samedi 10 août 2013

L'ordre des chevaliers


Apogée et déclin, chaque époque connaît à un moment donné de son existence cette lente descente vers l'abîme. Ce n'est pas un fait nouveau. Nous ne regardons qu'à l'échelle de nos vies en oubliant le passé, son histoire, son déroulement.

Je lis Renaud Camus qui parle du grand remplacement sous-entendu, le remplacement d'une civilisation par une autre par un long processus d'intégration voulu ou non et qui à un moment donné dérape. Les romains l'ont connu, un impérialisme qui vise à soumettre différentes cultures  au nom d'un empire, bien connu aussi des grecs, de la dynastie macédonienne et son emprise sur les confins du monde connu, l’Asie, par Alexandre le Grand.


Vous l'aurez compris la mécanique de mouvement des peuples n'est pas une nouveauté. Pendant l'antiquité, le maître était clairement défini et il n'y avait rien de péjoratif à voir la pureté du sang, de la race, de la lignée, comme l'élément déterminant de domination, aussi bien chez les grecs, romains, mais aussi incas, indiens, africains, germains à d'autres époques, dans la volonté de définir une identité pour exprimer son appartenance. Ce qui régissait la symbiose mondiale fut le rapport de force entre dominé et dominant. C'est la base de toute domination, c'est ce qui fait une grande civilisation. Une autorité acquise par la force, la culture et l'intelligence de son peuple. Voilà la suprématie des grandes ethnies. On nous a arraché la possibilité de faire de notre civilisation une grande civilisation où l'individu, par son potentiel, sert sa communauté et grandit sa nation.


Les forces obscures, par un vaste jeu pseudo démocratique, ont enraciné leur doctrine dans la société. Tel un virus qui se propage, ils utilisent la modernité ou l'avancée technique comme un processus immuable. De sorte que la science sert la destruction de l'origine de l'homme où tout s'explique par des formules mathématiques ou encore la sainte république qui châtie toute autre forme de pensée qui n'est pas celle du système. Un travail de sape contrôlé et voulu par le "Mal" judéo-maçonnique. Dorénavant aux oubliettes l'individu, vive la république prédatrice, qui s'est laissée violer par le marxisme et le socialisme, purs produits juifs, pour abandonner une société d'ordres au profit d'une société de classes. Théories fumeuses de Marx et Engels où l'individu n'existe plus que sous la forme d'ensemble humain et sert les intérêts de la classe, gérés par les cadres. Un modèle qui perdure depuis le XIXéme siècle. Marx, sombre théoricien, juif ashkénaze. Était il bon de le rappeler?
 

2013, rien ne change, si ce n'est l'appauvrissement général, dans tous les domaines. Ne vous méprenez pas, le capitalisme n'est rien d'autre qu'une extension marxiste. On ne change rien, nous sommes toujours au XIXéme siècle, toujours dans ce système de classe, cloisonné, prison démocratique.

J'entends les aficionados du NWO qui se préparent à l'unification du monde, les rendant stériles de toute action, attentiste d'un fait déjà acté. Globalisation, mondialisme, un semblant de différence nationale pour ne pas brusquer l'esprit abruti moyen. Les maîtres ne sont plus définis, rien à voir avec le projet de pureté des romains mis en déclin par Caracalla qui octroya la citoyenneté à n'importe qui, ce qui prouve l'hérésie de l'assimilation, l'intégration, le déclin s’opère au moment où on rompt avec le cadre originel de la structure civilisatrice. Un Soral par exemple qui prône une réconciliation est dans l'erreur totale. Rétablissons la vérité sur cet énergumène, il utilise ses créatures pour servir ses intérêts. Sa création lui échappe et au final il ne fait que servir la soupe à ses "ennemis".


L'élite agit ainsi dans l'ombre avec des familles indéboulonnables qui régentent nos vies, les maîtres ne sont plus clairement définis et nous sommes devenus une sous culture de la culture dominante, prédation par l'argent, destruction des cadres fédérateurs des nations par des étapes de déstabilisation: grandes guerres, abandon du pouvoir régalien, crise économique, révolution libéral-libertaire, clivage politique, cirque politique et pour finir, fin des valeurs sociétales.


Ils contrôlent l'ensemble des institutions et ont lavé nos cerveaux pour nous faire penser à leur manière. J'entends des personnes s'offusquer de ce constat et chercher une solution alternative, des solutions ubuesques véhiculées par le neuneu moyen de gauche ou même de droite. Il n'y en a pas. La seule solution est la prise de pouvoir par la force pour faire de notre civilisation une grande civilisation. Une culture pour un idéal, faire renaître la pureté des races européennes pour nous sauver. Nous ne gagnerons que par la force de notre engagement.


Mais le choix est difficile, abandonner ce que nous connaissons pour construire un nouveau système? Honorer ses origines pour faire de notre civilisation une grande civilisation?
Le temps n'est plus aux questions sans réponses ou aux réponses évasives. Il est temps d'abattre ceux qui nous serrent le cou et de nos bras arracher ces parasites qui depuis plus d'un siècle nous collent la tête sous l'eau en nous culpabilisant d'être ce que nous devrions être, une civilisation rayonnante et forte en Europe. Un peuple uni par un idéal de pureté.


Un peu de lecture pendant mon absence:
EVOLA Julius, Le petite livre noir.
EVOLA Julius, Révolte contre le monde moderne.
ARCAND Adrien, Du communisme au mondialisme.
BINET René, Socialisme national contre Marxisme.
AMITAÏ L. K., Assimilation.

Pour faire écho au billet de Françoise, je signe de mon prénom. Sur ce je vous souhaite de bonnes vacances.
Nicolas L, Nancéien.

42 commentaires:

  1. Brun ou Rouge. Charybbe ou Scylla, Oncle Adolf ou Oncle Joe, voire la quintessence des deux oncle Sam. C'est quoi ct'e provoc.

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  2. http://www.youtube.com/watch?v=Auysg8IlJA8

    à "méditer" donc.... :-)

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  3. Le matèrialisme à rendu l'humain au niveau de conscience de l'insecte,restera les animaux qui sauveront peut-ètre les autres

    http://fr.news.yahoo.com/lincroyable-histoire-dun-petit-gar%C3%A7on-sauv%C3%A9-kangourou-australie-062947138.html

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  4. Les résultats de l’expérience d’obéissance du psychologue Stanley Milgram réalisée entre 1960 et 1963 montrent qu’une quelconque population est composée d’environ 10% de réfractaires à toute obéissance, d’environ 67% d’obéissants et de soumis à n’importe quelle autorité, et environ 23% qui sont entre les deux. Donc l’homme est génétiquement majoritairement un obéissant. Une majorité de sondages d’opinion sur divers sujets donne presque toujours environ 67% d’opinions favorables. Notre système « démocratique » actuel repose uniquement sur le bourrage de crâne de ces 67% d’obéissants, via tous les médias qui comptent et qui appartiennent tous aux financiers. Nous ne sommes plus en démocratie depuis longtemps, nous sommes en médiacratie et beaucoup l’ignorent. C’est la raison de l’alternance à vie de l’UMPS. Comme il suffit de plus de 50% d’obéissants pour avoir une quelconque majorité, notre avenir est donc extrêmement sombre car nous dépendons totalement des 67% d’obéissants facilement manipulés par les médias des financiers. Le pourcentage d’éveillés dans la population est insignifiant pour influencer un quelconque vote.
    Un effondrement économique mondial est attendu depuis le krach économique de 2008. Cet effondrement que je subodore proche également, permettrait, après de terribles tribulations (guerres, famines, maladies…), aux survivants de créer une nouvelle société débarrassée des parasites malfaisants (financiers, groupes de pression, politiciens, religions…). Mais actuellement l’urgence est de se préparer psychologiquement et aussi matériellement au chaos qui s’en vient inéluctablement.

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  5. "Ce qui régissait la symbiose mondiale fut le rapport de force entre dominé et dominant. C'est la base de toute domination, c'est ce qui fait une grande civilisation. Une autorité acquise par la force, la culture et l'intelligence de son peuple. Voilà la suprématie des grandes ethnies. "

    Ok, donc la guerre, et ensuite ? Une dictature autoritaire au lieu d'une dictature molle ? Pas certain que ce soit bcp mieux...

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    1. Oui je pense que la guerre est inévitable. Pourquoi dictature? Chez les grecs elle répondait à une situation de crise, idem chez les romains, entre décadence et autorité mon cœur ne balance pas. L'autorité n'est pas négative quant elle est juste et nécessaire.
      On ne parle pas de substituer le pouvoir par un autre, dictature molle à dur selon ton analyse, il s'agit de rendre la place de l'homme dans la société, au sein de sa civilisation, de son groupe ethnique.

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  6. Dominer par une hiérarchisation naturelle ou les meilleurs seraient aux commandes,celui qui veut dominer par la force c'est qu'il n'y parvient pas

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    1. "La seule solution est la prise de pouvoir par la force"

      J'entends, pour gicler les parasites, après on compose.

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    2. C'est ce que tous les dictateurs prétendaient faire...
      Même la soi-disant révolution française qui n'a pas donné suite à une dictature a tout de même mis en place une oligarchie bourgeoise.

      Le seul moyen de reprendre la place qu'il nous faut, c'est en construisant "à côté", ignorer les dirigeants corrompus qui tirent leur pouvoir du fait qu'on s'intéresse à eux (en bien ou en mal). Et apprendre à se connaître, à se maîtriser. Evola semblait d'ailleurs arriver à ce type de conclusion sur la fin de sa vie, n'est-ce pas sa part stoïque/bouddhiste qui serait la plus à même d'aboutir à quelque chose de nouveau, alliant tradition et respect ?
      Attendre la révolution ne fera que nous plonger des chaos maintes fois connus, sans lendemains qui chantent.

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    3. Construire "à côté" est un non-sens, ignorer le système dominant ne fera de toi qu'un faible dominé. Donc inutilité du survivalisme de type "repli sur soi" à la San Giorgio, sauf pour vendre des livres. Cela reste cependant une possibilité mais qui n'affectera pas le système.

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  7. A la lecture de ce texte, je ne peux m'empêcher de faire une corrélation avec le monde dans lequel on vit.

    Regarder ce qui se passe en Israël. On y applique ce qui est décrit dans ce texte et les printemps arabe nous apportent des dictatures religieuses qui vont dans le même sens. Par contre dans le reste du monde on impose la multiculturalité.
    Et ce qui "fonctionne" dans une certaine mesure c'est justement la non-multiculturalité !!

    Si l'on oublie un moment les atrocités de l'histoire et que l'on reprend ce que disait Hitler : "ein volk, ein reich, ein führer". On s'aperçoit très vite qu'Israël fonctionne de cette manière, à la différence que l'on a remplacé le führer par l'idéologie juive.

    Je crois de plus en plus que l'on devrait diviser la planète en "blocs" idéologiques/religieux/raciaux où chacun pourrait vivre en fonction de ses propres convictions.
    Cela n'empêcherait/interdirait pas les échanges entre ces blocs, tout comme cela éviterait plus que probablement les tensions/guerres parce que chacun saura comment il doit se comporter dans tel ou tel bloc.

    La/les guerre(s) a venir sont inévitable(s) car il faudra bien remettre de l'ordre dans tout ce merdier.
    Puis on instaurera une dictature pour rétablir l'ordre et rebâtir une nouvelle forme de civilisation sur base de ce qui restera.

    Comme à chaque fois ...

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    1. "une nouvelle forme de civilisation sur base de ce qui restera."

      déjà qu'il ne reste pas grand'chose sans guerre (officielle)...
      Liquidation totale qu'ils disaient...ou encore "du passé faisons table rase" :-p

      en plus faut avouer que c'est vraiment pas très original de (devoir) ressortir ce même schéma....guerre+reconstruction....et ça m'fait vraiment trooop penser au système de "l'Ennemi", curieusement...Bush et cie...
      Un HASARD ? :-D

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  8. Part I

    Bonjour Tyler et vous tous.

    Étant donné que je ne sais toujours pas si Françoise G. mange sa purée "crue", "à point“, "saignante“ ou "bien cuite“, il va bien me falloir boucher une dent creuse… The Cap'tain say what…

    En fait et pour revenir sur le sujet, pour une première fois à ce niveau de connaissance dans son exitance, l'humanité se trouve confrontée au SENS profond, voire au CONTRE-SENS de sa condition. (naître, grandir, vieillir, mourir)

    Petit rappel, l'humain n'est pas indispensable pour le développement de la vie par contre il en est strictement dépendant. Pourtant, il se comporte comme le pire prédateur que notre planète ai jamais connu.

    C'est un fait, la colonisation de son environnement physique est acquise avec des conséquences incalculables et surtout non maîtrisées, pire certain non maîtrisable à ce jour.(EX: Fukushima…)

    Fait nouveau par rapport "à cette mécanique de mouvement des peuples“ il y a bien ce développement technologique qui change notre rapport avec dame Nature, dans un monde fini et défini.

    Il y a du bon, voir de l'excellent, du moins bon, voire du désastreux.

    Mais l'essentiel repose sur nos structures de fonctionnement, d'organisation et de développement qui ne répondent plus aux enjeux de notre propre condition.

    L'adaptation nécessaire ne peut plus suivre. Les peuples sont livrés à eux-mêmes avec toutes les dérives possibles et inimaginables amplifiant les déséquilibres, l'arbitraire, l'injustice, la violence…

    Toutes les religions et les dogmes ont échoué, le dernier étant le dieu monnaie laissant place à la force brute. De multiples fossés se sont creusés entre les différentes civilisations. Le progrès et les ressources ne sont pas partagés par le plus grand nombre. La démographie et l'énergie deviennent des points cruciaux.

    Voilà pour le tableau. Certains, suivant leur point d'observation ne le verront certainement pas sous cet angle, et pourtant le SENS profond du devenir de l'humanité ne fait plus lien et corps avec sa propre destinée.

    Les pouvoirs de l'ombre profitent de ce cadre illusoire.

    L'esprit de conquêtes, d'aventures, de découvertes,… laisse le goût amer du déjà vu et les enjeux de survie sont confrontés à ce changement de contexte.

    La complexité humaine et son cloisonnement n'est qu'une fuite, un échappatoire par mensonge et hypocrisie.

    Mais une chose apparaît clairement, jamais dans son évolution historique connue comme le souligne si bien Tyler, l'humanité ne fût confrontée à une remise en cause profonde de sa propre condition.

    Et bien que globalement d'accord avec ce texte, un désaccord profond revient inlassablement : "Ils contrôlent l'ensemble des institutions"

    (il y a d'autres désaccords, sur les puissances obscures en œuvres en autres, mais il n'est ni l'heure, ni primordial et cela risque de détourner le sujet…)

    Par expérience, et un fois de plus, non pas que certains ne retirent les marrons du feu ni profitent de la situation, mais le contrôle dépassant un certain degré devient non seulement inopérant, mais surtout INcontrôlable. Nous y sommes, et plus vous en ferez le constat, moins vous ne respecterez l'irrespectable accentuant le mouvement en cours.

    Les lois sont faites par des escrocs, pour des escrocs.

    "L' incivilisation“ est en marche.

    À ce stade, soit nous broyons du noir, soit nous apercevons une lumière…

    à suivre…

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    1. Part II


      Car le déclic sous-entendu par Tyler, "Il est temps d'abattre ceux qui nous serrent le cou…" et dérisoire, contre-productif, inutile… cela se fait tout seul sans lever le petit doigt !

      "Un peuple uni par un idéal de pureté.“ grossière erreur de tous les temps, car l'homme est fondamantablement impure et le restera à jamais. L'acceptation et l'une des remises en cause primordiale permettant de canaliser et corriger une dérive.

      Notre principal enjeu reste donc d'offrir une structure en adéquation avec notre condition et notre environnement, avec des objectifs simples et clairement établis, réalisables, respectueux et partagés par tous.

      Les religions et autres croyances ont fait assez de dégâts, l'auto-destruction reste leur seule logique implacable. Un mythe n'est pas, par essence, éternel.

      Donner SENS, devient vital. Transcender c'est l'ultime force plus que redoutable que nous possédons. Encore faut-il le savoir…

      À bons entendeurs !

      MissIon.

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    2. Les pouvoirs de l'ombre profitent de ce cadre illusoire…, parfaitement défini par la condition des hommes, elle-même cristallisée par et dans l’instinct de survie…

      Le problème ne s’est jamais situé là où vous l’entendiez…, et la solution non plus…

      Ne pas cerner la véritable problématique entretient inévitablement le problème.

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    3. @12:16,

      Merci de bien préciser votre problématique à défaut de cerner vos arguments.

      Sinon, votre remarque restera lettre morte, donc irrecevable aux yeux des lecteurs.

      MissIon.

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    4. Cette problématique est parfaitement défini par la condition des hommes, elle-même cristallisée par et dans l’instinct de survie...

      Lorsque l'on possède des yeux pour voir, il est obscène (au sens étymologique du mot) de mal regarder...

      Élevez donc votre regard au delà du cadre illusoire que vous êtes supposé si bien cerner.

      L'important n'est pas ce qui est dit mais bien ce que cela pointe...

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    5. @Usum,

      Pour une reformulation, c'est une reformulation…

      Bon, reprenons: sommes-nous en accord sur la condition humaine telle qu'évoquée ?

      Pour l'instinct de survie, cela me semble suffisamment pointé, pas besoin de "cristalliser “. ou il me manque une chimie voir une alchimie ?

      "L'important n'est pas ce qui est dit mais bien ce que cela pointe..." la mise en forme de votre tableau me semble vaporeux, suivez mon regard… ferait le même effet !

      Donc, si vous ne précisez pas plus le fond de votre pensée, il me sera impossible de comprendre et donc de répondre à vos critiques, et le lecteur pourra difficilement apporter sa réflexion.

      "Élevez donc votre regard", relisez, et vous comprendrez qu'il faut mieux contempler l'horizon souhaité d'une hauteur confortable que vous n'avez visiblement pas saisi, malgré la mise en garde clairement établie dans le commentaire : "Certains, suivant leur point d'observation ne le verront certainement pas sous cet angle…“

      Si votre formulation n'est pas plus précise, elle restera incomprise.

      MissIon.


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    6. c'est un peu l'arroseur arrosé, là....:))

      si je puis m'permettre, bien sûr et sans rancune aucune ^^


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  9. "Ne vous méprenez pas, le capitalisme n'est rien d'autre qu'une extension marxiste"

    c'est une blague j'espere ? Ca n'a aucun sens.

    Rachid O. Toulousain

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    1. Le capitalisme s'est construit sur l'évolution des sociétés humaines, de commaunauté vers village et ville, ou en d'autre terme, du passage de la mise en commun des moyens de productions, à la propriété privé.

      sans propriété privé, pas de capitalisme.

      Le marxisme ? Mise en commun de smomyens de productions, suppression de l'état et de l'argent, et par conséquent, suppression des classes sociales.
      Qu'on m'explique en quoi le capitalisme est une évolution du marxisme, alors qu'il est apparu avant...

      Rachid O.
      Toulousain

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    2. je crois pas que les "communautés de village" ignoraient la propriété privée, au contraire :-)
      C'était traditionnellement le libre-marché REEL, donc.

      mais dès que l'évolution technique, la complexité des productions apparait, les monopoles commencent...

      Ce qu'il veut dire je suppose, c'est que les 2 relèvent du même "esprit"...(sans regarder la chronologie historique qui est secondaire et ptètre illusoire) ...Et là tu vois que c'est chou-vert et vert-chou...

      d'ailleurs ta "définition" peut etre lue dans les 2 sens et tu constate qu'on y est déjà depuis longtemps (derrière les apparences de "libre-marché" déclaré) :

      "Mise en commun de moyens de productions" : c'est l'état même d'une grosse industrie contrairement à " une flopée de petits artisans" (moyen-age etc)
      La concurrence non-régulée tue la concurrence et aboutit au Monopole

      "suppression de l'état et de l'argent" : c'est qlqpart ce que le "néoliberalisme" est en train de faire....certes en remplaçant l'Etat par un Supra-Etat, mais l'URSS n'a rien réussit à faire d'autres, t'façons...
      Et l'argent ? il est déjà à moitié virtuel, sa valeur est rendue dépendante des 36 trucs fictifs...il ne leur restera plus qu'à le rendre électronique, ainsi on recevra tous une sorte d'"allocation" vaguement égalitaire et arbitraire...(si c'est ça que tu veux?)

      "suppression des classes sociales" : c'est ce qu'ils semblent en train de faire, suppression de la classe moyenne, "égalisation" vers le bas, et il ne restera que "l'élite dirigeante" des (très) riches et une masse uniforme en-dessous...

      Bref, le "capitalisme" (selon la définition qu'on lui donne) c'est le marché des monopoles, celui des grands ensembles, le contraire du Libre-marché des petites unités de production indépendantes....

      c'est le même "idéal" que celui de Marx, qui (que je sache) ne voulait pas "revenir" aux secondes nommées, mais bien continuer "plus loin" l'évolution (prétendue historique-naturelle) des monopoles, pour en faire simplement des monopoles dits d'Etat...
      Mais à cette désignation près, c'est le même principe...

      donc on peut dire que ces "deux" systèmes-frères s'engendrent l'un l'autre...

      D'ailleurs l'URSS a donné naissance au capitalisme Russe, sur les ruines des paysans indépendants (génocide ukrainien de 10 millions de personnes par Staline, similaire à celui de millions de paysans dans le monde par Monsanto actuellement...)

      Durant la der guerre, les anglo-ricains ont soutenu à fond les manettes leur copain Soviet, à coup de dollars et de tonnes d'armes/équipements...ensuite ils se sont partagé l'Europe...sachant bien qu'à la "fin", ils allaient qd même opter pour le Monopolisme à visage pseudo-libéral plutot que sovietique, paske c'est nettement plus "cool" au niveau durabilité-acceptation par les masses roulées dans la farine...
      Une illusion de marché....ça le fait !! ;-D

      tout comme une illusion de "diversité", de "multi-culturel"...(en réalité l'annulation des différences) :)

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    3. ...ski au passage me permet de lier "Big Banque" à l'évolution technique/Monopoles.....suis pas calé en Eco.Pol. mais ça me semble aller de soi :)))

      Dès lors que les monopoles se forment puisqu'y a "besoin" de ("mettre en commun") de gros moyens techniques etc, y faut de l'investissement, du "risque", crédit etc, donc les Big Banques prennent le dessus de TOUT (y compris de l'Etat, des Medias..)....elles sont alors l'équivalent de Big soviet :-)

      Le plus "drôle" c'est qu'il existe des lois anti-trust (y compris aux USA) mais qu'elles n'ont jamais été réellement appliquées....

      La véritable arnaque ("clé", ptètre) c'est de croire au discours bidon darwinien classique...
      La concurrence économique ne se maintient pas d'elle-même, elle s'auto-détruit naturellement, le gros poisson absorbe les petits et pour finir il reste tout seul à faire que des conneries :-D

      Il faut donc réguler (comme dans la nature, où les prédateurs s'auto-régulent ou chais pas moi...sans doute ils se reproduisent moins etc)
      il faut qu'une intervention publique maintiennent la diversité des producteurs (l'autre sens du mot "concurrence, le vrai sens pour le public en fait), CONTRE les absorptions/fusions faussement naturelles...

      tins ça me donne envie de me repasser un ptit Chilliwack :o)
      http://www.youtube.com/watch?v=YqIlLcwqluM

      rien de tel que les artisanats et "petites" unités de production, quoiqu'en pensent certains gros singes moisis par le "futurisme", (mais avec leur os de poulet dans les narines) :-D

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    4. Oui, Bob dans l'idée générale.

      Le capitalisme a épousé le communisme et ont engendré un monstre.

      MissIon.

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  10. ce me semble....lol
    la "concurrence" des 2 blocs a donné une "fusion" :-d

    et eux ils l'avaient déjà compris y a 25 ans ;-))

    http://www.youtube.com/watch?v=GiOlUtwZkvA

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    1. ...mais ils avaient aussi trouvé l'Antidote universel transcendant.. ^^

      http://www.youtube.com/watch?v=edU-6evC5HU

      la Vibration chevaleresque qui remet en mouvement la psyché individuelle coincée entre le marteau et l'enclume :))

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    2. @Bop,

      Il n'y a pas que dans le nucléaire que les réactions en chaîne se produisent, et du vulcain au vulcanologue, nous passons de la fusion à la scission… Bref, ça chauffe à défaut de réchauffer… le plat !!!

      MissIon.

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  11. Donc il nous faut (ré)-inventer un autre mix entre "gauche" et "droite" économique (et même sociétale aussi ;) ...Au lieu que ce soit un mix tourné vers le monopole, vers la production-domination, ce serait un mix tourné vers le consommateur, où l'intervention permanente du public (à travers l'état au final) vise à cultiver la meilleure "concurrence" (diversité) possible....Un peu comme l'entretien d'un jardin où on empêche l'étouffement par une espèce dominante, où on re-plante telle ou telle variété etc..

    On laisse faire la nature mais c'est super-visé par ceux qui "consomment", puisqu'il y a ce but précis défini, c'est pas de la nature brute qu'on laisse faire n'importe quoi.... même si elle a un ordre aussi, c'est PAS LE NOTRE.
    ON cherche un ordre "humanisé" :-)
    L'économie ne peut donc pas se comparer bêtement à la nature au 1er degré puisque c PAS le même niveau, c'est culture/al...
    Y a une différence entre un jardin et une forêt vierge quoi
    Même si dans les 2 cas c'est "la nature"...

    Z'irez répéter ça 15 fois à Darwin et Adam Smith dans leur tombe, pour qu'y se réveillent 1 peu :p

    mais ça n'a rien de très nouveaux puisque c'est un peu cet esprit qui régnait dans l'après-guerre, jusqu'aux années fin 80 :-)

    Puis le "mix" s'est inversé pour donner le "retour" de la Bête :p

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    1. Pareil au niveau sociétal...on laisse volontairement une place bien délimitée à une certaine part de "diversité" (autres cultures, gays, marginaux, etc) dans un "coin" du jardin-Etat-nation :)

      ça sert à rien de vouloir être ultra-"puriste"...sauf à susciter le refus ou l'effet rebonds dans le sens contraire...

      Y a rien à en craindre si "on" est effectivement la meilleure civilisation - encore faut-il le prouver, et pour ça aller rechercher la Somme de nos vraies "créations" à travers le temps :)))
      http://www.youtube.com/watch?v=kr2oSxbQKBc

      je n' vous cache pas qu'y a un sacré boulot :-D


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  12. par exple, la Fnac c'est un gros caca, qui s'est (kom d'hab) présenté au début avec des atours "gauchistes" puis qu'est devenu genre le pire monstre capitaliste dans l'domaine...
    C'est un truc qu'on aurait dû au minimum "circonscrire" dès le départ...mais non, on a laissé courir le gros parasite et voilà...il a bouffé plein de ptits libraires, disquaires etc

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  13. je crois férocement qu'il n'y a rien à faire; 10 personnes qui manifestent = 2 car de CRS qui les encerclent, 1000 personnes = une garnison, 10 000 personnes = la caserne, 100 000 personnes = le gign, le swat, l'antigang, le raid, les rg, la dcri voire les drones!

    Les dés sont faussés, si demain il y avait un réel soulèvement, avec des mecs armés etc, et bien en face on aurait ce qu'on eu les arabes, une répression sanglante et sauvage.

    la condition humaine moderne ou antique c'est la même, même hiérarchisation de la société, même soumission, même système oligarchique; et ce n'est pas seulement l’individu qui est concerné, la France est soumise à l'Europe, l'Europe est soumise aux financiers, les financiers au fond de pension divers et variés, les fonds de pension aux bourses internationales etc ; c'est un put'1 de cercle vicieux dans lequel tous sommes pris.

    Y'a que les Amérindiens qui comprenaient réellement le sens de la place de l'homme dans l'univers et sur la planète , pas comme ces tordus d'Incas

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  14. Bop :

    Honnetement, tu dis des énormités sans nom et sans précédent. Quand je dis que le capitalisme s'est construit sur la propriété privé, je ne parle pas de la petite maison que chacun possédait dans les communautés. Je parle de la production, des moyens de production, du profit des richesses. La plus value, la valeur ajouté, le résultat du travail. Il faut différencier son chez soi par rapport à ce qui concerne le travail, quand on parle de la propriété privé.

    Le premier principe du capitalisme, c'est la propriété privée des moyens de production, je le répète, sans propriété privée, pas de capitalisme. Imaginez que dans votre famille, chacun produise à manger pour lui même, exploite son petit lopin de terre pour lui même etc... Alors que la famille est l'exemple type du communisme.
    Lorsqu'on parle du communisme, il faut se détacher de l'histoire, et de la propagande. L'URSS n'était pas communiste, pas plus que la Chine ou Cuba. Cela ne veut pas dire que la société communiste n'a jamais été atteinte aprés un passage au capitalisme. L'espagne republicaine été une forme de société communiste, par exemple.

    Communisme et capitalisme sont antagoniste, sont l'opposé l'un de l'autre. Ce qui peut être le mélange des deux à la limite, c'est le socialisme, qui accepte la propriété privé des moyens de production, et qui tend à supprimer les classes sociales, sans y arriver biensur, car il y aura tjoujours des classes sociales tant que l'argent existera, et que les richesses sont au mains de ceux qui exploitent.

    Donc le communisme, qui existait avant l'arrivé de la propriété privée et du capitalisme, se voit aujourd'hui complètement bourré de préjugé sans nom. Comprenez bien que ces préjugés ne viennent pas de nulle part, car il n'y a pas pire que le réel communisme proné par Marx (il est juif et alors ?) pour les puissants de ce monde. C'est pour ca qu'on l'assimile directement à l'URSS, à Staline, a la dictature, alors qu'il n'y a pas plus de liberté possible que dans la société communiste.
    Société communiste = aucun état, aucun systeme monétaire, aucune classe sociale, aucune propriété privé des moyens de production (mise en commun de la richesse produite).

    Donc s'il vous plaît, arretez de dire n'importe quoi sur le communisme, c'est vraiment lourd, surtout que c'est hyper flagrant que vous n'y connaissez rien sur le sujet.

    Dernier point, les anarchistes et les communistes ont pour seul différence le point suivant :
    Les communistes veulent arriver à la société communiste via la "dictature du prolétariat", qui suivrait une révolution prolétarienne, organe essentiel pour la répréssion contre les bourgeois. Vous imaginez bien que si cela arrive, les bourgeois ne resterons devant leur télé. Et donc la dictature s'auto détruirait au fil du temps, lorsque le calme serait revenu

    Les anarchistes eux, refusent cette dictature du prolétariat, et prone un passage direct vers la société communiste (sans état sans argent etc...).
    Voici la seul différence entre anarchiste et communiste.

    Rachid O. Toulousain

    Arretez vraiment de me piquez les yeux avec vos idioties.

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    1. ben vi c'est la théorie qu'on a entendu mille fois ...lol

      "je ne parle pas de la petite maison que chacun possédait dans les communautés. Je parle de la production, des moyens de production, du profit des richesses"

      ben moi aussi...

      et ?...dans quelle société y a -t-il eu absence de classes et mise en commun des moyens de production "avant le capitalisme" ?

      je maintiens mes propos jusqu'à preuve du contraire lol

      et un chose est sûre, c'est qu'on doit bien se faire chier dans ce genre de "société" "libérée" ...de tout, au point qu'il n'y reste rien ;o)

      .. à part le dictateur, celui-là on est sûrs de le garder :p

      J'ai eu 18 ans aussi tsé, faut pas croire...

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  15. je me permet (si tu permets) d'avoir ma lecture un peu perso du truc quoi...si ça ne dérange personne LOL

    j'ai passé une partie de ma jeunesse dans des chtis cercles anar et coco, et t'inquiète je connais le baratin...

    y a rien qui avance avec ce genre d'"opposition" de Nazes.. au contraire, tout recule :o)
    On pourrait d'ailleurs les tenir pour co-responsables de ski nous arrive...par leur entêtement à vouloir jouer les "puristes" et à servir de repoussoir et de barrage à la voie vers toute forme d'amélioration

    la vie est devenue un peu plus complexe (en bien comme en mal) qu'une affaire de répartition de bons alimentaires...
    Et dis-moi, qui déciderait des variétés et qualités d'objets produits dans ta société ? et comment se prendraient ces décisions ? ça m'intéresse (quand même !) lol

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    1. j'ajoute que le blé ça se mérite aussi...pas tellement au niveau de la façon de le "gagner" mais au niveau de ce qu'on en fait...
      Le "capitalisme" sur son versant communiste a créé pas mal de "nouveaux riches" et autres beaufs qui ont causés plein de dégatys et de gaspi...Par exple cette année encore, tous ces connards artificiellement promus auront acheté des "meubles de jardin en teck et autres bois tropicaux pour "garnir" leur sale petit "pavillon" (comme on dit en Fr) clé sur port et produits en série, dans un hideux lotissement pour petits communistes-de-marché...double dégats à la Nature (et à notre culture) donc. (forêts tropicales rasées pour y poser leur gros cul gras, et terroirs/paysages locaux ravagés par ces "clapiers améliorés")

      eh ouip, ça fait du dégat l'égalité artificielle, sans mérite d'intention, sans noblesse et sans conscience :-p

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    2. Pas mieux Bop, bonne journée à toi.

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    3. "Et dis-moi, qui déciderait des variétés et qualités d'objets produits dans ta société ? et comment se prendraient ces décisions ? ça m'intéresse (quand même !) lol"

      Les décisions se prendraient par ceux qui sont au commande. Les variétés d'objets se décideraient par ceux qui les produisent, ou les concoivent. Tu vas pas me dire qu'aujourd'hui c'est toi qui décide de ca ?
      Aujourd'hui tu es totalement soumis a ce qu'on te propose, on te fait croire que tu as le choix, mais ce n'est qu'une illusion, cadré par ce que la société de consommation te propose.

      "j'ajoute que le blé ça se mérite aussi...pas tellement au niveau de la façon de le "gagner" mais au niveau de ce qu'on en fait..."

      Et si on se fichait du mérite ? A chacun ses besoins, a chacun ses moyens. T'es incapable de travailler la terre ? Bah le fait pas. Et crois pas que certain ne vont rien faire, ce serait très mal vu, et il serait impossible pour eux de se socialiser.
      L'argent tel qu'on le connait doit disparaitre et etre remplacé par des simples monnaies d'echanges qui ne sont pas crée sur des dettes. Dans notre société, pas de dette, pas d'argent en circulation.
      L'etat doit s'endeter pour posseder et faire circuler des biftons.
      Cet argent doit etre remplacé par une simple monnaie d'echange.
      Le mérite qu'est ce que c'est ? Comment tu peux prétendre comparer un tel et un tel selon le mérite. Tes critères ne seront pas les mêmes que les miens, et pas les mêmes que n'importe qui. On ne peut pas juger au mérite, et c'est à personne de le faire.

      "Le "capitalisme" sur son versant communiste a créé pas mal de "nouveaux riches" et autres beaufs qui ont causés plein de dégatys et de gaspi...Par exple cette année encore, tous ces connards artificiellement promus auront acheté des "meubles de jardin en teck et autres bois tropicaux pour "garnir" leur sale petit "pavillon" (comme on dit en Fr) clé sur port et produits en série, dans un hideux lotissement pour petits communistes-de-marché...double dégats à la Nature"

      Le capitalisme n'a pas de versant communiste, c'est un non sens. Et je comprends pas le lien entre tout ce que tu dis la. Ce que je peux concevoir, c'est un coté social du capitalisme incarné par la "social démocratie", véritable poison à l'évolution.

      "eh ouip, ça fait du dégat l'égalité artificielle, sans mérite d'intention, sans noblesse et sans conscience :-p"
      Je comprends pas comment t'en viens à ce résultat.
      Surtout que je ne prone pas une égalité parfaite au cil près, mais une suppression des grandes causes des inégalités, à savoir, l'existence de l'argent, de la propriété privé des moyens de production et de l'état. Supprime cela, on se rapprochera gravement de l'égalité.
      L'égalité artificielle est un produit encore une fois de la "social democratie" qui n'a rien a voir avec le communisme.
      Et dans la société communiste, il n'y a aucun dictateur, tu es le dictateur de toi même.

      Rachid O.
      Toulousain

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    4. @ Rachid O.
      Toulousain : c'est tout ce que tu peux faire comme réflexion ? tu es au maxi ?

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  16. même en essayant de réinventer le monde on en arrive au même résultat "Les décisions se prendraient par ceux qui sont au commande. Les variétés d'objets se décideraient par ceux qui les produisent"

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  17. "Et dans la société communiste, il n'y a aucun dictateur"

    oui ça c'est la théorie sur papier ;o)

    de toutes façon, toute société "de masse" (y compris la nôtre) , a une dimension communiste...et donc dictatoriale, plus ou moins prononcée ou perverse...

    c'est d'ailleurs pour ça qu'"ils" ont besoin de maintenir "de la masse", st'à dire de privilégier la surpopulation (contrairement à ce qu'ils essayent de faire croire aux niais)

    Se libérer c'est donc d'abord et avant tout viser l'inverse, encourager la dé-population volontaire (en commençant par les plus nombreux et prolifiques, Afrique et Orient)

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  18. Bravo Nicolas, bel effort courageux ! La prochaine fois enlève le L. et signe de ton nom.

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