vendredi 28 septembre 2012
Le mur de Berlin
Mardi au congrès annuel de la Fédération de l’industrie allemande à Berlin, Merkel a dit en substance que les autres pays de la zone euro ne devaient pas compter sur Berlin pour soutenir les mesures qui supposent la responsabilité collective des États de la région. En d’autres termes, l’Allemagne n’a pas l’intention de payer les dettes de la Grèce, de l’Espagne et des autres pays en situation de crise.
Pour Anton Lioubitch, il est impossible de résoudre à coups d’injections financières les problèmes auxquels est confrontée la Grèce. Et plus on s’obstine à le faire, plus dure sera la tâche d’extirper la racine du mal que sont les disproportions dans la productivité du travail entre les pays comme l’Allemagne, la Finlande, les Pays-Bas d’une part et la Grèce, l’Espagne et l’Italie d’autre part. C'est une façon pour l'Allemagne d'anticiper une situation contradictoire entre l’Europe du nord des riches et l’Europe du sud des pauvres, et une autre d'acter un éclatement imminent de la zone euro.
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ah bon ? il est temps que cette Europe maçonnique éclate !
RépondreSupprimersi Merkel la boss a dit non alors ça sera non.
RépondreSupprimerbon cette fois ça sera la bonne (ou la mauvaise)pour le krach imminent.
même si je suis préparée deuis un moment psychologiquement j'ai une apprehension de tout ça, ça va pas etre dur, mais je crains encore plus pour mes proches, je sais pas si je vais pouvoir gerer leur panique parce je sens qu'il va y avoir panique ils sont completement largués.
la boss, ce n'est pas Merkel, mais les marchés financiers !
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