mercredi 19 octobre 2011

Reuters révèle que l’occupation de Wall Street est un coup monté par Soros


Le but des "révolutions" en Europe est d'instaurer une dictature communiste. On est bien parti pour, si vous observez un peu ce qui se passe autout de vous.... Et c'est d'une logique evidente.

Quand le système sera par terre, il faudra une répartition (minimale!) du haut vers le bas, ça n'a jamais été autrement. C'est une necessité économique pour relancer un nouveau système.

Les mougeons qui encouragent ces "révolutions" financées et organisées par les "élites" devraient se demander si il ne serait pas plus sain de travailler à l'instauration d'un revenu inconditionnel avec préservation de nos libertés (le film), au lieu de nous pousser vers le fascisme de gauche que veulent ces ordures?

C'est l'enjeu actuel ...

Ceux qui réclament aujourd'hui "du travail pour tous" vont se retrouver demain aux travaux forcés!!! Utilisez votre cervelle bon sang!!!

Boycott "occup"!

Il ne faut en aucun cas foutre le bordel, parce qu'alors ils pourront faire ce qu'ils veulent. Les protestations "pacifiques" n'existent pas, elles servent de support pour leurs casseurs professionnels. Vous leur fournissez juste la masse humaine nécessaire.
Les emmerder oui, mais pas comme ça! Pas en jouant leur jeu... Bien sur qu'ils ont peur ds révolutions, c'est pour cela qu'ils les organisent et canalisent eux-mêmes! Le système, suffit de le laisser tomber, et yen n'a plus, au lieu de lui fournir de l'energie ...

L'article complet de drzz:


Georges Soros, 81 ans, septième fortune des Etats Unis évaluée à 22 milliards de dollars, est derrière le mouvement « spontané » pas du tout spontané – des insurgés de Wall Street.

Il nie avoir tout rapport, mais les journalistes de Reuters, après enquête, ont trouvé la main du machiavélique homme d’affaire derrière le mouvement.
Une organisation anti-capitaliste Canadienne, Adbusters, avait préparé un vrai lancement publicitaire du mouvement, une campagne marketing extrêmement sophistiquée, avec pour objectif de décalquer le printemps arabe à New York.

Adbusters est financé par Soros par l’intermédiaire de sociétés écrans, destinées à brouiller les cartes et empêcher de remonter jusqu’à lui.

Entre 2007 et 2009, Soros a versé 3.5 millions de dollars au Centre Tides, une organisation basée à St Francisco, et qui sert de plaque tournante pour distribuer les fonds. Parmi les destinataires, on trouve la Fondation Ford, et… Adbusters, qui a reçu 185.000 dollars entre 2001 et 2010, et dont la raison d’être est la destruction du capitalisme, l’arrêt de la consommation, dans la logique communiste.

L’un des fondateurs d’Adbusters, Kalle Lasn, 69 ans, a déclaré à Reuters que l’idée de l’opération contre Wall Street lui est venue avec le Printemps Arabe, et qu’il travaille dessus depuis le 13 juillet. Belle spontanéité, pour un mouvement qui a été lancé le 17 septembre : nos journalistes auraient besoin de cours de recyclage, eux qui continuent à soutenir que le mouvement est sorti « tout seul » du mécontentement des consommateurs.

L’hypocrite agitateur (c'est avec l'argent des riches qu'il invente des slogans qui dénoncent les riches qui volent aux pauvres, et il a construit une solide campagne publicitaire, lui qui réclame la disparition de la publicité) a également déclaré « que les idées de Soros sont excellentes », que l’argent dont dispose l’organisation vient de la vente des magazines, et qu’il « aimerait bien que George Soros l’aide financièrement », mais « il ne nous a jamais donné un centime ». Adbusters a reçu 26.000 dollars de Soros pour les seules années 2007-2009. Et Gorges Soros a nié être au courant des liens entre l’argent qu’il a versé à Adbusters et Wall-Street.

Une découverte de Reuters sans surprise

Le fait que les médias Français n’en parlent pas est naturel : les journalistes de l'AFP ne lisent pas l'anglais et ils ne connaissent pas Reuters.

Le résultat est que les médias mentent sur le mouvement d'occupation de Wall Street, et mentent lorsqu'ils écrivent qu'il s'agit d'un mouvement sans leader.

Le scénario du financement de l'opération Wall Street en rappelle un autre, celui du puissant lobby américain J-Street, mais la surprise ne s’arrête pas là, nous le verrons plus loin.

J-Street

J-Street, bien déguisé en lobby pro-israélien afin d’attirer des riches et crédules Juifs américains, a ses entrées chez Obama, et il est dirigé par des alter-Juifs. Il affiche des prises de positions farouchement anti-sionistes, et étrangement très en phase avec les demandes des Palestiniens. Suite aux révélations du Washington Times, il s'est avéré que J-Street, dont le batard français s'appelait J-Call, et qui niait tout rapport avec Soros, avait reçu 750.000 dollars du milliardaire, lequel est un ennemi acharné d’Israël.

De Wall Street à Tel Aviv…

En plein mois d’août, un mouvement démarrait, à Tel Aviv, pour protester contre la vie chère et les prix de l’immobilier, avec installation de tentes sur le boulevard Rothschild et dans plusieurs villes israéliennes. Là encore, le mouvement fut qualifié de populaire, totalement apolitique et spontané par les médias locaux, information reprise telle quelle par les médias européens.
Sauf qu’en regardant ce mouvement « populaire et apolitique » de plus près, quelques observateurs attentifs s’aperçurent que la porte parole du mouvement, Daphni Leef, était – mais ce devait être un hasard – une activiste radicale d’extrême gauche, qui travaille – par un hasard tout aussi fortuit – comme éditrice Vidéo pour l'Organisation Non Gouvernementale de George Soros, du nom de « New Israel Fund ».

Une explication sur le « New Israel Fund », et la boucle est bouclée.

Le NIF est le navire amiral d’une nébuleuses de petites associations israéliennes d’extrême gauche, qui vit sur un budget de 25 millions de dollars par an.

Dans un Wikileaks (4) du 25 février 2010, sa présidente, Hedva Radovanitz, expliquait au responsable politique de l’Ambassade des Etats Unis à Tel Aviv, que « le NIF travaillait en coulisses au travers d’une multitude d’associations pour empêcher le vote de la loi israélienne qui oblige les ONG à révéler l’origine des fonds qui les alimentent ». Elle ajouta que selon elle « dans cent ans, Israël sera à majorité arabe, et la disparition de l’Etat Juif ne sera pas la tragédie que craignent les Israéliens, car le pays sera devenu beaucoup plus démocratique ».

Les enquêtes menées entre autres par l'organisation Im Tirzu ont révélé que le NIF reçoit ses fonds d’un institut, l’« Open Society Institute » qui appartient à, vous avez deviné, George Soros.

En avril 2011, soit trois mois avant le mouvement de protestation du mois d’août à Tel Aviv, Stanley Greenberg, qui a travaillé pour l’OSI, présentait un plan qui faisait appel à des relais sociaux et des réseaux de protestations de l’ultra gauche, afin de créer une nouvelle majorité contre le gouvernement et renverser Benjamin Netanyahu.

Une partie du financement venait d’une organisation philanthropique appartenant au millionnaire Daniel Abraham, ancien membre du « Groupe de Crise » de George Soros. Le directeur de son organisation s’appelle Robert Wexler, ancien membre du Congrès, membre de J-Street, et… ancien conseiller d’Obama pour le Moyen-Orient.

Là encore, aucun média n’avait intérêt à dévoiler le pot aux roses, car l’objectif de cette nébuleuse est de renverser Netanyahu, et les journalistes israélien, comme ailleurs, sont très ancrés à gauche.

Le NIF mobilisa donc les protestataires, acheta des tentes, réalisa un manuel d’activisme, et finança l’opération – comme à Wall Street.

Il fit également appel au mouvement des Rabbins pour les droits de l’homme, lesquels reçoivent des fonds de l’OSI et de la fondation Tides. Lors d’une soirée évènement, les Rabbins ont même décerné des récompenses au Président du New Israeli Fund et à celui de l’Open Society Institute.

Comme pour Wall Street, le plan développé par Greenberg à Tel Aviv consistait à éclater le mouvement en une infinité de tous petits groupes et organisations afin de faire croire à l’existence d’une multitude de revendications, venant de gens très différents, apolitiques, populaires, spontanées, désordonnées, voire difficiles à concilier sous une seule bannière. Pour Wall Street, vous noterez combien les médias insistent sur ces aspects.

… Et de Tel Aviv à la place Tahrir

Les plus perspicaces retrouveront ici l’empreinte d’un autre mouvement « spontané », « populaire », qui a démarré de manière « désordonnée » par les plaintes « d’une multitude de gens différents » « sans leader », au sujet du prix du pain, et qui s’est terminé par la chute de Mubarak, aidé au bon moment par Obama.

Reproduction vivement encouragée, avec la mention suivante et le lien ci dessous :
© Jean-Patrick Grumberg pour www.Drzz.fr http://www.Drzz.fr

12 commentaires:

  1. déjà "page not found" sur le site Reuters !??!!

    lol

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  2. pour le blog aussi ce matin, mais ca remarche ...

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  3. Ce qui m'étonne, c'est que le site de Jo, l'éveil 2011 ne prenne pas cela en compte alors qu'on lui a dit et répété!?

    Ouesca

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  4. bonne remarque Ouesca, je m'étais deja fait la reflexion ... et j'ai observé des choses similaires de ce coté ci du Rhein. j'y vois de plus en plus clair, entre les blogs populaires soit disant "anti-nwo" qui font le jeu de l'élite (ptet meme sans le savoir) et ceux qui ont vraiment un cerveau et des cou**les.
    en privé aussi je vois de + en + distinctement ou sont mes vrais amis ...

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  5. une idée de comment on pourrait bien voir le "collectif" s'intéresser au revenu inconditionnel ?

    Vous avez peut-être le même sentiment que moi : comment l'évolution pourrait bien passer par le collectif ? (trop manipulable et qui en redemande par habitude)

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  6. bonne question... les cons sont dérangés par l'idée que leur voisin puisse "gagner de l'argent sans rien foutre", et préfèrent le voir aux travaux forcés ... sans realiser que leur voisin, c'est eux.
    et sans rien comprendre aux principes economiques bien sur.

    faire circuler l'info et attendre un miracle... ou laisser pisser le merinos, partant du principe qu'il arrivera ce qui doit arriver

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  7. "attendre un miracle"... tu voulais me faire réagir ? :-p
    Le miracle ce serait qu'on agisse individuellement en conscience et que ceux qui ne le font pas encore s'en inspire.

    De là à répartir des "richesses", il y a un sacré faussé ! (surtout avec des richesses (sur)évaluées, comparées, stockées, détournées, niées...

    Tiens, à peine hors-sujet, je me dis que toute personne ayant déjà expérimenté un jeun de plusieurs jours s'en sortira avec beaucoup de stress en cas de récession. (je parle de jeun consenti)

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  8. bonne préparation, le jeun, et d'une manière générale prendre de la distance par rapport au monde matériel.

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  9. Oui tout est lié, et c'est de plus en plus évident.

    Je disais hier de façon allégorique : "tu arrêtes de regarder la TV et t'as des chances de mettre moins de sel dans tes pâtes et peut être même d'arrêter de fumer"
    Tout est lié et une harmonie se crée. Comprendra qui voudra ;-)

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  10. exact. pour "sauver le monde", soyons heureux!

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  11. d'ailleurs, à ce propos, le temps de monter les images de la vidéo que nous venons de finir...
    http://www.dailymotion.com/video/xlsbhh_derriere-les-indignes_news

    En remerciant (à la fin), les Enculuminatis pour l'information concernant le nom de domaine de ces Indignés résignés...
    Nous y avions ajouté quelques infos sur Soros dont le comportement est plus que suspect. Nous arrivons donc à la même conclusion.

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  12. meme Merkel "a de la sympathie" pour le mouvement, c'est dire....

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