lundi 12 octobre 2009

Poème de la banlieue du caire

Dédicasse à ma femme Isis.

Tu m'as emmerdé sale grognasse,
A compter les heures qui passent,
J'ai fais le rapace dégueulasse,
Quand tu te perdais dans l'espace,

Je t'ai detesté, tu ma fais remarquer,
Qu'mon univers s'arrête à mon nez,
Et t'as en plus la terrible audace,
De ne pas voir le temps qui passe...

On s'est emmerdé on s'est fait des crasses,
Mais c'est qu'on savait pas ma poufiasse,
Que la femme planifie et que l'homme se déplace...
C'est comme ça qu'es tu veut que j'y fasse,

J'suis ton tomtom t'es ma montrasse...

***

Immothep ma belle

Osiris

7 commentaires:

  1. Yo! Yo! Ouèè, Ouèèèè....
    Yclic est dans la plâââââce...

    lol

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  2. La mythologie, serait elle l'étude des mythomanes bipèdes équipés d'un pouce préhenseur ?

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  3. Avant qu'un blasé m'insulte je vais faire mon auto-critique: Ce texte met en relief la dualité, qu'elle soit entre homme et femme, espace et temps, conscient et inconscient... Parce que tout ça c'est la même chose.

    L'idée m'est venue après avoir lu un critique de beaudelaire qui aurait mieux fait de la fermer, tellement il a rien compris, tellement il est nul, tellement j'ai honte pour lui.

    Sources: Les Fleurs du Mal, edition établie par John E. Jackson.

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  4. stp ne fais pas l'erreur grossière de confondre principes masculin/féminin et homme/femme. Nous ne sommes ni des robots ni des tirroirs

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  5. Moi j'suis un robot, un tirroir, un masculin, un feminin, un homme, une femme, un chien, un arbre...

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