samedi 26 mai 2012

La photo du jour

Heureux qui comme Ulysse a fait un beau tour à moto

19 commentaires:

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  2. tu me cherches la...

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  3. la toison d'or, c'est toi?...

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  4. Ce commentaire a ete supprime par un administrateur du blog

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    1. oh merde pauv Quenelle, tu t'es fait chopper par la Polizei? t'écrivais trop vite?

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    2. Ce commentaire a ete supprime par une Mahadministratrice du blog.

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  5. c'est pas mon jour on dirait, essaierai plus tard...

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  6. Qu'est-ce que c'est beau l'Europe ! :)

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  7. Très joli en ouverture de blog, faudrait la garder dans un coin, en tout cas le piaf a l'air d'aimer, il est colé dessus

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  8. Perso , je me suis plutôt occupé de mes salades ... et en soirée MIB 3 :-)

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    1. il y a un marteau de Thorr ? J'aime....

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    2. Et j'ai le même en pendentif ...... nananananère :-))))

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  9. c'est l'amour vache avec quenelle sat... belle photo continue a nous faire découvrir l'allemagne ; )

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  10. Dommage qu'il faille une combi néoprène pour nager ^^

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    1. pas du tout, l'eau avait 20° et yavait plein de monde dans l'eau (sans combi)

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  11. Ayant la bonne fortune de résider près d’un autre lac de grande beauté, cette image captée par Dame Maha me fait lui dédicacer ce poème de Lamartine inspiré par l’un de nos lacs savoyards au bord duquel il aimait méditer :

    « Ô temps ! Suspends ton vol, et vous, heures propices !
    Suspendez votre cours :
    Laissez-nous savourer les rapides délices
    Des plus beaux de nos jours !

    Assez de malheureux ici-bas vous implorent,
    Coulez, coulez pour eux ;
    Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent,
    Oubliez les heureux.

    Mais je demande en vain quelques moments encore,
    Le temps m’échappe et fuit ;
    Je dis à cette nuit : Sois plus lente ; et l’aurore
    Va dissiper la nuit.

    Aimons donc, aimons donc ! De l’heure fugitive,
    Hâtons-nous, jouissons !
    L’homme n’a point de port, le temps n’a point de rive ;
    Il coule, et nous passons »

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    1. Auf dem See

      Und frische Nahrung, neues Blut
      Saug ich aus freier Welt;
      Wie ist Natur so hold und gut,
      Die mich am Busen hält!
      Die Welle wieget unsern Kahn
      Im Rudertakt hinauf,
      Und Berge, wolkig himmelan,
      Begegnen unserm Lauf.

      Aug, mein Aug, was sinkst du nieder?
      Goldne Träume, kommt ihr wieder?
      Weg, du Traum! so gold du bist;
      Hier auch Lieb und Leben ist.

      Auf der Welle blinken
      Tausend schwebende Sterne,
      Weiche Nebel trinken
      Rings die türmende Ferne;
      Morgenwind umflügelt
      Die beschattete Bucht,
      Und im See bespiegelt
      Sich die reifende Frucht.

      Johann Wolfgang von Goethe

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