La presse a encore menti

"Les gardes à vue des dix suspects d'un groupe d'ultra-gauche arrêtés mardi dans l'enquête sur des actes de sabotage contre le réseau SNCF ont été prolongées mercredi, apprend-on de source policière.

Les policiers du renseignement intérieur et de la sous-direction antiterroriste, en charge de l'enquête, ne disposent pas pour l'instant de preuves.

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Par coïncidence, les policiers de la sous-direction antiterroriste surveillaient depuis avril certains des suspects, ce qui leur a permis de voir certains d'entre eux s'approcher, dans la nuit de vendredi à samedi, d'une voie ferrée en Seine-et-Marne.

Les policiers n'ont cependant pas constaté de visu qu'ils avaient mis en place un dispositif de sabotage et n'ont rien remarqué d'anormal sur le coup.

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La police ne dispose pas encore, par ailleurs, des résultats des comparaisons entre les empreintes digitales et génétiques des suspects et les traces relevées sur les mécanismes utilisés pour les sabotages. La ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie avait évoqué des éléments comme preuves possibles.

La police n'a retrouvé ni horaires de train, ni carte détaillée du réseau SNCF, ni explosifs, a déclaré cette source policière, démentant des informations de presse."

(NouvelObs)

Conclusions:
- La police surveille des personnes, on se demande sur quels critères.
- Ils arretent nimporte qui sans aucune preuve ni aucune raison. Dans ce cas, ils ont simplement arreté ceux qu'ils surveillaient "par coincidence" depuis avril, et qui n'ont donc rien fait de mal ces huit derniers mois.
- La presse raconte vraiment nimporte quoi. Ils inventent tout simplement. Ils ont le droit, c'est la nouvelle liberté de la presse

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