"Il y a peu, les « carnets noirs » d’Yves Bertrand et le fichier Edvige ravivaient le spectre de la police secrète. Dans le même temps, un service policier totalement couvert par le « secret défense » était créé, fin juin, au ministère de l’intérieur. Cette Direction centrale du renseignement intérieur concentre les dossiers jusqu’alors divisés entre les RG et la DST. Elle s’intéresse notamment aux « phénomènes de société susceptibles, par leur caractère radical, leur inspiration ou leurs modes d’action, de porter atteinte à la sécurité nationale ». Mais ses premiers pas n’ont suscité aucun débat.
Pareille absence de curiosité tient sans doute à l’extrême opacité dans laquelle évolue cette DCRI voulue par Nicolas Sarkozy. Tout y est couvert par le « secret de la défense nationale » : ses activités, ses moyens d’action interdits au commun des administrations, son mystérieux fichier Cristina, ses personnels et son organigramme, etc. Faut-il préciser que cette police de l’ombre travaille ainsi, très largement, à l’abri des investigations parlementaires, judiciaires et journalistiques ? [...] Autre nouveauté, et de taille, de la présente réforme : la DCRI centralise l’intégralité des dossiers du renseignement policier. Du jamais vu en France ! "
Cela fait un certain temps que je me demande ou sont placés les camps de concentration européens, à l'image des 600 camps américains.
La directive européenne qui a conduit aux restrictions des droits fondamentaux en Allemagne (voir article du 11 novembre), la directive 2003/577/JAI du 23 juillet 2003 - pour qui aurait envie de la lire - est née à l'initiative de la France, de la Belgique et de la Suède. "Elle a pour objet de fixer les règles selon lesquelles un État membre reconnaît et exécute sur son territoire une décision de gel émise par une autorité judiciaire d'un autre État membre dans le cadre d'une procédure pénale".
Suite à cette directive, le droit à l'intégrité physique de la personne a été restreint. On se demande ...
Le traité européen va encore plus loin. Il permettrait de soumettre tous les pays européens aux lois d'autres pays. Cela signifie en gros: Imaginons qu'il existe dans un des 27 pays de la communauté, la Lettonie par exemple ou la Pologne, une loi qui interdise de critiquer les OGM et qui punisse toute critique par la peine de mort - exemple completement fictif et arbitraire, que personne ne s'enerve - . Et bien cette loi permettrait d'arreter tous les français qui se rendraient coupables de cette critique, elle interdirait au pays concerné (dans notre exemple la France) de s'opposer à une extradition. Cela signifie que les critiques français seraient conduits dans le pays en question pour y être jugés et exécutés.
C'est du moins ce que rapportent ceux qui l'ont lu.
Vous imaginez avec quelle facilité le gouvernement marionette européen pourrait alors "mettre de l'ordre" dans la communauté ? Et il n'y a pas besoin de construire des camps dans chaque pays, c'est très pratique.
Le 6 novembre 2008, Elmar Brok, député européen, a menacé l'Irlande de "conséquences désagréables" si elle n'était pas en mesure d'ici la semaine suivante de faire des propositions précises à propos de la ratification du traité de Lisbonne.
Nous ne perdons rien pour attendre.
ce qu'ils veulent nous imposer ressemble beaucoup au modèle chinois. Un espèce de fascisme communiste.
...
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