dimanche 30 septembre 2012

samedi 29 septembre 2012

Petard mouillé ou feu d'artifice?


D’après un officiel US, Israël a entraîné et supporté financièrement des terroristes Iraniens qui tentent de déstabiliser le régime Iranien. Ces terroristes arabo-sionistes ont falsifiés des documents accréditant l’idée que l’Iran construisait une bombe nucléaire.

Israël a admis l’utilisation de false flag pour justifier une guerre au proche orient. Une cellule du Mossad a opéré en Égypte en plaçant des bombes dans différents bâtiments officiels du gouvernement ainsi que dans l’ambassade américaine d’Égypte en laissant derrière eux des preuves de la culpabilité de faction islamiste proche du régime iranien. Une bombe a été découverte et des agents du Mossad ont été démasqué.

Des officiels ont fait des déclarations dans le sens d’un futur false flag :

-Brzezinski(fondateur d’Al Qaïda pendant la guerre en Afghanistan contre les soviets) a dit au sénat qu’un acte terroriste en dehors du sol américain et imputé à l’Iran faciliterait une intervention militaire contre cette nation.
-Daniel Ellsberg dit que si il y a une autre attaque terroriste contre les intérêts US, le président aura ce qu’il veut, une guerre avec l’Iran.
-Robert DavidSteele, dans l’infanterie de marine pendant 20 ans et officier de renseignement pour la CIA dit que certaines personnes du gouvernement sont en train de préparer un false flag pour justifier une attaque contre l’Iran
-L’officier de la CIA Micheal Scheuer qui était à la tête de l’unité d’élite qui a capturé Ben Laden dit qu’Israël ou l’Arabie Saoudite pourrait fomenter un acte contre l’Iran.
-RonPaul a mis en garde l’opinion en annonçant un incident de type Golfe du Tonkin dans le détroit d’Ormuz.
-Le senateur Joe Lieberman a utilisé la même rhétorique que pour la guerre en Afghanistan et en Irak suggérant que le timing pour une attaque contre l’Iran arrivait au bon moment pendant les élections américaines.
-Seymour Hersh, reporter d’investigation, a mis à jour une opération qui tente de provoquer un conflit, mettant en cause des bateaux maquillés en navire de combat Iranien et pilotés par les Navy seals.
-Un membre du gouvernement anglais dit qu’il y a un vrai danger que les américains fomentent un false flag pour justifier une guerre contre l’Iran.

Cependant de nombreux officiers proches d’Obama semblent lui conseiller de se détacher de la politique extrémiste de l’état hébreux. Certains tentent une meilleure communication entre Téhéran et Washington. Une guerre contre l’Iran provoquerait un chaos sans précédent. D’ailleurs circule depuis peu de temps un document, PreparingFor A Post Israel Middle East, qui prévoit un moyen-orient sans Israël.

Quelques points :

-Israël compte tenue de son occupation brutale sa bellicosité ne peut pas être sauvé tout comme le régime d’apartheid de l’Afrique du Sud n’a pu l’être alors même qu’Israël a été le seul pays « occidental » à entretenir des relations diplomatiques jusqu’en 1987 avec l’Afrique du Sud et a été le dernier pays à se joindre à la campagne de boycott avant que le régime ne s’effondre.
-L’énorme ingérence d’Israël dans les affaires intérieures des US par l’espionnage et des transferts illégaux d’armes. Cela comprend le soutien à plus de 60 « organisations majeures » et approximativement 7500 fonctionnaires US qui obéissent au dictat d’Israël et cherchent à intimider les médias et les organisations gouvernementales US et cela ne devrait plus être toléré.
-Le Printemps arabe et le réveil islamique a dans un large mesure libéré une grande partie des 1.2 milliards d’Arabes et Musulmans pour lutter contre ce qu’une très grande majorité considère comme une occupation européenne de la Palestine et de la population indigène illégale, immorale et insoutenable.
-Le pouvoir arabe et musulman qui s’étend rapidement dans la région comme en témoigne le printemps arabe le réveil islamique et la montée en puissance de l’Iran se fait simultanément -bien que préexistant - avec le déclin de la puissance et de l’influence américaine et le soutien US à un Israël belliqueux et oppressif devient impossible à défendre ou concrétiser compte tenu des intérêts nationaux US comprenant la normalisation des relations avec les 57 pays islamique.

La récente défaite contre la Syrie a empêché une action contre l’Iran. L’empressement du régime raciste de Netanyahu pour déclencher un conflit ne fait aucun doute. La fourchette se situe entre maintenant et l’été 2013. Les élections US vont être décisive pour la survivance de l’état hébreux et nous offre deux options :

-La guerre reste circonscrite au moyen-orient et c’est la fin du régime sioniste.
-Début de la 3eme guerre mondiale et toute les conséquences que l’on ne saurait quantifier.

Les nouvelles merkonneries et l'inflation

Merkel veut un budget central pour la zone euro 
L'Allemagne (?) veut creer une nouvelle structure d'aide pour les pays endettés: Un budget central composé d'impots sur les transactions financières et d'impots nationaux. Ce serait la fin des eurobonds.[...]
Merkel will Zentralbudget für die Euro-Zone Die Welt

Alors que beaucoup y voient une tentative de destruction des nations au profit d'un etat européen unique, j'y vois plutot le contraire, en tous cas à moyenne échéance.

Dabord c'est la confirmation que toutes les autres mesures de "sauvetage" sont tombées à l'eau (voir billets du passé). Ensuite, les pays en difficulté doivent accepter certaines conditions pour beneficier de l'aide. Ca aussi contredit totalement l'idée de base de l'UE, basée sur une redistribution "automatique" de l'argent des contribuables allemands.

Bref, on dirait que Merkel essaye de gagner du temps en faisant mine de chercher un compromis. Elle a son gros cul entre deux chaises, d'une part les PIGS et la france qui ont besoin des son pognon, d'autre part la resistance grandissante en Allemagne contre l'UE - la limite est atteinte. Les marionnetistes eux ont l'air de se faire discret: L'UE n'a été créée (par les USA) que pour détruire l'Europe, et c'est bientot chose faite. Ils peuvent prendre un peu de vacances, ils ont bien bossé.

A mon avis, le DM est déjà imprimé. il n'y a plus rien à sauver et l'UE attend la reelection de Oblabla (sur sa demande explicite) pour se desintegrer, d'une facon ou d'une autre. L'euro en tous cas va subir un ravalement. La dictature brusseloise va continuer à nous coller telle une merde de chien sous nos semelles pendant un certain temps.

La Catalogne veut lancer un referendum pour déclarer son independance de l'Espagne. L'UE va aussi servir d'instrument pour faire eclater les nations. Diviser pour mieux regner. Pour en savoir plus, chercher "Europe des régions", par exemple:
L’Europe des régions, une régression symétrique à l’Europe supranationale L'ideologie européenne

Et sinon quoi de neuf? La Chine lance elle aussi un QE et commence à pomper de l'argent dans son économie en berne. Jetzt kommt die ganz große Bazooka: China wirft Gelddruck-Presse an DWN
Asmussen, directeur de la BCE parle d'"inflation galopante". Cette orgie de billets de monopoly va gonfler les marchés et on va finir evidemment par la retrouver dans nos assiettes, et dans une bien moindre mesure dans les bulletins de paie, puisque les pluies d'argent n'ont jamais relancé une économie, exemple le Japon qui essaye depuis 20 ans, ca ne marche pas. Le pognon disparait dans des trous noirs, et aucun economiste n'est foutu d'expliquer le phénomène. Nous nous trouvons dans une experience globale.

A signaler, une menace de crash dans les 15 jours qui viennent.

Pour finir, n'oubliez pas de prendre du recul par rapport aux évènements. Les choses n'arretent pas de se faire et de se défaire depuis 2.000 ans. Les catastrophes de demain ne sont pas pires que celles d'hier. Et comme on dit ici. Les plats sont servis moins brulants qu'ils n'ont été cuisinés (traduction approximative).

Bon weekend à tous




Bank of Dave

Pendant que tout le monde pleurniche et va se faire matraquer dans la rue ou se gave d'aspartame et de mauvaises nouvelles en attendant l'apocalypse, d'autres retroussent leurs manches. Les banques se gavent de milliards et l'argent n'arrive pas là ou il y en aurait besoin. Pour remedier au problème, David Fishwick, de Burnley en Grand Bretagne a ouvert sa propre banque locale, avec beaucoup de succès, et sans licence bancaire (ce qui lui vaut quelques ennuis administratifs, mais pas encore assez pour le stopper).
Vu sur ARD (reportage très sympa que je recommande aux germanophiles)

vendredi 28 septembre 2012

Feu à la BCE

Stark a démissionné de son poste à la BCE à la fin de l’année 2011 pour protester contre les transgressions dont la BCE se rendait coupable. Sa démission a suivi celle d’Axel Weber, ancien patron de la Bundesbank, lequel avait démissionné de son poste à la BCE pour les mêmes raisons.

Stark nous dit que les dirigeants de la BCE paniquent littéralement face à la crise de la zone euro. Pour cette raison, ils agissent en dehors de leur mandat.
Il explique que tout a fonctionné tout à fait correctement au sein de la BCE jusqu’en 2010, mais qu’à partir d’un certain moment, la BCE a voulu jouer un nouveau rôle. Et c’est ce qui est important, donc nous y insistons, elle a cédé à des pressions extérieures, des pressions dont les origines se situent en dehors de l’Europe...

Suite.

Le mur de Berlin



Mardi au congrès annuel de la Fédération de l’industrie allemande à Berlin, Merkel a dit en substance que les autres pays de la zone euro ne devaient pas compter sur Berlin pour soutenir les mesures qui supposent la responsabilité collective des États de la région. En d’autres termes, l’Allemagne n’a pas l’intention de payer les dettes de la Grèce, de l’Espagne et des autres pays en situation de crise.

Pour Anton Lioubitch, il est impossible de résoudre à coups d’injections financières les problèmes auxquels est confrontée la Grèce. Et plus on s’obstine à le faire, plus dure sera la tâche d’extirper la racine du mal que sont les disproportions dans la productivité du travail entre les pays comme l’Allemagne, la Finlande, les Pays-Bas d’une part et la Grèce, l’Espagne et l’Italie d’autre part. C'est une façon pour l'Allemagne d'anticiper une situation contradictoire entre l’Europe du nord des riches et l’Europe du sud des pauvres, et une autre d'acter un éclatement imminent de la zone euro.

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