lundi 24 octobre 2011

C'est quand le jour des poubelles?


La Boupelle centrale européenne (BCE) a annoncé lundi avoir racheté pour 4,49 milliards d'euros d'obligations publiques de la zone euro sur une semaine, soit plus du double par rapport à la semaine précédente.
Ce programme anti-crise a donc connu un coup d'accélérateur, alors que le montant des achats restait stable depuis quelques semaines.
RM

On ne se demande pas comment ça va finir, mais quand ...

Ah tiens c'est le tour de l'Italie... La BCE ne suffit plus !! (rappel):

CRISE/La zone euro envisage de voler à la rescousse de l'Italie
Bruxelles (awp/afp) - La zone euro étudie la possibilité d'offrir l'assistance de son Fonds de secours financier à l'Italie afin d'éviter la contagion de la crise de la dette et se rapproche d'un accord pour soulager la Grèce surendettée en demandant un effort très important à ses banques créancières.
Les pays de l'Union monétaire réfléchissent à une possible activation du FESF pour acheter de la dette italienne afin d'éviter que les taux d'emprunt du pays sur le marché obligataire ne s'envolent, ont indiqué lundi deux sources diplomatiques, alors que Rome se finance actuellement à des taux proches de 6%. Un niveau difficilement compatible dans la durée avec une dette pesant plus de 1.900 milliards d'euros. [...]

Selon une source diplomatique, le lobby bancaire qui négocie avec les Etats propose une "décote" (perte en jargon financier) volontaire de 40% alors que la zone euro table au minimum sur un effacement de la moitié de la dette grecque.

Les investisseurs grecs sont inquiets de l'impact. La Bourse d'Athènes a chuté lundi de 4,51% car une trop forte décote affecterait lourdement les banques grecques, avec de probables répercussions aux ménages et aux entreprises. [...] RM

BONDS EUROPE/Le marché obligataire européen prudent avant le sommet de mercredi

Paris (awp/afp) - Le marché obligataire européen a souffert lundi, les principaux pays voyant leur taux se tendre, prudent avant le sommet de mercredi en zone euro et pénalisé par la hausse des places boursières.

L'accord global devant permettre une sortie de crise en zone euro et promis pour mercredi ainsi que les progrès enregistrés ce week-end ont bénéficié aux actions, au détriment des obligations, délaissées par des investisseurs qui ont pris davantage de risque.

Vers 18H00, le taux à 10 ans des obligations allemandes montait à 2,120% (contre 2,104% vendredi à la clôture) et ceux de la France à 3,307% (contre 3,237%).

"La probabilité d'une déception après la réunion de mercredi peut sembler relativement élevée mais nous misons encore sur une issue positive, notamment après les progrès du week-end", estiment les stratégistes obligataires de BNP Paribas dans une note. RM

6 commentaires:

  1. merci :-) ptet parce que je les aime...

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  2. ... pis les oreilles étaient déjà faites ;-)

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  3. ça se voit dans les petits yeux mutins que tu lui as donné ... on va voir maintenant si le tracé en 'vrai' va suivre celui des oreilles du matou :)

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  4. tu te posais la question pourquoi poutine n'a pas bouger pour la Libye ,je viens de lire le livre vert de kadafi et bien il donnais le pouvoir au peuple de base ,cela ne leur convient pas du tout.

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