samedi 20 août 2011

Standard & Poor's dégrade la note du Venezuela

La récompense pour avoir voulu rapatrier son or .... c'est mieux qu'une bombe.

[...] La note à long terme du Venezuela passe désormais de BB- à B+, Standard & Poor's maintenant sa perspective à stable.
Arguments invoqués par l'agence : l'état de santé du président vénézuélien Hugo Chavez, estimant que le cancer du dirigeant pourrait représenter une incertitude politique pour le pays. [...]
LeBlogFinance

Le Venezuela a 99 tonnes chez la seule Bank of England (ZeroHedge). Il a son or entre autres chez JP Morgan, Barclays, Bank of Nova Scotia. JP Morgan est un des 5 dépots de la COMEX et détient pour l'instant 10,6 tonnes.
C'est donc la COMEX et les manipulations du cours que Chavez met en danger, et par là même le système tout entier. Il a le doigt sur le détonateur.

3 commentaires:

  1. La meilleure ! ...mais que faisait son or aux states ? Vive Chavez !

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  2. Effectivement c'est du grand n'importe quoi qui disqualifie totalement la Standard & Poor's comme institution d'arbitre indépendant, il s'agit là de pure désinformation !


    Le Venezuela a encore pas mal de pétrole malgré les pillages économiques US et surtout d'immenses ressources en minéraux rares dont l'or.

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  3. 08 août 2011 à 11HO0 , le président de la Banque centrale européenne Jean-Claude Trichet a dit être très inquiet de la situation. Il a déclaré : « C’est la crise la plus grave depuis la Seconde Guerre mondiale ». Mais y a t-il eu une crise financière en 1945 ? Pas à notre connaissance. Alors, de quoi voulait-il parler? Quel message donne t-il ? 1929 ? Et que 1929-2011/12 pourrait nous mener à un nouveau 1939 ?

    Puis il a jouté que sans l’intervention de la communauté internationale, «cela aurait pu être la crise la plus grave depuis la Première Guerre». Ce commentaire est là uniquement pour rassurer les aveugles.
    Interrogé depuis Francfort sur Europe 1, le président de la BCE a appelé les gouvernements européens, notamment italien et espagnol, à «faire leur travail» pour réduire leurs déficits : « Nous avons demandé de manière extrêmement claire dans les derniers jours au gouvernement italien de prendre un certain nombre de décisions qui ont été prises, et d’accélérer en particulier le retour à une situation budgétaire normale ».

    « Nous avons demandé la même chose au gouvernement espagnol. Nous avons demandé à l’ensemble des gouvernements européens, les 17, d’accélérer les décisions qu’ils ont prises le 21 juillet », lors d’un sommet de la zone euro. Bien sûr, le président de la Banque centrale européenne Jean-Claude Trichet a défendu la décision de la BCE de racheter davantage de dette publique de pays de la zone euro.

    On assure qu’il aurait dit à Nicolas Sarkozy : «Nous devons assurer pour 332 millions de citoyens la stabilité des prix». Preuve que le scénario de LIESI d’une hyper inflation à relativement brève échéance est très crédible. Cela surviendra dès que vous verrez les gens faire la queue dans les banques pour réclamer leur argent… si on leur en laisse le temps!





    Commentaire des Echos.
    « Jean-Christophe Dourret, responsable de l’analyse technique chez Oddo Securities abonde : Mais qui parle de krach parle de panique à la baisse, et donc de paroxysme baissier. Or un marché paniqué à la baisse est plus proche du rebond que d’un accroissement supplémentaire du repli, même si nos instincts nous pousseraient à penser le contraire. Lionel Duverger, son alter ego chez B*Capital, s’attend également à ce rebond sur les marchés. A court terme, il y a survente de tous les indices actions et de façon marquée pour le S&P 500, car l’indicateur RSI [« relative strength index »] à 14 jours est au plus bas depuis octobre 2008, au lendemain de la faillite de Lehman Brothers. Quant au CAC 40, il faut remonter à janvier 2008 pour retrouver un pareil niveau. Tout laisse croire qu’un rebond significatif est quasi imminent, explique-t-il. Les gros supports se situent à 1.125-1.150 points pour le S&P 500 et à 2.950 points pour le CAC 40, signale Valérie Gastaldy. »

    On verra qui aura raison : les analystes parisiens ou Trader Noé / LIESI.

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