L'histoire est écrite par le vainqueur, on lui fait faire toutes les pirouettes qu'on veut. Au ban la vérité, on maquille pour rendre la chose plus acceptable, en corrélation avec le « happy end » des vainqueurs.
Le camp du Vernet, prison à ciel ouvert, camp de concentration en France avec une administration française à sa tête qui emmerde copieusement la morale et l'éthique. La « vérité » nous apprend qu'il s'agit d'un camp qui regroupe des opposants politiques aux régimes d’Hitler, Mussolini et Pétain, des membres de la Résistance. Faux, on a aussi des germains, des belges, des nationalistes de tout horizon, raflés sans raison chez eux, laissant femmes et enfants sans nouvelles. Petit monde qui se respecte, communistes, juifs de seconde zone, nationalistes unis par le malheur d'être emprisonné, bien que politiquement opposés. Condition de vie pitoyable où la malnutrition côtoie la maladie, la mort qui vient lentement par le manque d'eau, le manque de tout, une hygiène déplorable. Des enfants meurent, fauchés par les sévices et la dureté de la peine. Prisonniers en attente, un jugement qui ne vient jamais 1939, 1940... toujours rien.
Honte de la France que l'on tait. Un murmure qui s'estompe avec le temps. La peur a fait des suppôts des notables juifs de véritables sanguinaires tuant femmes, enfants, vieillards, malheureux d'être trop proche du camp adverse, sempiternelle querelle France-Allemagne. Les premiers mois de 1939 sont terribles pour la dissidence. Les juifs, avertis, jouant le jeu des deux camps, retournant l'opinion et collaborant avec l'ennemi pour mener à bien le plan. La jeunesse nationaliste foudroyé par son idéal, incapable de voir le mal à sa droite comme à sa gauche. Le national-socialisme, idéologie "idiotement utile" à la création de l’État d’Israël, bâtit avec la chair et la souffrance de leurs frères de seconde zone, les juifs condamnés, errants.
Le grand idéal européen commence mal, depuis les années 20, on discute la nécessité de virer les apatrides du pouvoir, les marchands d'usure sont là tapis dans l'ombre. De leurs mains crochus, ils arrachent le pouvoir, s'immiscent partout et mâtent toute opposition. Celui qui veut préserver ce que la IIIéme république a vendu se doit de pourrir dans des camps de fortune, pour rapidement mourir. De la race corrompue par l'idéal de pureté. Le grand désespoir de ces bannis : préserver le sang et l'histoire. Perdant, voilà donc le monde des vainqueurs. Mensonge devient vérité, lâcheté devient honneur. Inversion de l'histoire pour servir la soupe à ceux qui nous privent de nos libertés.
UPDATE:
La sainte communauté toute puissante et les laquais sionistes sont de suite montés au créneau. La confrontation n'est plus très loin, espérons que la masse va enfin comprendre l'absurdité des 1% qui font chier dans ce pays. Haziza conclu magnifiquement son propos, t'es un goy, donc tu la fermes.
Le juif Haziza et la manif pour tous