L'amour de la vérité

Lorsque Dr. Pierre Gilbert, eschatologiste canadien, a tenu cette conférence en 1995, personne ne voulait encore trop y préter attention. Peut être que le temps est venu... à vous de juger. La conférence démarre lentement, avant de dévoiler tout ce qu'il faut savoir pour comprendre le reste.

La 1ère partie, 2ème partie, 3ème partie, 4ème partie, 5ème partie,
6ème partie, 7ème partie, 8ème partie, 9ème partie, 10ème partie

Entre temps, depuis 1995, il ne s'est rien produit qui vienne contrarier ses dires, bien au contraire. Nous sommes en plein dans le cataclysme social final, juste avant le crash économique et la chute du dollar, évoqués dans la 7ème et 8ème partie. Les camps de concentrations évoqués dans la partie 9 sont documentés dans Youtube (chercher "concentration camps").
A partir de partie 9 j'ai perdu les pédales. Soit je n'ai pas tout compris (j'ai appris à être prudente dans mon jugement), soit il y a quelque chose qui cloche dans la conclusion. Il faut là aussi faire preuve de discernement.

Une anecdote sur le nom de "Gog" (source: Observatoire du NWO):

En 2003, le professeur de théologie de l’Université de Lausanne Thomas Römer reçoit un coup de téléphone du palais de l’Elysée. Les conseillers de Jacques Chirac souhaitent en savoir plus sur Gog et Magog… Deux noms mystérieux qui ont été prononcés par George W. Bush alors qu’il tentait de convaincre la France d’entrer en guerre à ses côtés en Irak. Dans sa livraison de septembre, la revue de l’Université de Lausanne (UNIL) “Allez savoir” révèle cette histoire qui pourrait sembler rocambolesque si, comme le souligne le rédacteur en chef d’”Allez savoir” Jocelyn Rochat, elle ne révélait pas les soubassements religieux de la politique de Bush.
Bush aurait déclaré à Chirac que Gog et Magog étaient à l’œuvre au Proche-Orient, et que les prophéties bibliques étaient en train de s’accomplir. C’était quelques semaines avant l’intervention en Irak. Stupéfaction du président français, à qui les noms de Gog et Magog ne disent rien.


Le dernier livre de Malachi Martin, ou il raconte l'inthronisation de Lucifer au sein de l'église catholique et les magouilles politico-religieuses, fait partie des livres les plus déstabilisants que j'aie lus. L'auteur n'a pas été assassiné à cause de ce livre, mais à cause du livre qu'il voulait publier ensuite.

Pour les malheureux qui ne croient que ce qu'ils voient à la télé: La puce RFID biométrique