Quelle rigolade ... Les communes aussi sont pleines de crédits pourris.
Qui croit toujours que tout va s'arranger? Il faut être un peu givré pour laisser son argent à la banque.
20 octobre 2008 (Nouvelle Solidarité) — Pour son premier débat d’orientation budgétaire (DOB), Claude Bartelone, le nouveau président PS du Conseil général de Seine-Saint-Denis a décidé de dire la vérité : le département risque, du jour au lendemain, de sombrer dans d’importantes difficultés financières.
« Notre dette, affirme Bartelone, dont l’encours s’élève à 864 millions d’euros, est constituée à 97% d’emprunts toxiques. Notre annuité de remboursement peut passer brutalement de 40 à 80 millions d’euros ! »
L’élu vient de faire une découverte : « Nous avons des prêts dont les taux sont indexés sur le yen, le dollar, le franc suisse et même sur le taux d’inflation américain. » Pour lui, l’équipe précédente a « légué à leurs successeurs un risque au moins équivalent à celui des subprimes »
A qui la faute ? A part l’ancien exécutif, présidé par le communiste Hervé Bramy, qui, séduit par des taux alléchant, a systématiquement eu recours aux produits structurés sans imaginer les évolutions possibles du marché, Bartelone n’oublie pas la banque Dexia, « inventeur du produit » dont il attend qu’elle « répare les dégâts avant la catastrophe budgétaire ».
(Solidarité et progrès)
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Et ben, c'est du joli mes cocos...
RépondreSupprimerAlors comme ça, on boursicote dans la semaine et on va manifester le weekend...
C'est la bourse finale...