Dédicasse à ma femme Isis.
Tu m'as emmerdé sale grognasse,
A compter les heures qui passent,
J'ai fais le rapace dégueulasse,
Quand tu te perdais dans l'espace,
Je t'ai detesté, tu ma fais remarquer,
Qu'mon univers s'arrête à mon nez,
Et t'as en plus la terrible audace,
De ne pas voir le temps qui passe...
On s'est emmerdé on s'est fait des crasses,
Mais c'est qu'on savait pas ma poufiasse,
Que la femme planifie et que l'homme se déplace...
C'est comme ça qu'es tu veut que j'y fasse,
J'suis ton tomtom t'es ma montrasse...
***
Immothep ma belle
Osiris
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MDR!
RépondreSupprimerYo! Yo! Ouèè, Ouèèèè....
RépondreSupprimerYclic est dans la plâââââce...
lol
La mythologie, serait elle l'étude des mythomanes bipèdes équipés d'un pouce préhenseur ?
RépondreSupprimerAvant qu'un blasé m'insulte je vais faire mon auto-critique: Ce texte met en relief la dualité, qu'elle soit entre homme et femme, espace et temps, conscient et inconscient... Parce que tout ça c'est la même chose.
RépondreSupprimerL'idée m'est venue après avoir lu un critique de beaudelaire qui aurait mieux fait de la fermer, tellement il a rien compris, tellement il est nul, tellement j'ai honte pour lui.
Sources: Les Fleurs du Mal, edition établie par John E. Jackson.
stp ne fais pas l'erreur grossière de confondre principes masculin/féminin et homme/femme. Nous ne sommes ni des robots ni des tirroirs
RépondreSupprimerMoi j'suis un robot, un tirroir, un masculin, un feminin, un homme, une femme, un chien, un arbre...
RépondreSupprimerEt même une erreur ! :D
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