lundi 6 mai 2013

Aux chiottes Bruxelles!

Bonne nouvelle: Bruxelles voulait imposer la merdasse de Monsanto jusque dans les jardins privés. Il y a eu tellement de protestations qu'il ont stoppé net.
Nach Protest-Sturm: Brüssel bläst Zugriff auf private Gärten vorerst ab DWN

J'espere qu'on les laissera continuer à écrire des textes incohérents depuis leurs cellules de prison, ils aiment tellement ca. On leur donnera du papier, des stylos et meme des crayons de couleur, pas vrai?
Pour ceux qui ne finiront pas accroché à un lampadaire bien sur.

6 commentaires:

  1. Le meilleur truc serait de leurs faire bouffer leurs merdes, toutes leurs merdes!!

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  2. Pendez les hauts et court .

    La révolte gronde .

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  3. Je préfèrerai qu'ils soient pendus bas et court, au moins ils prendraient le temps de souffrir ces enfoirés.

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  4. Lundi 6 mai 2012: la Commission propose un cadre juridique modernisé pour des animaux et des végétaux plus sains et une chaîne alimentaire plus sûre en Europe

    La nouvelle:

    Lundi 6 mai, la Commission présentera une proposition relative à un paquet législatif de réformes modernisant le cadre juridique qui régit les contrôles officiels, la santé animale et végétale ainsi que le matériel de reproduction des végétaux pour une chaîne de production des denrées alimentaires plus sûre.

    D’une part, la proposition prévoit un cadre juridique unique, plus cohérent et plus transparent, visant à assurer une protection contre les risques de transmission de maladies animales et fondé notamment sur la prévention des maladies, la lutte contre les maladies et l’éradication de celles-ci. Les mouvements intra-UE d’animaux et de produits animaux ainsi que leur importation font également l’objet de dispositions.

    D’autre part, la proposition actualise le cadre réglementaire régissant la santé des végétaux en vue de renforcer la protection des cultures de l’Union et du milieu naturel contre les nouveaux organismes nuisibles provenant de l’extérieur de l’Europe. Le paquet contiendra également des règles simplifiées et plus souples, tant pour la culture des semences traditionnelles et de niche que pour celle des nouvelles variétés améliorées, qui auront pour objectif de garantir la production de denrées alimentaires, de protéger la biodiversité des productions végétales de l’Europe et de faciliter leur commercialisation. En outre, avec la mise en place des nouvelles règles, la production alimentaire en Europe sera soutenue par un système de contrôle performant afin que les consommateurs puissent avoir accès à des denrées alimentaires saines et que les producteurs puissent exercer leurs activités dans le respect d’exigences de sécurité uniformes et rigoureuses. Les microentreprises seront exemptées du paiement des redevances correspondantes, mais non des contrôles eux-mêmes.

    Le contexte:

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  5. La législation alimentaire de l’UE englobe tous les aspects de la chaîne de production des denrées alimentaires, qu’il s’agisse de la production d’aliments pour animaux et de denrées alimentaires, ou bien de la transformation, du stockage, du transport, de l’importation et de l’exportation, ou encore du commerce de détail, de l’information sur les denrées alimentaires et de la santé des animaux et des végétaux. Grâce à cette approche intégrée, la traçabilité de toutes les denrées alimentaires produites et vendues dans l’UE est garantie, «de la ferme à la table». La politique alimentaire de l’UE permet de préserver la sécurité sanitaire et la qualité des denrées alimentaires, en empêchant la contamination des aliments et en favorisant l’hygiène alimentaire, la fourniture d’informations sur les denrées alimentaires, la santé des végétaux, la qualité du matériel de reproduction des végétaux ainsi que la santé et le bien-être des animaux.

    L’évaluation de la politique communautaire en matière de santé animale (PCSA) et les consultations ultérieures1 ont permis d’examiner la pertinence de la législation existante et ont fait ressortir que, même si, de l’avis quasi-général, le système actuel fonctionne correctement, un certain nombre de points peuvent être améliorés. Les principaux problèmes relevés ont été les suivants: l’extrême complexité de l’actuelle PCSA, l’absence de stratégie globale en matière de santé animale, la trop faible attention accordée à la prévention des maladies (la nécessité d’un renforcement de la biosécurité a été particulièrement soulignée) et la réduction requise de la charge administrative pour le commerce intra-UE d’animaux vivants présentant un risque faible.

    En outre, il convient d’actualiser le cadre réglementaire en vigueur dans le domaine de la santé des végétaux (la directive sur la santé des végétaux datant de 2000) pour tenir compte de l’afflux et de l’établissement accrus de nouveaux parasites qui résultent de la mondialisation du commerce et du changement climatique.

    source:
    http://europa.eu/rapid/press-release_AGENDA-13-16_fr.htm?locale=fr
    un autre point de vue sur le sujet, celui de Mike Adams
    circule pas mal depuis hier...
    http://bistrobarblog.blogspot.fr/2013/05/article-lire-et-diffuser-svp.html#comment-form

    euh..s'ils interdisent auw agriculteurs de resemer, mais pas aux auto entrepreneurs,ils créent un inégalité... ça va mettre le waï...

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  6. "en vue de renforcer la protection des cultures de l’Union et du milieu naturel contre les nouveaux organismes nuisibles provenant de l’extérieur de l’Europe. "
    comme si les lois arrêtaient les nouveaux organismes nuisibles aux frontières de l'Europe
    hum,"vos papiers!"

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