est en pleine débandade, et lisez les commentaires de ce dernier lien sur les transport routiers:

Le ras-le-bol chez France Telecom n'est que la pointe de l'iceberg. Les salariés gagnent de moins en moins, font face à des conditions de travail de plus en plus démentes.
Ceux qui sont au chomage sont malades parce qu'ils n'ont pas d'emploi, et ceux qui ont un emploi sont malades parce qu'ils en ont un.

En même temps, comme si tout ça ne suffisait pas, la terre s'ébroue pour se débarrasser de ses sales parasites sur fond de tambours de guerre du Moyen Orient. La météo déconne et des trucs bizarres se promènent autour du soleil.

Les lois restrictives et les systèmes de surveillance se multiplient sans retenue. L'état d'urgence a été préparé partout, les campagnes de vaccination arrivent ...

Et des fois je discute avec des relations de travail qui disent que tout va surement s'arranger. Je réponds: "Oui, bien sur" d'un ton rassurant. Ces crétins là n'ont même pas encore vendu leurs actions...

Puisqu'on parle de transport, comme dit mon Papa: On ne discute pas avec les brouettes, on les pousse.

Je vous parie que les Irlandais ont voté "oui" cette fois (oui les endormis, ils ont revoté aujourd'hui). Ils ont raison: Qu'on en finisse.

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